Le bouclage financier de la phase B du projet d’extension de la centrale de production d’électricité, Ciprel IV, vient d’être finalisé à travers un prêt d’un montant de 178 milliards de FCFA.
La signature de ce prêt a eu lieu mercredi à Paris (France), entre l’Etat ivoirien et les donateurs que sont la SFI, la Bad, la Boad et Proparco, a-t-on appris.
A terme, ce projet va permettre à Ciprel d’accroître sa capacité qui passera de 231 MW à 432 MW en décembre prochain et à 543 MW, fin 2015.
« La réalisation du cycle combiné de Ciprel va accroître l’offre d’énergie électrique pour répondre à la demande sans cesse croissante impulsée par la reprise économique et surtout va permettre de réaliser des économies de l’ordre de 30% sur la consommation de combustible par rapport à un cycle simple, soit un gain de l’ordre de 24 milliards de FCFA », a déclaré le ministre du Pétrole et de l’Energie, Adama Toungara, lors de la signature.
Le ministre Toungara a assuré que la Côte d’Ivoire se donne les moyens de remédier aux coupures intempestives et de fournir l’électricité moins chère de la sous-région.
Présente à la signature de l’accord de prêt, la ministre auprès du Premier ministre chargée de l’Economie et des Finances, Kaba Nialé a reconnu qu’on ne peut pas développer un pays sans électricité. Elle a précisé que la Côte d’Ivoire pour être un pays émergent, doit être capable de permettre à ceux qui veulent investir et profiter de ses potentialités d’installer des unités de production.
Démarré en 1994, le projet de la centrale électrique Ciprel représente 30% de l’énergie consommée en Côte d’Ivoire. Fruit d’un partenariat public-privé, l’actionnariat comprend 15% de l’Etat, 83% de la Finagestion et 2% de la BOAD.
L’augmentation du parc de production de la Côte d’Ivoire a débuté en octobre 2011 par les signatures de l’accord d’Azito, ensuite de Ciprel IV phase A en novembre 2012, du barrage de Soubré en 2012, puis Aggreko et enfin en 2013, Ciprel IV, phase B.
La signature de ce prêt a eu lieu mercredi à Paris (France), entre l’Etat ivoirien et les donateurs que sont la SFI, la Bad, la Boad et Proparco, a-t-on appris.
A terme, ce projet va permettre à Ciprel d’accroître sa capacité qui passera de 231 MW à 432 MW en décembre prochain et à 543 MW, fin 2015.
« La réalisation du cycle combiné de Ciprel va accroître l’offre d’énergie électrique pour répondre à la demande sans cesse croissante impulsée par la reprise économique et surtout va permettre de réaliser des économies de l’ordre de 30% sur la consommation de combustible par rapport à un cycle simple, soit un gain de l’ordre de 24 milliards de FCFA », a déclaré le ministre du Pétrole et de l’Energie, Adama Toungara, lors de la signature.
Le ministre Toungara a assuré que la Côte d’Ivoire se donne les moyens de remédier aux coupures intempestives et de fournir l’électricité moins chère de la sous-région.
Présente à la signature de l’accord de prêt, la ministre auprès du Premier ministre chargée de l’Economie et des Finances, Kaba Nialé a reconnu qu’on ne peut pas développer un pays sans électricité. Elle a précisé que la Côte d’Ivoire pour être un pays émergent, doit être capable de permettre à ceux qui veulent investir et profiter de ses potentialités d’installer des unités de production.
Démarré en 1994, le projet de la centrale électrique Ciprel représente 30% de l’énergie consommée en Côte d’Ivoire. Fruit d’un partenariat public-privé, l’actionnariat comprend 15% de l’Etat, 83% de la Finagestion et 2% de la BOAD.
L’augmentation du parc de production de la Côte d’Ivoire a débuté en octobre 2011 par les signatures de l’accord d’Azito, ensuite de Ciprel IV phase A en novembre 2012, du barrage de Soubré en 2012, puis Aggreko et enfin en 2013, Ciprel IV, phase B.