Le gouvernement a décidé de traquer depuis le 15 juillet dernier, les véhicules banalisés. Une semaine après, Diallo Soumaïla, le président des chauffeurs de taxis communaux fait le point.
Le patriote : Une semaine après la décision du gouvernement, quelle est la situation au niveau des taxis intercommunaux ?
Diallo Soumaïla : Nous sommes satisfaits. Cette mesure du gouvernement nous a permis d'accélérer un processus que nous avions déjà entamé. A l'heure où je vous parle, beaucoup de chauffeurs sont en train de faire leurs papiers.
LP : Avez-vous le nombre exact de véhicules qui sont en train de se mettre en règle ?
D.S : C'est ce travail que nous sommes en train de faire. D'ici quelques jours, on va faire le point pour connaître leur nombre. Mais je voudrais déjà vous faire savoir que tous les véhicules qui ne sont pas règle ont garé. Nous avons pour la circonstance, mis en place un comité de suivi pour demander à tous nos camarades qui ne sont pas en règle de garer. Notre seule difficulté c'est au niveau de la visite technique. Lorsque nous allons avec nos véhicules à la visite technique, on nous fait comprendre qu'on n'a pas de statut. Et on refuse de nous donner la visite de six mois relative au transport. On nous fait une visite d'un an comme pour les véhicules personnels. On demande au gouvernement de trouver une couleur qui nous identifie des autres véhicules.
ZC
Le patriote : Une semaine après la décision du gouvernement, quelle est la situation au niveau des taxis intercommunaux ?
Diallo Soumaïla : Nous sommes satisfaits. Cette mesure du gouvernement nous a permis d'accélérer un processus que nous avions déjà entamé. A l'heure où je vous parle, beaucoup de chauffeurs sont en train de faire leurs papiers.
LP : Avez-vous le nombre exact de véhicules qui sont en train de se mettre en règle ?
D.S : C'est ce travail que nous sommes en train de faire. D'ici quelques jours, on va faire le point pour connaître leur nombre. Mais je voudrais déjà vous faire savoir que tous les véhicules qui ne sont pas règle ont garé. Nous avons pour la circonstance, mis en place un comité de suivi pour demander à tous nos camarades qui ne sont pas en règle de garer. Notre seule difficulté c'est au niveau de la visite technique. Lorsque nous allons avec nos véhicules à la visite technique, on nous fait comprendre qu'on n'a pas de statut. Et on refuse de nous donner la visite de six mois relative au transport. On nous fait une visite d'un an comme pour les véhicules personnels. On demande au gouvernement de trouver une couleur qui nous identifie des autres véhicules.
ZC