Abidjan - La justice ivoirienne a accordé, lundi, la liberté provisoire à quatorze personnalités proches de l’ex-président ivoirien Laurent Gbagbo dont Affi N’Guessan, président de son parti, le Front Populaire ivoirien (FPI), détenus pour la plupart depuis la chute du régime de leur leader, le 11 avril 2011.
Parmi ces personnalités figurent également la présidente des femmes patriotes, Bro Grébé Généviève, le fils de Laurent Gbagbo, Michel Gbagbo, mais aussi l’ex-secrétaire général par intérim du FPI, Alphonse Douaty et le secrétaire chargé des élections de ce parti, Sokouri Bohoui.
L’ancien gouverneur de la Banque centrale des Etats de l’Afrique de l’Ouest (BCEAO), Philippe Dakoury-Tabley, l’ex-ministre de la Défense Lida Kouassi et l’ex-chef de cabinet de M. Gbagbo, Kuyo Téa Narcisse sont également concernés par cette décision, lue sur le plateau du journal télévisé de 13 H de la RT1 par le procureur de la République Adou Richard Christophe.
"Le parquet précise qu’il s’agit de liberté provisoire et les procédures en vue de jugements poursuivent leur cours et connaitront sûrement leur dénouement d’ici la fin de l’année", relevé M. Adou, indiquant que cette liberté provisoire a été accordée sur requête de la chambre d’accusation.
De son côté, le gouvernement qui a "pris acte" de cette décision lundi en Conseil des ministres espère qu’elle contribuera à apaiser le climat sociopolitique dans le pays, a fait savoir son porte-parole Bruno Nabagné Koné.
(AIP)
tm
(AIP)
Parmi ces personnalités figurent également la présidente des femmes patriotes, Bro Grébé Généviève, le fils de Laurent Gbagbo, Michel Gbagbo, mais aussi l’ex-secrétaire général par intérim du FPI, Alphonse Douaty et le secrétaire chargé des élections de ce parti, Sokouri Bohoui.
L’ancien gouverneur de la Banque centrale des Etats de l’Afrique de l’Ouest (BCEAO), Philippe Dakoury-Tabley, l’ex-ministre de la Défense Lida Kouassi et l’ex-chef de cabinet de M. Gbagbo, Kuyo Téa Narcisse sont également concernés par cette décision, lue sur le plateau du journal télévisé de 13 H de la RT1 par le procureur de la République Adou Richard Christophe.
"Le parquet précise qu’il s’agit de liberté provisoire et les procédures en vue de jugements poursuivent leur cours et connaitront sûrement leur dénouement d’ici la fin de l’année", relevé M. Adou, indiquant que cette liberté provisoire a été accordée sur requête de la chambre d’accusation.
De son côté, le gouvernement qui a "pris acte" de cette décision lundi en Conseil des ministres espère qu’elle contribuera à apaiser le climat sociopolitique dans le pays, a fait savoir son porte-parole Bruno Nabagné Koné.
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