En vue d’apporter des modifications au budget de l’Etat 2013 d’octobre dernier, la ministre auprès du Premier ministre, chargée de l’Economie et des Finances Kaba Nialé a soumis le projet de loi du gouvernement aux parlementaires.
‘’Les contraintes de programmation par les bailleurs des contributions indiquées ainsi que la nécessité de finaliser les études techniques de certains projets pour permettre la réalisation effective des opérations, commandent l’ajournement de l’inscription desdits projets au budget 2013’’, a indiqué la ministre Kaba Nialé
Pour la ministre auprès du Premier ministre, chargée de l’Economie et des Finances la révision du budget est un impératif car prenant en compte l’ajustement des crédits au niveau des besoins réels des services et certaines activités importantes non dotées initialement.
‘’Ces modifications qui se traduisent par une hausse globale nette de 69 197 848 472 FCFA portant le niveau du budget à 3 883 758 228 FCA contre 3 814 571 909 756 FCFA’’, a précisé Madame Kaba Nialé devant la Commission des affaires économiques et financières de l’Assemblée nationale conduite par le député Koné Brahima Yves .
Avant d’adopter à l’unanimité la loi de finance rectificative portant budget de l’Etat pour l’année 2013, plusieurs députés ont demandé des éclaircis sur notamment, l’analyse détaillé des dépenses ordinaires dans certains ministères et les recours à l’emprunt obligataire.
La ministre auprès du Premier ministre, chargée de l’Economie et des Finances s’est, en définitive félicitée de l’intérêt accordé par les parlementaires aux questions des finances, gage d’une gestion transparente des ressources de l’Etat.
Didier Assoumou
‘’Les contraintes de programmation par les bailleurs des contributions indiquées ainsi que la nécessité de finaliser les études techniques de certains projets pour permettre la réalisation effective des opérations, commandent l’ajournement de l’inscription desdits projets au budget 2013’’, a indiqué la ministre Kaba Nialé
Pour la ministre auprès du Premier ministre, chargée de l’Economie et des Finances la révision du budget est un impératif car prenant en compte l’ajustement des crédits au niveau des besoins réels des services et certaines activités importantes non dotées initialement.
‘’Ces modifications qui se traduisent par une hausse globale nette de 69 197 848 472 FCFA portant le niveau du budget à 3 883 758 228 FCA contre 3 814 571 909 756 FCFA’’, a précisé Madame Kaba Nialé devant la Commission des affaires économiques et financières de l’Assemblée nationale conduite par le député Koné Brahima Yves .
Avant d’adopter à l’unanimité la loi de finance rectificative portant budget de l’Etat pour l’année 2013, plusieurs députés ont demandé des éclaircis sur notamment, l’analyse détaillé des dépenses ordinaires dans certains ministères et les recours à l’emprunt obligataire.
La ministre auprès du Premier ministre, chargée de l’Economie et des Finances s’est, en définitive félicitée de l’intérêt accordé par les parlementaires aux questions des finances, gage d’une gestion transparente des ressources de l’Etat.
Didier Assoumou