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Société Publié le vendredi 16 août 2013 | Le Democrate

Enseignement supérieur : 220 enseignants-chercheurs bientôt recrutés

© Le Democrate Par DR
Enseignement Supérieur : première réunion du comité de pilotage du projet Agures, co-présidé par le ministre Cissé Ibrahima et l’ambassadeur Georges Serre
Mercredi 4 juillet 2012. Abidjan. Première réunion du comité de pilotage du projet AGURES (Appui à la Gouvernance Universitaire et à la Réforme de l’Enseignement Supérieur) co-présidé par l’Ambassadeur de France en Côte d’Ivoire, SEM Georges SERRE et le Ministre de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique, M. Ibrahima Cissé
Le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique annonce le recrutement de 220 enseignants-chercheurs, dans le cadre de sa première session ordinaire de recrutement qui s’est ouverte mardi à l’université Félix Houphouët Boigny à Cocody (Abidjan).
La commission de recrutement examinera 520 dossiers de candidatures pour 220 postes à pourvoir, selon le Directeur de l’administration et des ressources humaines dudit ministère, M. Djimbala Diakité, qui précise que ce nombre d’enseignants à recruter obéit au fait que cette année, les structures d’enseignement supérieur disposent de « 20 postes en glissement catégoriel et 200 en recrutement nouveaux ».
Il a par ailleurs relevé que dans l’intervalle de 2012 à 2013, la procédure de recrutement a connu des modifications. Désormais, pour avoir des agents ou des postes budgétaires du ministère de la Fonction publique et de la Réforme administrative, il faudrait exprimer les besoins réels en ressources humaines des structures et définir les postes de travail pour lesquels ces besoins sont exprimés, a-t-il expliqué.
Selon le ministère ivoirien de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, 2284 postes d’enseignants-chercheurs dont 633 de rang A et 1651 de rang B restent à pouvoir.
Pour combler le déficit, M. Djimbala Diakité a promis que le taux d’enseignants à recruter sera revu à la hausse de manière significative, avec l’ouverture, en 2014, de l’université de Man, et celles de Bondoukou et de San Pedro, d’ici 2015, « sans compter la ville universitaire d’Adiaké ».
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