Sandrine. K, élève en terminale D au lycée moderne de Treichville a été admise dans un hôpital pour y subir des soins, ce après qu’elle eut manqué de se faire passer de vie à trépas. C’est un chagrin d’amour qui aurait poussé la lycéenne de 17 ans (qui attend comme ses camarades les résultats du baccalauréat qui seront connus dans quelques jours), à avaler plusieurs gélules. Cette « brillante élève », comme le décrit son entourage, n’aurait pas supporté la rupture avec son petit ami. Ce dernier l’ayant larguée pour une autre. Depuis un certain temps en effet, la rumeur faisait état de ce que Philips son copain entretiendrait une liaison amoureuse avec une autre fille. Une chose qu’elle refuse tout d’abord de croire jusqu’au vendredi 5 juillet dernier où, elle reçoit un coup de fil d’une amie l’informant que son chéri est en train de faire la fête avec une autre dans un maquis situé non loin de la pharmacie les Allées à Angré.
Elle se rend au lieu indiqué. Lorsqu’elle les aperçoit, Sandrine. K. comprend que ce qui se disait à propos de son homme était vrai. Furieuse, elle renverse leur table. Philips sur le champ l’informe de la fin de leur relation amoureuse. Abattue, elle part expliquer sa mésaventure à sa mère. Sa génitrice plutôt que de la consoler, l’accable de tous les péchés d’Israël, lui reprochant sa relation avec un jeune irresponsable. Ne sachant vers qui se tourner, elle opte pour le suicide. Le lendemain matin c'est-à-dire le samedi aux environs de 4 heures du matin, elle est découverte agonisante par la servante qui informe ses parents. La malheureuse est vite évacuée dans une clinique. Les praticiens informeront ses parents que l’état de leur fille est consécutif à la prise de plusieurs gélules. Un geste qui est la conséquence de la mésentente avec sa mère. Elle a été retenue pour nécessité de soin pendant 72 heures.
A.H
Elle se rend au lieu indiqué. Lorsqu’elle les aperçoit, Sandrine. K. comprend que ce qui se disait à propos de son homme était vrai. Furieuse, elle renverse leur table. Philips sur le champ l’informe de la fin de leur relation amoureuse. Abattue, elle part expliquer sa mésaventure à sa mère. Sa génitrice plutôt que de la consoler, l’accable de tous les péchés d’Israël, lui reprochant sa relation avec un jeune irresponsable. Ne sachant vers qui se tourner, elle opte pour le suicide. Le lendemain matin c'est-à-dire le samedi aux environs de 4 heures du matin, elle est découverte agonisante par la servante qui informe ses parents. La malheureuse est vite évacuée dans une clinique. Les praticiens informeront ses parents que l’état de leur fille est consécutif à la prise de plusieurs gélules. Un geste qui est la conséquence de la mésentente avec sa mère. Elle a été retenue pour nécessité de soin pendant 72 heures.
A.H
