La dynamique sud africaine installée à Addis Abéba continue de motiver celles de l’ancien régime ivoirien. Le Congrès panafricain pour la justice et l’égalité des peuples (COJEP), continue de prospérer dans son rêve de voir en liberté son leader Charles Blé Goudé , figure de proue de la mort des 3000 personnes de la crise post-électorale de 2010-2011. Dans une déclaration transmise hier à KOACI.COM, son patron intérimaire, Bli Roselin indique que son organisation sollicite la médiation de l’Union Africaine (UA) dans le processus de réconciliation nationale et surtout pour obtenir la libération des prisonniers dont son président Charles Blé Goudé.
« Le COJEP sollicite l’Union Africaine en vue d’une médiation pouvant permettre la décrispation entre les acteurs politiques ivoiriens pour le retour d’une paix durable en Côte d’Ivoire », indique la déclaration.
Bli Roselin, le dépositaire de cette déclaration, exige du régime Ouattara la libération des prisonniers dits politiques, même s’il consent que l’humilité doit venir des deux camps.
« Nous exigeons la libération de tous les prisonniers politiques. Ainsi que l’humilité réclamée à l’opposition doit aussi habiter le pouvoir dont la responsabilité reste grande pour le retour de la paix en Côte d’Ivoire. L’entêtement à emprisonner les proches du président Laurent Gbagbo crée lentement mais sûrement les conditions d’une implosion sociale et politique. Même si le régime ne veut pas la réconciliation, tout porte à le penser, la Côte d’Ivoire et son peuple en ont besoin. La vendetta par l’instrumentalisation de la justice ne fait qu’agrandir le fossé de division entre les Ivoiriens et trahit surtout le discours qui est tenu au sommet de l’État », souligne le compagnon de Blé Goudé.
Rappelons que le mouvement du COJEP s’est mué en parti politique dans la clandestiné. Depuis l’arrestation de son leader Charles Blé Goudé en Janvier dernier au Ghana puis son extradition en Côte d’Ivoire où il est détenu au secret, ses amis ne cessent de se diviser sur la véritable conduite à tenir, à telle enseigne que le mouvement est coupé en deux.
Si un groupe a entamé des discussions avec le pouvoir par le biais du conseiller du chef de l’Etat en charge de la jeunesse, l’autre groupe a décidé de s’inféoder dans l’idéologie du FPI, où la repentance et l’humilité ne sont pas leurs maîtres mots.
« Le COJEP sollicite l’Union Africaine en vue d’une médiation pouvant permettre la décrispation entre les acteurs politiques ivoiriens pour le retour d’une paix durable en Côte d’Ivoire », indique la déclaration.
Bli Roselin, le dépositaire de cette déclaration, exige du régime Ouattara la libération des prisonniers dits politiques, même s’il consent que l’humilité doit venir des deux camps.
« Nous exigeons la libération de tous les prisonniers politiques. Ainsi que l’humilité réclamée à l’opposition doit aussi habiter le pouvoir dont la responsabilité reste grande pour le retour de la paix en Côte d’Ivoire. L’entêtement à emprisonner les proches du président Laurent Gbagbo crée lentement mais sûrement les conditions d’une implosion sociale et politique. Même si le régime ne veut pas la réconciliation, tout porte à le penser, la Côte d’Ivoire et son peuple en ont besoin. La vendetta par l’instrumentalisation de la justice ne fait qu’agrandir le fossé de division entre les Ivoiriens et trahit surtout le discours qui est tenu au sommet de l’État », souligne le compagnon de Blé Goudé.
Rappelons que le mouvement du COJEP s’est mué en parti politique dans la clandestiné. Depuis l’arrestation de son leader Charles Blé Goudé en Janvier dernier au Ghana puis son extradition en Côte d’Ivoire où il est détenu au secret, ses amis ne cessent de se diviser sur la véritable conduite à tenir, à telle enseigne que le mouvement est coupé en deux.
Si un groupe a entamé des discussions avec le pouvoir par le biais du conseiller du chef de l’Etat en charge de la jeunesse, l’autre groupe a décidé de s’inféoder dans l’idéologie du FPI, où la repentance et l’humilité ne sont pas leurs maîtres mots.
