Abidjan, 01 août (AIP) – Le ministre de la Poste et des Technologies de l’information et de la communication, Bruno Koné a affirmé, jeudi, que la Côte d’Ivoire pratique les tarifs les plus bas de la sous région en matière de télécommunication.
Le ministre des PTIC qui présentait, jeudi, le bilan et les perspectives des activités de son département, a révélé qu’au côté des opérateurs privés, deux nouveaux câbles sous-marins en fibre optique (qui s’ajoutent à SAT3, construit en 2002/2003) permettent de renforcer la desserte du pays à partir de l’international, de faciliter l’accès aux nœuds Internet mondiaux, et de favoriser la concurrence et la baisse du coût de la bande passante internationale.
« C’est ainsi que depuis le début de cette année 2013, nous avons pu observer une baisse du coût de l’internet de l‘ordre de 40% », a indiqué le ministre qui a assuré que cette baisse devrait normalement se poursuivre, en raison notamment des économies d’échelle liées à l’accroissement du nombre d’abonnés et au développement des usages.
« Les tarifs sont libres », a rappelé M. Koné qui a précisé que son département s’engage à faire en sorte que la concurrence se fasse de manière transparente. « Tout consommateur qui se sent lésé peut s’adresser directement à l’ARTCI », a fait savoir le ministre, soulignant que des canaux seront mis à la disposition du public. « C’est un jugement en première instance » a-t-il prévenu.
Le secteur de la téléphonie représente 6% à 7% du produit intérieur brut (PIB), soit une contribution de 300 à 400 milliards de FCFA au budget de l’Etat. Ce sont 5.000 emplois directs et 200.000 à 250.000 emplois indirects sont générés par le secteur.
(Aip)
kkf/cmas
Le ministre des PTIC qui présentait, jeudi, le bilan et les perspectives des activités de son département, a révélé qu’au côté des opérateurs privés, deux nouveaux câbles sous-marins en fibre optique (qui s’ajoutent à SAT3, construit en 2002/2003) permettent de renforcer la desserte du pays à partir de l’international, de faciliter l’accès aux nœuds Internet mondiaux, et de favoriser la concurrence et la baisse du coût de la bande passante internationale.
« C’est ainsi que depuis le début de cette année 2013, nous avons pu observer une baisse du coût de l’internet de l‘ordre de 40% », a indiqué le ministre qui a assuré que cette baisse devrait normalement se poursuivre, en raison notamment des économies d’échelle liées à l’accroissement du nombre d’abonnés et au développement des usages.
« Les tarifs sont libres », a rappelé M. Koné qui a précisé que son département s’engage à faire en sorte que la concurrence se fasse de manière transparente. « Tout consommateur qui se sent lésé peut s’adresser directement à l’ARTCI », a fait savoir le ministre, soulignant que des canaux seront mis à la disposition du public. « C’est un jugement en première instance » a-t-il prévenu.
Le secteur de la téléphonie représente 6% à 7% du produit intérieur brut (PIB), soit une contribution de 300 à 400 milliards de FCFA au budget de l’Etat. Ce sont 5.000 emplois directs et 200.000 à 250.000 emplois indirects sont générés par le secteur.
(Aip)
kkf/cmas