ABIDJAN - Le coordonnateur de la Convention de la société civile ivoirienne (CSCI) Christophe Kouamé a exhorté mercredi à Abidjan les acteurs de l’opposition proche de l’ex-président Laurent Gbagbo à poursuivre le dialogue avec le gouvernement.
Pour M. Kouamé qui intervenait à l’occasion d’une déclaration, la quiétude, la paix et l’entente constituent des éléments nécessaires pour la construction d’un pays.
"Ce dialogue doit s’inscrire dans l’intérêt de la nation qui doit primer sur tout autre", a-t-il noté en substance.
Le coordonnateur de la société civile ivoirienne a par ailleurs appelé le gouvernement à agir dans le sens de l’amélioration de la gouvernance et à prendre un engagement fort contre l’impunité, contre la corruption et l’enrichissement illicite.
Le dialogue entamé entre le gouvernement et le Front populaire ivoirien (FPI, principal parti de l’opposition pro- Gbagbo) est interrompu depuis plusieurs semaines, en raison de préalables posés par le FPI qui exige notamment la libération du leader de la jeunesse pro-Gbagbo Justin Koua arrêté quelques jours plus tôt.
D’autres événements récents ont créé un clash entre le pouvoir et l’opposition, à savoir notamment le renvoi par la justice ivoirienne de 84 personnalités ou proches du régime déchu devant une cour d’assises, à une date encore non fixée, pour leur implication présumée dans la crise de 2010-2011.
L’appel du président Alassane Ouattara au FPI appelant celui- ci à se "repentir" pour la crise meurtrière de 2010-2011 a également suscité le courroux de cette formation politique qui s’est insurgée contre les propos de M. Ouattara et lui renvoyé la responsabilité des violences de la crise.
Plusieurs observateurs ont déploré que le dialogue entre le gouvernement et l’opposition qui avait été relancé en début d’année se trouve aujourd’hui au point mort.
Pour M. Kouamé qui intervenait à l’occasion d’une déclaration, la quiétude, la paix et l’entente constituent des éléments nécessaires pour la construction d’un pays.
"Ce dialogue doit s’inscrire dans l’intérêt de la nation qui doit primer sur tout autre", a-t-il noté en substance.
Le coordonnateur de la société civile ivoirienne a par ailleurs appelé le gouvernement à agir dans le sens de l’amélioration de la gouvernance et à prendre un engagement fort contre l’impunité, contre la corruption et l’enrichissement illicite.
Le dialogue entamé entre le gouvernement et le Front populaire ivoirien (FPI, principal parti de l’opposition pro- Gbagbo) est interrompu depuis plusieurs semaines, en raison de préalables posés par le FPI qui exige notamment la libération du leader de la jeunesse pro-Gbagbo Justin Koua arrêté quelques jours plus tôt.
D’autres événements récents ont créé un clash entre le pouvoir et l’opposition, à savoir notamment le renvoi par la justice ivoirienne de 84 personnalités ou proches du régime déchu devant une cour d’assises, à une date encore non fixée, pour leur implication présumée dans la crise de 2010-2011.
L’appel du président Alassane Ouattara au FPI appelant celui- ci à se "repentir" pour la crise meurtrière de 2010-2011 a également suscité le courroux de cette formation politique qui s’est insurgée contre les propos de M. Ouattara et lui renvoyé la responsabilité des violences de la crise.
Plusieurs observateurs ont déploré que le dialogue entre le gouvernement et l’opposition qui avait été relancé en début d’année se trouve aujourd’hui au point mort.