La moisson a été bonne. La table ronde des partenaires techniques et financiers sur le financement des projets hydrauliques, a permis de récolter des intentions de financement de 200 milliards de Fcfa. En effet, du 27 au 28 juin 2013, s’est ouverte à l’hôtel Ivoire, une rencontre visant à l’amélioration des infrastructures hydrauliques. Montant recherché dans l’urgence, 300 milliards de Fcfa.
Au terme de ce conclave, le gouvernement ivoirien s’en tire à bon compte avec une manne financière inespérée pour un début. «Les premières annonces que nous avons sont au-delà de nos espérances. Et ces premières annonces ont été faites sur la base d’un premier jet d’un programme triennal qui a été présenté », s’est réjoui Patrick Achi, ministre des infrastructures économiques. Qui n’a pas manqué au passage de saluer hier, les bailleurs que sont la Banque mondiale, le Fonds koweitien, le fonds saoudien, la Badea (Banque arabe pour le développement économique en Afrique), l’Afd (Agence française de développement), l’UE (Union européenne), la Bei (Banque européenne d’investissement), la Bad (Banque africaine de développement), la Bidc (Banque d’investissement et de développement de la Cedeao), la Bid (Banque islamique de développement) et la Jica (Agence japonaise de coopération internationale). Pour le ministre Achi, ce qui est rassurant, c’est que les intentions définitives seront données en décembre, lorsque la totalité du projet leur sera présentée. Et de préciser : « Je reste convaincu que d’ici la fin de l’année, lorsque se tiendra la deuxième table ronde, ces montants seront plus importants dans la mesure où les études en cours de faisabilité et d’impact social seront terminées ».
Selon le ministre des Infrastructures économiques, les 200 milliards de fcfa prévus permettront, début 2014, de démarrer les travaux à Abidjan et à l’intérieur du pays. Patrick Achi a dit savoir compter sur ces bailleurs qui n’ont jamais fait défaut à la Côte d’Ivoire, chaque fois qu’ils ont été sollicités. Affichant un certain optimisme et convaincu qu’avec l’appui de ces partenaires techniques et financiers, dès 2014, les populations ivoiriennes pourront enfin voir le bout du tunnel. En tout cas, le gouvernement est déterminé à étancher la soif des Ivoiriens afin que les challenges liés à l’atteinte des Objectifs du millénaire pour le développement (Omd) puissent se concrétiser.
Jean Eric ADINGRA
Au terme de ce conclave, le gouvernement ivoirien s’en tire à bon compte avec une manne financière inespérée pour un début. «Les premières annonces que nous avons sont au-delà de nos espérances. Et ces premières annonces ont été faites sur la base d’un premier jet d’un programme triennal qui a été présenté », s’est réjoui Patrick Achi, ministre des infrastructures économiques. Qui n’a pas manqué au passage de saluer hier, les bailleurs que sont la Banque mondiale, le Fonds koweitien, le fonds saoudien, la Badea (Banque arabe pour le développement économique en Afrique), l’Afd (Agence française de développement), l’UE (Union européenne), la Bei (Banque européenne d’investissement), la Bad (Banque africaine de développement), la Bidc (Banque d’investissement et de développement de la Cedeao), la Bid (Banque islamique de développement) et la Jica (Agence japonaise de coopération internationale). Pour le ministre Achi, ce qui est rassurant, c’est que les intentions définitives seront données en décembre, lorsque la totalité du projet leur sera présentée. Et de préciser : « Je reste convaincu que d’ici la fin de l’année, lorsque se tiendra la deuxième table ronde, ces montants seront plus importants dans la mesure où les études en cours de faisabilité et d’impact social seront terminées ».
Selon le ministre des Infrastructures économiques, les 200 milliards de fcfa prévus permettront, début 2014, de démarrer les travaux à Abidjan et à l’intérieur du pays. Patrick Achi a dit savoir compter sur ces bailleurs qui n’ont jamais fait défaut à la Côte d’Ivoire, chaque fois qu’ils ont été sollicités. Affichant un certain optimisme et convaincu qu’avec l’appui de ces partenaires techniques et financiers, dès 2014, les populations ivoiriennes pourront enfin voir le bout du tunnel. En tout cas, le gouvernement est déterminé à étancher la soif des Ivoiriens afin que les challenges liés à l’atteinte des Objectifs du millénaire pour le développement (Omd) puissent se concrétiser.
Jean Eric ADINGRA