Le ministre de la Solidarité, de la Femme et de l’Enfant, Mme Anne Désirée Ouloto s’est entretenue à son cabinet au Plateau, le vendredi 30 août 2013, avec les représentants des associations de victimes de guerre. Elle a qualifié cette rencontre « de prise de contact » en vue de prendre en charge les questions relatives aux victimes de guerre. Cela après que les attributions du ministère des victimes de guerre qui n’existent plus soient attribuées à son département par le Chef de l’Etat le 25 juillet 2013, a-t-elle signifié. A cet effet, elle entend mener plusieurs actions en vue d’aboutir « rapidement » à la phase de dédommagement et de réparation des victimes pour redonner espoir aux victimes. Cela y va de l’équilibre de la société ivoirienne et de la réconciliation nationale. Parmi ces actions, en plus de que ces prédécesseurs ont déjà fait, la ministre Anne Ouloto compte mettre en place une plate forme d’échange entre son département et les associations de victimes en vue d’établir de façon participative, la politique nationale de prise en charge des victimes de guerre et le chronogramme de mise en œuvre. L’indentification des victimes de guerre et la définition claire de leur statut, ainsi que de la détermination du mode d’approche de leur prise en charge par l’Etat constituent les prochains dossiers sur lesquels la ministre en charge de la solidarité entend se pencher dans sa démarche de façon prioritaire. Pour les questions d’identification, elle note que ceux qui ne seront pas reconnus selon les critères de l’Etat comme des victimes de guerre se retrouveront dans le schéma classique des personnes en difficulté pour lesquelles le gouvernement à aussi une approche de soutien. Par conséquent, elle tient à rassurer les uns et les autres sur le fait que personne ne sera laissée pour compte par le gouvernement qui accorde un intérêt particulier à ce dossier.
Pour mener à bien sa mission, Mme Anne Ouloto veut pourvoir compter sur les 28 associations, collectifs ou groupements de victimes de guerre qui ont pris part à cette rencontre. « J’ai besoin d’objectivité dans nos rapports, d’honnêteté et de fraternité » a-t-elle indiqué à leur endroit. Leur signifiant au passage de se soustraire de toute approche politique ou religieuse car le gouvernement prendra en charge les différentes victimes de façon « juste et équitable » sans tenir compte de ces considérations.
Il faut noter qu’un projet de loi relatif aux enfants victimes a déjà été proposé au gouvernement par le ministère de la Solidarité, de la Femme et de l’Enfant en vue d’identifier les enfants qui pourraient bénéficier du statut de pupille de l’Etat, a souligné Mme Anne Ouloto.
Pour mener à bien sa mission, Mme Anne Ouloto veut pourvoir compter sur les 28 associations, collectifs ou groupements de victimes de guerre qui ont pris part à cette rencontre. « J’ai besoin d’objectivité dans nos rapports, d’honnêteté et de fraternité » a-t-elle indiqué à leur endroit. Leur signifiant au passage de se soustraire de toute approche politique ou religieuse car le gouvernement prendra en charge les différentes victimes de façon « juste et équitable » sans tenir compte de ces considérations.
Il faut noter qu’un projet de loi relatif aux enfants victimes a déjà été proposé au gouvernement par le ministère de la Solidarité, de la Femme et de l’Enfant en vue d’identifier les enfants qui pourraient bénéficier du statut de pupille de l’Etat, a souligné Mme Anne Ouloto.