Abidjan - Le gouvernement ivoirien a décidé, en conseil des ministres, jeudi, de l'interdiction de l'exploitation, de la coupe, du transport, de la commercialisation et de l'exportation du bois de vêne.
Selon le communiqué du porte-parole du gouvernement, Bruno Nabagné Koné, le gouvernement a pris cette décision en vue de "lutter contre la destruction avancée du couvert forestier de la Côte d'Ivoire".
Cette décision du gouvernement vise également à "préserver l'environnement et l'écosystème des zones septentrionales" dont le bois de vêne, scientifiquement appelé "Pterocarpus Spp" dont la résistance aux insectes et aux champignons fait qu'il est plus prisé par les exploitants forestiers.
Le ministre des Eaux et Forêts, Mathieu Babaud Darret, en prélude à la journée internationale des forêts, a révélé qu'il a obtenu au titre de l'année 2013, un engagement "ferme" des exploitants forestiers "de reboiser au moins 300 ha de cette essence chaque année au-dessus du huitième parallèle (au Nord de la Côte d'Ivoire)".
A cette occasion, il a rappelé la situation devenue préoccupante, du fait de la forte infiltration des populations dans les forêts classées et parcs nationaux, annonçant que le gouvernement s'est engagé à faire de la préservation et de la reconstitution des forêts une priorité face à la déforestation massive largement perceptible sur les changements climatiques, l'érosion côtière, les eaux souterraines et les eaux de surface.
D'environ 16 millions d'hectares dans les années 1960, la forêt ivoirienne représente à peine trois millions d'hectares en 2000, informe-t-on.
Selon le communiqué du porte-parole du gouvernement, Bruno Nabagné Koné, le gouvernement a pris cette décision en vue de "lutter contre la destruction avancée du couvert forestier de la Côte d'Ivoire".
Cette décision du gouvernement vise également à "préserver l'environnement et l'écosystème des zones septentrionales" dont le bois de vêne, scientifiquement appelé "Pterocarpus Spp" dont la résistance aux insectes et aux champignons fait qu'il est plus prisé par les exploitants forestiers.
Le ministre des Eaux et Forêts, Mathieu Babaud Darret, en prélude à la journée internationale des forêts, a révélé qu'il a obtenu au titre de l'année 2013, un engagement "ferme" des exploitants forestiers "de reboiser au moins 300 ha de cette essence chaque année au-dessus du huitième parallèle (au Nord de la Côte d'Ivoire)".
A cette occasion, il a rappelé la situation devenue préoccupante, du fait de la forte infiltration des populations dans les forêts classées et parcs nationaux, annonçant que le gouvernement s'est engagé à faire de la préservation et de la reconstitution des forêts une priorité face à la déforestation massive largement perceptible sur les changements climatiques, l'érosion côtière, les eaux souterraines et les eaux de surface.
D'environ 16 millions d'hectares dans les années 1960, la forêt ivoirienne représente à peine trois millions d'hectares en 2000, informe-t-on.