Ceci est une déclaration de la coordination FPI en exil suite à la mise en liberté provisoire du président et des hauts cadres du FPI.
Le 5 août 2013, le procureur de la République a annoncé la mise en liberté provisoire, devenue effective, pour douze détenus politiques proches du président Laurent Gbagbo. Des responsables de premier plan de la direction nationale du FPI, dont les camarades Affi N’Guessan, président, Aboudrahamane Sangaré, 1er vice-président, Lida Kouassi Moïse, sécrétaire général adjoint, Douati Alphonse, secrétaire national, Koua Justin, secrétaire national par intérim de la JFPI, sont au nombre de ceux-ci.
La coordination FPI en exil accueille, avec joie et surtout soulagement, cette libération car le pire était à craindre pour ces camarades qui ont subi des traitements inhumains et dégradants dans leurs geôles. Elle salue le courage des camarades qui viennent de recouvrer la liberté, fût-elle provisoire, puisque les traitements qu’ils ont subis en prison sont devenus des secrets de polichinelle. Leur retour constitue assurément un élément catalyseur de nature à renforcer la direction de la lutte, conduite depuis juillet 2011, par les camarades de la direction intérimaire avec à leur tête le camarade Miaka Oureto, à qui nous rendons ici un vibrant hommage.
La coordination FPI en exil considère donc cette mise en liberté comme le résultat de l’engagement et de la mobilisation des militants et ce, grâce à la détermination de notre direction intérimaire.
La coordination FPI en exil considère que cette mise en liberté est aussi le résultat de la mobilisation de tous autour de cette question. C’est pourquoi, elle saisit cette occasion pour féliciter :
- tous les patriotes en Côte d’Ivoire pour leurs soutiens matériel et moral aux camarades emprisonnés ;
- tous les patriotes africains, tous les patriotes de la diaspora pour leur mobilisation constante et exemplaire afin que triomphe notre cause commune ;
- les organisations des droits de l’Homme dont les rapports nous éclairent et nous restituent chaque jour la vérité et la profondeur du drame ivoirien depuis le 11 avril 2011 ;
- l’ensemble des journalistes, des communicateurs et autres internautes.
La coordination FPI en exil considère cette mise en liberté certes comme un bon geste car nul n’est mieux que chez soi et non dans une prison. Mais, à la réalité, celle-ci demeure à mi-chemin de ce que la Côte d’Ivoire attend et espère. L’essentiel reste à faire et à venir.
C’est, en effet, de liberté tout court dont nos camarades ont besoin. Le Président Laurent Gbagbo en prison, la 2e vice- présidente du FPI et présidente du groupe parlementaire FPI, Mme Simone Ehivet Gbagbo, en prison, des centaines d’Ivoiriens du camp du président Gbagbo en prison, des centaines de milliers d’autres contraints à l’exil, pendant qu’une camarilla de mercenaires, venus de la sous-région, occupent leurs terres et leurs maisons. Ce ne sont pas des signes qui vont dans le sens de l’apaisement et de la réconciliation des Ivoiriens.
La coordination FPI en exil, convaincue qu’il faut mettre fin à :
- plus d’une décennie de rébellion qui a balafré la Côte d’Ivoire et endeuillé des milliers et des milliers de familles ;
- plus de deux ans de destruction de l’Etat grâce au coup d’Etat de la droite française et à une communauté internationale instrumentalisée à souhait ;
- plus de deux ans de braderie de notre patrimoine national, de notre foncier rural et de la nationalité ivoirienne ;
- plus de deux ans d’une politique économique extravertie au service des intérêts des multinationales.
La coordination FPI en exil, Soutient :
A la suite du président du parti, le camarade Affi N’Guessan, que c’est seule la mobilisation des militants et des forces populaires qui a rendu possible la libération de nos camarades. C’est aussi la mobilisation de tous qui assurera une issue heureuse à la lutte qui s’impose ici et maintenant à notre parti.
La coordination FPI en exil, considère :
Que c’est la libération du président Laurent Gbagbo ainsi que celle de tous les prisonniers politiques civils ou militaires et le retour sécurisé des exilés qui constituent les principaux gages de l’apaisement et une garantie sûre pour la réconciliation nationale.
Elle assure :
Le président du parti et la direction nationale de son soutien ferme et déterminé ainsi que de son entière disponibilité à leurs côtés pour cette lutte dont la noblesse l’emporte sur toute autre considération.
La coordination FPI en exil, appelle :
- L’attention des autorités ivoiriennes sur l’impérieuse nécessité et l’urgence pressante d’aller encore plus loin dans l’intérêt de la Côte d’Ivoire et de nombreux Ivoiriens dont les souffrances et la détresse méritent enfin de connaître un terme ;
- Les Ivoiriens et les Ivoiriennes du Nord, du Sud, du Centre, de l’Ouest, de l’Est et de toute confession religieuse à se mobiliser pour imposer une vraie réconciliation. La Côte d’Ivoire a besoin de la paix maintenant.
Fait à Accra, le 13 août 2013.
