«On peut comprendre que les consommateurs se plaignent de la qualité de l’eau Céleste. Mais pour ce qui est du prix de l’eau Céleste, il revient aux contrôleurs de prix du ministère du Commerce de faire leur travail. La loi à la concurrence, libère les prix en Côte d’Ivoire à l’exception des produits pharmaceutiques, des livres scolaires, de l’eau de la Sodeci, l’électricité et les dérivés du pétrole. Si la qualité de l’eau Céleste prête à confusion, dans ce cas, il faudra que les consommateurs nous saisissent afin que nous puissions porter l’affaire devant LANEMA du ministère de l’Industrie, la direction de la répression des fraudes du ministère du Commerce et l’INHP. Nous savons que l’eau Céleste n’est pas une eau minérale. Cette eau qui ne provient pas de roche est une eau de source qui n’a pas les caractéristiques d’une eau minérale, tant dans la teneur que dans la composition. C’est une fausse publicité. C’est de la publicité mensongère que de dire que l’eau Céleste est une eau minérale. Des opérateurs économiques s’enrichissent sous l’autel de la santé et de la mort des consommateurs. En Côte d’Ivoire, l’eau Céleste ne fait pas partie des eaux minérales dont nous avons la liste.»
Société Publié le jeudi 18 juillet 2013 | L’intelligent d’Abidjan