Bouaflé, Un ex-vigile dans un collège privé de la place, à Bouaflé, a abattu, mercredi, sa femme, tuée à bout portant, alors que cette dernière, au nom de Koffi Amlan Béatrice, s'en allait prendre son bain, au sein de leur habitation, avant de se donner, ensuite, la mort, sans laisser transparaître le moindre soupçon du mobile de son acte, a-t-on appris de la police, ce jeudi.
Selon des sources policières, la scène se serait déroulée, mercredi, au quartier Marahoué. L'homme, N’Goran N’Guessan Bernard, se serait mis en embuscade à la fenêtre de sa chambre, muni d'un fusil, calibre 12, pointé sur sa compagne qui se dirigeait vers la salle de bain, construite hors leur logis, lorsque celui-ci fit feu.
Avant qu’elle ne comprenne ce qui se passe, elle reçoit une balle à la tempe qui l’atteint mortellement. Alertée par la détonation, la fille du couple, N’Guessan Victorine a le réflexe d’appeler le voisin qui, à son tour, prévient immédiatement la police.
Arrivé sur les lieux du crime, la police procède à une infiltration, et découvre que N’Guessan Bernard s’est déjà donné la mort en se mettant une balle dans la poitrine. Une enquête a été ouverte par la police pour connaître le mobile du crime et du suicide. Serait-ce un acte de forcené ou celui d'un désespéré ayant perdu la joie de vivre? Ou alors, un acte d'honneur pour laver un affront à lui donner par sa compagne qui l'aurait cocufié?
Pour le moins qu'on puisse dire, c'est que l'affaire, qui a jeté un émoi sur la paisible population de la contrée où réside le couple, alimente les échanges, et délivre, à tous crins, toutes sortes de conjectures.
(Aip)
zaar/nf
Selon des sources policières, la scène se serait déroulée, mercredi, au quartier Marahoué. L'homme, N’Goran N’Guessan Bernard, se serait mis en embuscade à la fenêtre de sa chambre, muni d'un fusil, calibre 12, pointé sur sa compagne qui se dirigeait vers la salle de bain, construite hors leur logis, lorsque celui-ci fit feu.
Avant qu’elle ne comprenne ce qui se passe, elle reçoit une balle à la tempe qui l’atteint mortellement. Alertée par la détonation, la fille du couple, N’Guessan Victorine a le réflexe d’appeler le voisin qui, à son tour, prévient immédiatement la police.
Arrivé sur les lieux du crime, la police procède à une infiltration, et découvre que N’Guessan Bernard s’est déjà donné la mort en se mettant une balle dans la poitrine. Une enquête a été ouverte par la police pour connaître le mobile du crime et du suicide. Serait-ce un acte de forcené ou celui d'un désespéré ayant perdu la joie de vivre? Ou alors, un acte d'honneur pour laver un affront à lui donner par sa compagne qui l'aurait cocufié?
Pour le moins qu'on puisse dire, c'est que l'affaire, qui a jeté un émoi sur la paisible population de la contrée où réside le couple, alimente les échanges, et délivre, à tous crins, toutes sortes de conjectures.
(Aip)
zaar/nf
