Plusieurs autorités sont tombées dans des embuscades tendues par des bandes armées à Samatiguila (nord), a-t-on appris hier de source sécuritaire.
Lors d'un déplacement dans sa circonscription, le convoi du préfet de Samatiguila, Patrice Gueu, a été la cible d'individus armés, qui ont stoppé l'administrateur dans sa progression.
"Ils m'ont arraché tous mes appareils qui me permettent de communiquer avec le ministère de l'Intérieur", a déploré le préfet.
Le convoi du maire adjoint de la commune, Mamadou Diaby, a également subi une attaque des individus lourdement armés qui ont délesté l'autorité municipale de ses biens, sur l'axe Samatiguila-Odienné.
A en croire d'autres témoins, une récente fusillade perpétrée par une bande armée dans la zone a fait plusieurs blessés.
Tout comme les autorités, les opérateurs économiques et les fonctionnaires s'inquiètent de la multiplication des attaques sur les routes de la région.
Le préfet Patrice Gueu a appelé les populations au calme face à la montée de l'insécurité, et a plaidé pour un renforcement des équipements des forces de sécurité locales en vue de lutter avec efficacité contre le phénomène des "coupeurs de route".
La Côte d'Ivoire sort de manière progressive d'une crise postélectorale aiguë qui a secoué le pays cinq mois durant, faisant au moins 3 000 morts.
La crise a accentué la circulation et la prolifération illicite d'armes qui ont occasionné l'insécurité dans plusieurs régions dont notamment le nord, l'ouest, le centre et le sud du pays.
Les individus puissamment armés communément appelés "coupeurs de route" tendent des embuscades sur des routes et les attaques perpétrées par ceux-ci ont déjà fait plusieurs morts.
Face aux actions récurrentes de ces bandes armées, les autorités du pays ont tiré la sonnette d'alarme et tentent de prendre les dispositions idoines.
Lors d'une tournée d'Etat dans le nord du pays, le président ivoirien Alassane Ouattara avait lui même annoncé des mesures vigoureuses contre les bandes armées qui sévissent sur les routes.
Lors d'un déplacement dans sa circonscription, le convoi du préfet de Samatiguila, Patrice Gueu, a été la cible d'individus armés, qui ont stoppé l'administrateur dans sa progression.
"Ils m'ont arraché tous mes appareils qui me permettent de communiquer avec le ministère de l'Intérieur", a déploré le préfet.
Le convoi du maire adjoint de la commune, Mamadou Diaby, a également subi une attaque des individus lourdement armés qui ont délesté l'autorité municipale de ses biens, sur l'axe Samatiguila-Odienné.
A en croire d'autres témoins, une récente fusillade perpétrée par une bande armée dans la zone a fait plusieurs blessés.
Tout comme les autorités, les opérateurs économiques et les fonctionnaires s'inquiètent de la multiplication des attaques sur les routes de la région.
Le préfet Patrice Gueu a appelé les populations au calme face à la montée de l'insécurité, et a plaidé pour un renforcement des équipements des forces de sécurité locales en vue de lutter avec efficacité contre le phénomène des "coupeurs de route".
La Côte d'Ivoire sort de manière progressive d'une crise postélectorale aiguë qui a secoué le pays cinq mois durant, faisant au moins 3 000 morts.
La crise a accentué la circulation et la prolifération illicite d'armes qui ont occasionné l'insécurité dans plusieurs régions dont notamment le nord, l'ouest, le centre et le sud du pays.
Les individus puissamment armés communément appelés "coupeurs de route" tendent des embuscades sur des routes et les attaques perpétrées par ceux-ci ont déjà fait plusieurs morts.
Face aux actions récurrentes de ces bandes armées, les autorités du pays ont tiré la sonnette d'alarme et tentent de prendre les dispositions idoines.
Lors d'une tournée d'Etat dans le nord du pays, le président ivoirien Alassane Ouattara avait lui même annoncé des mesures vigoureuses contre les bandes armées qui sévissent sur les routes.