Un atelier de restitution et d’échanges s’est tenu, mardi, à l’initiative du gouvernement ivoirien pour informer les différents acteurs du développement sur les conclusions de Busan et échanger sur la problématique de la coordination de l’aide en Côte d’Ivoire.
La Côte d’Ivoire a participé, du 29 novembre au 1er décembre 2011, à Busan, en Corée du Sud, au quatrième forum de haut niveau sur l’efficacité de l’aide au terme duquel des recommandations ont été faites. Cet atelier visait une appropriation nationale des recommandations de Busan. Celles-ci interviennent après la déclaration de Paris en 2005 et le plan d’action d’Accra en 2008, note-t-on.
"La rencontre de Busan nous a permis d’évaluer le progrès mondial réalisé dans l’amélioration de l’impact et la rentabilité de l’aide au développement", a déclaré le directeur de cabinet adjoint du ministre d’Etat, ministre du plan et du développement, M. Kouamé Kouakou Lacina, estimant que Busan marque un tournant essentiel dans la coopération pour le développement.
Cette rencontre visait à prendre de nouveaux engagements et à faire en sorte que l’aide réduise surtout la pauvreté et améliore la vie des populations, a-t-il souligné, précisant qu’il s’est agit, lors de la rencontre de Busan, "d’aller plus loin dans le passage d’une approche technique basée sur l’efficacité de l’aide à celle de l’efficacité du développement" qui devrait s’attaquer aux causes profondes de la pauvreté et qui doit également prôner le respect des droits humains.
"Tout en promulguant une coopération plus efficace qui ne devrait pas conduire à une réduction des ressources pour le développement humain durable, nous devons, de façon progressive, accroitre l’indépendance vis-à-vis de l’aide par la mise en œuvre de politiques viables qui annihilent les conséquences désastreuses sur les conditions de vie de nos populations", a ajouté M. Kouamé.
"Au sortir de cet atelier, nos réflexions doivent nous permettre de mettre en œuvre des actions urgentes ainsi que des mécanismes et outils de gestion stratégique" a-t-il déclaré à l’ouverture de l’atelier, précisant que ces actions devraient être intégrées dans les priorités nationales.
kkf/kkp/kam
La Côte d’Ivoire a participé, du 29 novembre au 1er décembre 2011, à Busan, en Corée du Sud, au quatrième forum de haut niveau sur l’efficacité de l’aide au terme duquel des recommandations ont été faites. Cet atelier visait une appropriation nationale des recommandations de Busan. Celles-ci interviennent après la déclaration de Paris en 2005 et le plan d’action d’Accra en 2008, note-t-on.
"La rencontre de Busan nous a permis d’évaluer le progrès mondial réalisé dans l’amélioration de l’impact et la rentabilité de l’aide au développement", a déclaré le directeur de cabinet adjoint du ministre d’Etat, ministre du plan et du développement, M. Kouamé Kouakou Lacina, estimant que Busan marque un tournant essentiel dans la coopération pour le développement.
Cette rencontre visait à prendre de nouveaux engagements et à faire en sorte que l’aide réduise surtout la pauvreté et améliore la vie des populations, a-t-il souligné, précisant qu’il s’est agit, lors de la rencontre de Busan, "d’aller plus loin dans le passage d’une approche technique basée sur l’efficacité de l’aide à celle de l’efficacité du développement" qui devrait s’attaquer aux causes profondes de la pauvreté et qui doit également prôner le respect des droits humains.
"Tout en promulguant une coopération plus efficace qui ne devrait pas conduire à une réduction des ressources pour le développement humain durable, nous devons, de façon progressive, accroitre l’indépendance vis-à-vis de l’aide par la mise en œuvre de politiques viables qui annihilent les conséquences désastreuses sur les conditions de vie de nos populations", a ajouté M. Kouamé.
"Au sortir de cet atelier, nos réflexions doivent nous permettre de mettre en œuvre des actions urgentes ainsi que des mécanismes et outils de gestion stratégique" a-t-il déclaré à l’ouverture de l’atelier, précisant que ces actions devraient être intégrées dans les priorités nationales.
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