P. la Coordination
Dr Assoa Adou
Porte-parole et Coordonnateur
Le 5 août 2013, le procureur de la République a annoncé la mise en liberté provisoire, devenue effective, pour douze détenus politiques proches du président Laurent Gbagbo. Des responsables de premier plan de la direction nationale du FPI, dont les camarades Affi N’Guessan, président, Aboudrahamane Sangaré, 1er vice-président, Lida Kouassi Moïse, sécrétaire général adjoint, Douati Alphonse, secrétaire national, Koua Justin, secrétaire national par intérim de la JFPI, sont au nombre de ceux-ci.
La coordination FPI en exil accueille, avec joie et surtout soulagement, cette libération car le pire était à craindre pour ces camarades qui ont subi des traitements inhumains et dégradants dans leurs geôles. Elle salue le courage des camarades qui viennent de recouvrer la liberté, fût-elle provisoire, puisque les traitements qu’ils ont subis en prison sont devenus des secrets de polichinelle. Leur retour constitue assurément un élément catalyseur de nature à renforcer la direction de la lutte, conduite depuis juillet 2011, par les camarades de la direction intérimaire avec à leur tête le camarade Miaka Oureto, à qui nous rendons ici un vibrant hommage.
La coordination FPI en exil considère donc cette mise en liberté comme le résultat de l’engagement et de la mobilisation des militants et ce, grâce à la détermination de notre direction intérimaire.
La coordination FPI en exil considère que cette mise en liberté est aussi le résultat de la mobilisation de tous autour de cette question. C’est pourquoi, elle saisit cette occasion pour féliciter :
- tous les patriotes en Côte d’Ivoire pour leurs soutiens matériel et moral aux camarades emprisonnés ;
- tous les patriotes africains, tous les patriotes de la diaspora pour leur mobilisation constante et exemplaire afin que triomphe notre cause commune ;
- les organisations des droits de l’Homme dont les rapports nous éclairent et nous restituent chaque jour la vérité et la profondeur du drame ivoirien depuis le 11 avril 2011 ;
- l’ensemble des journalistes, des communicateurs et autres internautes.
La coordination FPI en exil considère cette mise en liberté certes comme un bon geste car nul n’est mieux que chez soi et non dans une prison. Mais, à la réalité, celle-ci demeure à mi-chemin de ce que la Côte d’Ivoire attend et espère. L’essentiel reste à faire et à venir.
C’est, en effet, de liberté tout court dont nos camarades ont besoin. Le Président Laurent Gbagbo en prison, la 2e vice- présidente du FPI et présidente du groupe parlementaire FPI, Mme Simone Ehivet Gbagbo, en prison, des centaines d’Ivoiriens du camp du président Gbagbo en prison, des centaines de milliers d’autres contraints à l’exil, pendant qu’une camarilla de mercenaires, venus de la sous-région, occupent leurs terres et leurs maisons. Ce ne sont pas des signes qui vont dans le sens de l’apaisement et de la réconciliation des Ivoiriens.
La coordination FPI en exil, convaincue qu’il faut mettre fin à :
- plus d’une décennie de rébellion qui a balafré la Côte d’Ivoire et endeuillé des milliers et des milliers de familles ;
- plus de deux ans de destruction de l’Etat grâce au coup d’Etat de la droite française et à une communauté internationale instrumentalisée à souhait ;
- plus de deux ans de braderie de notre patrimoine national, de notre foncier rural et de la nationalité ivoirienne ;
- plus de deux ans d’une politique économique extravertie au service des intérêts des multinationales.
La coordination FPI en exil, Soutient :
A la suite du président du parti, le camarade Affi N’Guessan, que c’est seule la mobilisation des militants et des forces populaires qui a rendu possible la libération de nos camarades. C’est aussi la mobilisation de tous qui assurera une issue heureuse à la lutte qui s’impose ici et maintenant à notre parti.
La coordination FPI en exil, considère :
Que c’est la libération du président Laurent Gbagbo ainsi que celle de tous les prisonniers politiques civils ou militaires et le retour sécurisé des exilés qui constituent les principaux gages de l’apaisement et une garantie sûre pour la réconciliation nationale.
Elle assure :
Le président du parti et la direction nationale de son soutien ferme et déterminé ainsi que de son entière disponibilité à leurs côtés pour cette lutte dont la noblesse l’emporte sur toute autre considération.
La coordination FPI en exil, appelle :
- L’attention des autorités ivoiriennes sur l’impérieuse nécessité et l’urgence pressante d’aller encore plus loin dans l’intérêt de la Côte d’Ivoire et de nombreux Ivoiriens dont les souffrances et la détresse méritent enfin de connaître un terme ;
- Les Ivoiriens et les Ivoiriennes du Nord, du Sud, du Centre, de l’Ouest, de l’Est et de toute confession religieuse à se mobiliser pour imposer une vraie réconciliation. La Côte d’Ivoire a besoin de la paix maintenant.
Fait à Accra, le 13 août 2013.
P. la Coordination
Dr Assoa Adou
Porte-parole et Coordonnateur