Abengourou – Des difficultés ont été relevées par les agents du centre de gestion de la Sodefor d’Abengourou et les populations riveraines, pour une meilleur gestion de la forêt classée de Brassué, située dans la région de l’Indénié Djuablin.
Cet état a été dressé lors d’un atelier bilan des comités de surveillance, des commissions forêts-villageois et des commissions forêt sous-préfectorales mis en place pour appuyer la Sodefor dans la gestion de cette forêt.
Ces difficultés sont notamment, l’insuffisance du personnel, des conditions pénibles d’organisation des surveillances, le manque de matériel, des problèmes de financement, l’absence ou le retard dans la réactivité de la Sodefor après les alertes, les rapports de certains comités de surveillance qui ne reflètent pas la réalité, les agressions de la forêt par des paysans clandestins, le manque de moyen de déplacement et l’insuffisance du personnel de l’UDF.
D’autres problèmes tel que le non-respect des obligations de la Sodefor concernant les moyens de déplacement non satisfaits ont été relevés. L’insuffisance de communication sur le processus de contractualisation et les commissions forêts villageoises créées qui n’ont pas fonctionné normalement ont été également décriés.
A l'issue de l’atelier, il a été recommandé un certain nombre de mesures, notamment la levée de suspension des activités des comités de surveillances de la forêt de Brassué, la prise de dispositions pour utiliser les fonds recueillis dans le cadre de la contractualisation, la poursuite de la signature des contrats.
L'atelier a également préconisé d’organiser les déguerpissements, de trouver des financements complémentaires pour soutenir la surveillance, d’augmenter le nombre d’agents techniques, d’améliorer la communication et de renforcer les capacités opérationnelles des acteurs de surveillance.
Cet atelier de deux jours, a été présidé par le sous-préfet de Yakassé Féyassé, Poho Jean-Marie. Les 32 participants ont réfléchi sur les activités des comités de surveillance, la politique de gestion participative avec les organes de cogestion et la présentation succincte du processus de contractualisation.
Depuis fin 2009, la Sodefor a adopté une nouvelle approche dans la protection des forêts classées qui concerne la mise en œuvre du développement communautaire, associant les riverains à la gestion des forêts classées.
apk/cmas
Cet état a été dressé lors d’un atelier bilan des comités de surveillance, des commissions forêts-villageois et des commissions forêt sous-préfectorales mis en place pour appuyer la Sodefor dans la gestion de cette forêt.
Ces difficultés sont notamment, l’insuffisance du personnel, des conditions pénibles d’organisation des surveillances, le manque de matériel, des problèmes de financement, l’absence ou le retard dans la réactivité de la Sodefor après les alertes, les rapports de certains comités de surveillance qui ne reflètent pas la réalité, les agressions de la forêt par des paysans clandestins, le manque de moyen de déplacement et l’insuffisance du personnel de l’UDF.
D’autres problèmes tel que le non-respect des obligations de la Sodefor concernant les moyens de déplacement non satisfaits ont été relevés. L’insuffisance de communication sur le processus de contractualisation et les commissions forêts villageoises créées qui n’ont pas fonctionné normalement ont été également décriés.
A l'issue de l’atelier, il a été recommandé un certain nombre de mesures, notamment la levée de suspension des activités des comités de surveillances de la forêt de Brassué, la prise de dispositions pour utiliser les fonds recueillis dans le cadre de la contractualisation, la poursuite de la signature des contrats.
L'atelier a également préconisé d’organiser les déguerpissements, de trouver des financements complémentaires pour soutenir la surveillance, d’augmenter le nombre d’agents techniques, d’améliorer la communication et de renforcer les capacités opérationnelles des acteurs de surveillance.
Cet atelier de deux jours, a été présidé par le sous-préfet de Yakassé Féyassé, Poho Jean-Marie. Les 32 participants ont réfléchi sur les activités des comités de surveillance, la politique de gestion participative avec les organes de cogestion et la présentation succincte du processus de contractualisation.
Depuis fin 2009, la Sodefor a adopté une nouvelle approche dans la protection des forêts classées qui concerne la mise en œuvre du développement communautaire, associant les riverains à la gestion des forêts classées.
apk/cmas
