Le comité de pilotage, qui a pour but de superviser la coordination générale et suivre l’avancement du projet régional PCB (les Polychlorobiphényles), et les répresentants des pays bénificiaires dudit projet sont reunies à Abidjan du 22 au 24 juillet 2013.
Le projet régional PCB, qui s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre des conventions de Bâle et Stockholm, vise à reduire les risques environnementaux et de santé publique liée aux déversements des PCB, (produits chimiques organiques chlorés utilisés pour leur grande stabilité thermique et leurs caractéristiques électriques et avérés nocifs pour l'environnement et pour l'homme), au sein de 14 pays francophones. A savoir, le Benin, le Burkina-Faso, la Côte d’Ivoire, la Djibouti, la Guinée, la Guinée-Bisau, la Mauritanie, le Mali, le Maroc, le Niger, la République Démocratique du Congo, le Sénégal, le Tchad et le Togo. Le projet qui rentre dans sa seconde phase, selon les organisateurs, permettra de mettre fin aux récyclage informel des transformateurs des compagnies d’électricité dans les 14 pays cités. La première phase (A) a été émaillée de difficultés. C’est pourquoi, les membres du bureau du Centre régional de la convention de Bâle et de Stockholm pour les pays d’Afrique Francophone (CRCBS-AF) ont décidé d’installer un centre des traitements et de stockage des PCB dans l’un des pays bénéficiaire.
Ainsi, Abidjan la capitale économique de la Côte d’Ivoire a été choisie pour abriter ledit centre. « Au cours de ces assisses, plusieurs questions seront élucidées, dont celle relative à l’implantation d’un centre régional des PCB en Côte d’Ivoire, en prenant en compte tous les aspects réglementaires et politiques », a fait savoir le représentant du ministre de l’Environnement, de la Salubrité urbaine et du Developpement durable, Kouadio Kouamé Georges, par ailleurs, directeur générale de l’environnment. La première reunion tenue en mai 2012 et celle qui se tient actuellement à Abidjan, marquent respectivement l’achèvement de la phase 1 et le démarrage de la seconde phase du projet régional PCB. Elles permettront d’éliminer les PCB et des équipements contaminés par une gestion écologiquement rationnelle d’ici 2025.
O.Dama
Le projet régional PCB, qui s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre des conventions de Bâle et Stockholm, vise à reduire les risques environnementaux et de santé publique liée aux déversements des PCB, (produits chimiques organiques chlorés utilisés pour leur grande stabilité thermique et leurs caractéristiques électriques et avérés nocifs pour l'environnement et pour l'homme), au sein de 14 pays francophones. A savoir, le Benin, le Burkina-Faso, la Côte d’Ivoire, la Djibouti, la Guinée, la Guinée-Bisau, la Mauritanie, le Mali, le Maroc, le Niger, la République Démocratique du Congo, le Sénégal, le Tchad et le Togo. Le projet qui rentre dans sa seconde phase, selon les organisateurs, permettra de mettre fin aux récyclage informel des transformateurs des compagnies d’électricité dans les 14 pays cités. La première phase (A) a été émaillée de difficultés. C’est pourquoi, les membres du bureau du Centre régional de la convention de Bâle et de Stockholm pour les pays d’Afrique Francophone (CRCBS-AF) ont décidé d’installer un centre des traitements et de stockage des PCB dans l’un des pays bénéficiaire.
Ainsi, Abidjan la capitale économique de la Côte d’Ivoire a été choisie pour abriter ledit centre. « Au cours de ces assisses, plusieurs questions seront élucidées, dont celle relative à l’implantation d’un centre régional des PCB en Côte d’Ivoire, en prenant en compte tous les aspects réglementaires et politiques », a fait savoir le représentant du ministre de l’Environnement, de la Salubrité urbaine et du Developpement durable, Kouadio Kouamé Georges, par ailleurs, directeur générale de l’environnment. La première reunion tenue en mai 2012 et celle qui se tient actuellement à Abidjan, marquent respectivement l’achèvement de la phase 1 et le démarrage de la seconde phase du projet régional PCB. Elles permettront d’éliminer les PCB et des équipements contaminés par une gestion écologiquement rationnelle d’ici 2025.
O.Dama
