ABIDJAN - Un atelier sous-régional sur les enquêtes financières, le blanchiment d'argent et le financement du terrorisme s'est ouvert mardi à Abidjan en vue d'offrir de nouveaux outils aux enquêteurs dans la lutte contre la criminalité financière en Afrique.
"Il s'agit de permettre aux enquêteurs et analystes de se familiariser et de s'approprier les outils modernes d'investigation en matière de criminalité financière, à l'effet d'augmenter leur efficacité dans le traitement des dossiers", a déclaré le président de la Cellule nationale de traitement des informations financières (Centif), Coulibaly Adama, à l'ouverture des travaux.
Pour Adama Coulibaly, la Côte d'Ivoire doit "se repositionner en tant que pays phare de la sous-région et pour cela, elle doit avoir des outils de bonne gouvernance".
"Dans ce domaine, la grande expérience et l'expertise de l'ONUDC (Office des Nations unies contre la drogue et le crime), ajoutées aux modules qui vont nous être dispensés nous permettront de faire des avancées significatives sur le relèvement du niveau de conformité de notre mode d'intervention au regard des normes et standards internationaux requis", a-t-il indiqué.
L'ONUDC, initiateur de l'atelier régional, veut appuyer le Centif et les structures publiques ivoiriennes dans contre ces nouvelles formes de "crimes".
"Ceux qui blanchissent l'argent, cherchent l'enrichissement personnel, ce qui fragilise le tissu social et conduit à une baisse de la croissance économique", a expliqué le représentant de l'ONUDC, Ludovic D'hoore.
Pour Flore Adou Damien, représentant le ministre ivoirien chargé de l'Économie et des Finances, la lutte contre le blanchiment d'argent et le financement du terrorisme est "un souci majeur" que les pays africains doivent relever pour "assurer le bien-être de leurs peuples".
"La participation à cet atelier témoigne de la mobilisation des pays de la sous-région à asseoir un outil moderne de lutte contre ces maux qui gangrènent notre économie", a-t-elle conclu.
L'atelier qui réunit des analystes et enquêteurs des pays de la sous-région ouest africaine entend renforcer les échanges et synergies entre les différents acteurs impliqués dans la lutte contre le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme.
Les techniques et les méthodes de blanchiment, les indicateurs de soupçons et la détection, les enquêtes financières sont, entre autres, les modules qui seront abordés au cours de cette formation.
"Il s'agit de permettre aux enquêteurs et analystes de se familiariser et de s'approprier les outils modernes d'investigation en matière de criminalité financière, à l'effet d'augmenter leur efficacité dans le traitement des dossiers", a déclaré le président de la Cellule nationale de traitement des informations financières (Centif), Coulibaly Adama, à l'ouverture des travaux.
Pour Adama Coulibaly, la Côte d'Ivoire doit "se repositionner en tant que pays phare de la sous-région et pour cela, elle doit avoir des outils de bonne gouvernance".
"Dans ce domaine, la grande expérience et l'expertise de l'ONUDC (Office des Nations unies contre la drogue et le crime), ajoutées aux modules qui vont nous être dispensés nous permettront de faire des avancées significatives sur le relèvement du niveau de conformité de notre mode d'intervention au regard des normes et standards internationaux requis", a-t-il indiqué.
L'ONUDC, initiateur de l'atelier régional, veut appuyer le Centif et les structures publiques ivoiriennes dans contre ces nouvelles formes de "crimes".
"Ceux qui blanchissent l'argent, cherchent l'enrichissement personnel, ce qui fragilise le tissu social et conduit à une baisse de la croissance économique", a expliqué le représentant de l'ONUDC, Ludovic D'hoore.
Pour Flore Adou Damien, représentant le ministre ivoirien chargé de l'Économie et des Finances, la lutte contre le blanchiment d'argent et le financement du terrorisme est "un souci majeur" que les pays africains doivent relever pour "assurer le bien-être de leurs peuples".
"La participation à cet atelier témoigne de la mobilisation des pays de la sous-région à asseoir un outil moderne de lutte contre ces maux qui gangrènent notre économie", a-t-elle conclu.
L'atelier qui réunit des analystes et enquêteurs des pays de la sous-région ouest africaine entend renforcer les échanges et synergies entre les différents acteurs impliqués dans la lutte contre le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme.
Les techniques et les méthodes de blanchiment, les indicateurs de soupçons et la détection, les enquêtes financières sont, entre autres, les modules qui seront abordés au cours de cette formation.