Le Rassemblement pour le Mali (RPM), parti d’Ibrahim Boubacar Keïta (IBK) et ses alliés ont appelé, mercredi, à la plus grande vigilance, en dénonçant des comportements ‘’contraires’’ à la loi électorale.
Dans un communiqué de presse parvenu à APA, jeudi, le RPM et ses alliés ‘'se félicitent de la grande mobilisation populaire en vue d'assurer une victoire claire, entière et nette'' à leur mentor, candidat au second tour de l'élection présidentielle malienne du 11 août prochain.
Cependant, ils en appellent à ‘'la plus grande vigilance contre les esprits malveillants, déterminés à se laisser encore tenter par des pratiques et comportements contraires à la loi électorale mais également aux règles de la démocratie et aux bonnes pratiques en matière d'élections'', poursuit le texte.
‘'Ces nostalgiques d'un système ancien et décrié sont tout aussi déterminés à tout mettre en œuvre pour perturber le processus en cours, dans le dessein de conserver illégitimement un pouvoir, ce, contre le gré du peuple et de l'expression populaire et démocratique'', préviennent les partisans d'IBK.
Aussi, encouragent-ils ‘' les autorités (…) en charge de la bonne tenue de l'élection du 11 août 2013, à redoubler d'efforts, pour veiller à améliorer les conditions du déroulement du scrutin (…) et faire respecter scrupuleusement les dispositions de la loi électorale'', conclu le texte.
La Cour constitutionnelle malienne a donné, mercredi, les résultats définitifs du premier tour de la présidentielle du 28 juillet, confirmant, malgré quelques variantes, la tenue d'un second tour dimanche, entre Ibrahim Boubacar Keïta et Soumaïla Cissé.
Elle a, toutefois, légèrement, revu les résultats provisoires donnés le 2 août par le ministère de l'Administration territoriale. Ainsi, arrive, en tête Ibrahim Boubacar Keïta avec 39,7% des voix, suivi de Soumaïla Cissé (19,7%) contre 39,2% et 19,4% respectivement, selon les résultats provisoires.
Les deux personnalités seront face-à-face, dimanche, pour le second tour pour lequel Soumaïla Cissé, candidat de l'Union pour la République et la Démocratie (URD) a sollicité, mercredi, un débat télévisé avec son ‘'grand-frère'' pour permettre aux ‘'Maliens d'évaluer chacun de nous sur nos différents programmes''.
Dans un communiqué de presse parvenu à APA, jeudi, le RPM et ses alliés ‘'se félicitent de la grande mobilisation populaire en vue d'assurer une victoire claire, entière et nette'' à leur mentor, candidat au second tour de l'élection présidentielle malienne du 11 août prochain.
Cependant, ils en appellent à ‘'la plus grande vigilance contre les esprits malveillants, déterminés à se laisser encore tenter par des pratiques et comportements contraires à la loi électorale mais également aux règles de la démocratie et aux bonnes pratiques en matière d'élections'', poursuit le texte.
‘'Ces nostalgiques d'un système ancien et décrié sont tout aussi déterminés à tout mettre en œuvre pour perturber le processus en cours, dans le dessein de conserver illégitimement un pouvoir, ce, contre le gré du peuple et de l'expression populaire et démocratique'', préviennent les partisans d'IBK.
Aussi, encouragent-ils ‘' les autorités (…) en charge de la bonne tenue de l'élection du 11 août 2013, à redoubler d'efforts, pour veiller à améliorer les conditions du déroulement du scrutin (…) et faire respecter scrupuleusement les dispositions de la loi électorale'', conclu le texte.
La Cour constitutionnelle malienne a donné, mercredi, les résultats définitifs du premier tour de la présidentielle du 28 juillet, confirmant, malgré quelques variantes, la tenue d'un second tour dimanche, entre Ibrahim Boubacar Keïta et Soumaïla Cissé.
Elle a, toutefois, légèrement, revu les résultats provisoires donnés le 2 août par le ministère de l'Administration territoriale. Ainsi, arrive, en tête Ibrahim Boubacar Keïta avec 39,7% des voix, suivi de Soumaïla Cissé (19,7%) contre 39,2% et 19,4% respectivement, selon les résultats provisoires.
Les deux personnalités seront face-à-face, dimanche, pour le second tour pour lequel Soumaïla Cissé, candidat de l'Union pour la République et la Démocratie (URD) a sollicité, mercredi, un débat télévisé avec son ‘'grand-frère'' pour permettre aux ‘'Maliens d'évaluer chacun de nous sur nos différents programmes''.
