- Les explications de la CPI
La Cour Pénale Internationale (CPI) a réagi jeudi dernier à la requête de la défense de l’ancien chef d’Etat ivoirien, Laurent Gbagbo qui demandait à défaut de la liberté provisoire, une liberté conditionnée dans laquelle l’ancien président aurait rallié une résidence surveillée d’un pays d’accueil.
La Chambre préliminaire de la CPI après examen de la requête déposée depuis le 3 juillet dernier, a jugé qu’aucune des conditions demandées ne pouvait être accordée à Laurent Gbagbo du fait qu’il n’y ai eu de changement de circonstances depuis le dernier examen du dossier.
Par conséquent, celui qui ne donna ordre d’interrompre la dynamique de la violence durant la crise, restera en détention à la Haye sous la responsabilité de l’institution judicaire Internationale.
« La décision prise aujourd’hui par les juges de la Chambre préliminaire dans l’affaire Laurent Gbagbo a été prise dans le cadre du réexamen périodique de la détention des suspects devant la CPI. Dans le cas présent, et pour les raisons détaillées dans la décision, les juges ont estimé qu’il n’y a pas eu de changement de circonstances depuis le dernier examen de cette question, et que M. Gbagbo restera, par conséquent, en détention, sous la responsabilité de la CPI » , a indiqué vendredi l’ Unité des affaires publiques de la Cour pénale internationale dans un communiqué transmis par courriel à KOACI.COM.
Notons par ailleurs que les textes juridiques régissant la Cour requièrent que la Chambre préliminaire réexamine périodiquement, au moins tous les 120 jours, sa décision de maintien en détention ou de remise en liberté, conditionnelle ou non, d’une personne.
Cette nouvelle décision de la CPI à l’encontre du prisonnier ivoirien de la Haye pourrait sonner comme une victoire pour la procureure Fatou Bensouda qui avait juré d’utiliser tous les moyens juridiques pour ne pas que la chambre préliminaire accorde une quelconque liberté à Laurent Gbagbo.
La Cour Pénale Internationale (CPI) a réagi jeudi dernier à la requête de la défense de l’ancien chef d’Etat ivoirien, Laurent Gbagbo qui demandait à défaut de la liberté provisoire, une liberté conditionnée dans laquelle l’ancien président aurait rallié une résidence surveillée d’un pays d’accueil.
La Chambre préliminaire de la CPI après examen de la requête déposée depuis le 3 juillet dernier, a jugé qu’aucune des conditions demandées ne pouvait être accordée à Laurent Gbagbo du fait qu’il n’y ai eu de changement de circonstances depuis le dernier examen du dossier.
Par conséquent, celui qui ne donna ordre d’interrompre la dynamique de la violence durant la crise, restera en détention à la Haye sous la responsabilité de l’institution judicaire Internationale.
« La décision prise aujourd’hui par les juges de la Chambre préliminaire dans l’affaire Laurent Gbagbo a été prise dans le cadre du réexamen périodique de la détention des suspects devant la CPI. Dans le cas présent, et pour les raisons détaillées dans la décision, les juges ont estimé qu’il n’y a pas eu de changement de circonstances depuis le dernier examen de cette question, et que M. Gbagbo restera, par conséquent, en détention, sous la responsabilité de la CPI » , a indiqué vendredi l’ Unité des affaires publiques de la Cour pénale internationale dans un communiqué transmis par courriel à KOACI.COM.
Notons par ailleurs que les textes juridiques régissant la Cour requièrent que la Chambre préliminaire réexamine périodiquement, au moins tous les 120 jours, sa décision de maintien en détention ou de remise en liberté, conditionnelle ou non, d’une personne.
Cette nouvelle décision de la CPI à l’encontre du prisonnier ivoirien de la Haye pourrait sonner comme une victoire pour la procureure Fatou Bensouda qui avait juré d’utiliser tous les moyens juridiques pour ne pas que la chambre préliminaire accorde une quelconque liberté à Laurent Gbagbo.