Odienné, L’ONG Search for common ground (SFCG) a organisé, samedi à Odienné, une séance de restitution des résolutions du séminaire des chefs traditionnels sur la gestion des conflits tenu à Yamoussoukro.
Il ressort du document qu’un conflit peut être positif comme négatif, du point de vue de ses motifs et de la manière dont il est abordé.
Selon le représentant de Search for common ground dans le Tonkpi et le Denguélé, Daouda Chérifou, qui a lu la note de synthèse pour le délégué des chefs du Denguélé au séminaire, Sylla Siaka, un conflit est dit positif quand il naît pour susciter un changement social positif et est abordé de manière constructive.
A contrario, a-t-il indiqué, le conflit est dit négatif s’il est abordé de manière destructive avec la violence comme moyen de règlement.
Le représentant de SFCG a auparavant relevé que le conflit est un phénomène social naturel, notant que les êtres humains naissent différents, ont des sentiments différents face aux événements, des intérêts, des goûts différents et perçoivent les choses différemment.
« Cela fait que là où il y a des hommes, il peut y avoir des altercations mais cela ne doit pas empêcher la vie en communauté… Et lorsqu’un conflit naît, le défi se situe sur comment le régler », a dit M. Chérifou.
Pour régler les conflits définis comme un différend, un malentendu ou une mésentente entre deux partis qui perçoivent différemment leurs objectifs ou intérêts, M. Chérifou a conseillé le dialogue, la négociation avec si nécessaire, un médiateur. La négociation, a-t-il insisté, doit aboutir à un accord gagnant-gagnant, à un compromis.
Il ressort du document qu’un conflit peut être positif comme négatif, du point de vue de ses motifs et de la manière dont il est abordé.
Selon le représentant de Search for common ground dans le Tonkpi et le Denguélé, Daouda Chérifou, qui a lu la note de synthèse pour le délégué des chefs du Denguélé au séminaire, Sylla Siaka, un conflit est dit positif quand il naît pour susciter un changement social positif et est abordé de manière constructive.
A contrario, a-t-il indiqué, le conflit est dit négatif s’il est abordé de manière destructive avec la violence comme moyen de règlement.
Le représentant de SFCG a auparavant relevé que le conflit est un phénomène social naturel, notant que les êtres humains naissent différents, ont des sentiments différents face aux événements, des intérêts, des goûts différents et perçoivent les choses différemment.
« Cela fait que là où il y a des hommes, il peut y avoir des altercations mais cela ne doit pas empêcher la vie en communauté… Et lorsqu’un conflit naît, le défi se situe sur comment le régler », a dit M. Chérifou.
Pour régler les conflits définis comme un différend, un malentendu ou une mésentente entre deux partis qui perçoivent différemment leurs objectifs ou intérêts, M. Chérifou a conseillé le dialogue, la négociation avec si nécessaire, un médiateur. La négociation, a-t-il insisté, doit aboutir à un accord gagnant-gagnant, à un compromis.