Abidjan - Un atelier d’évaluation de la mise en œuvre des recommandations issues de l’Examen Périodique Universel de la Côte d’Ivoire du 3 décembre 2009, a été organisé les Mercredi 28 et Jeudi 29 Août 2013, au CERAP/ Abidjan-Cocody.
Cet atelier d’évaluation de deux (02) jours est une initiative des organisations de promotion des droits de l’homme que sont : le CEFCI, la LIDHO, le Club UA-CI, le MIDH et la CIDDH avec l’appui technique du Ministère de la Justice, des Droits de l’Homme et des Libertés Publiques.
Cette initiative fait suite à la volonté de ces organisations de promotion des droits de l’Homme et du Ministère de la Justice, des Droits de l’Homme et des Libertés Publiques, d’aider la Côte d’Ivoire à se conformer aux mécanismes internationaux dont l’Examen Périodique Universel (EPU).
En effet, lors du premier cycle de l’EPU, la Côte d’Ivoire a été examinée en décembre 2009 à travers la présentation d’un rapport. Après cet examen, plusieurs recommandations ont été faites à la Côte d’Ivoire, dont 108 ont été acceptées.
La mise en œuvre de ces recommandations, comme l’exige le mécanisme de l’EPU, doit faire l’objet de suivi par l’Etat, les Organisations Non Gouvernementales et la Commission Nationale des Droits de l’Homme de Côte d’Ivoire (CNDHCI).
Aussi, avant l’examen de la Côte d’Ivoire pour le second cycle en 2014, est- il nécessaire qu’une évaluation des recommandations de l’examen de 2009 soit faite avec l’implication des différentes parties prenantes.
C’est en cela, que l’atelier organisé, trouve tout son sens et sa pertinence.
L’objectif principal de cet atelier était d’évaluer le niveau de mise en œuvre des 108 recommandations acceptées par la Côte d’Ivoire et de manière spécifique de :
- Informer la communauté des défenseurs des droits de l’Homme (Les organisations de promotion des droits de l’Homme, la CNDHCI et les points focaux droits de l’Homme des Ministères techniques) sur les recommandations issues de l’EPU de la Côte d’Ivoire ;
- Evaluer le niveau de mise en œuvre des recommandations issues de l’EPU 2009 de la Côte d’Ivoire ;
- Mettre en place une stratégie de suivi de la mise en œuvre des recommandations de l’EPU pour le second cycle prévu en Avril - Mai 2014.
L’atelier qui a bénéficié de l’appui financier du Service de Coopération et d’Action Culturelle/ Ambassade de France et de la Division des Droits de l’Homme de l’ONUCI, a été meublé par une cérémonie d’ouverture, des communications, des travaux en atelier et une cérémonie de clôture.
Lors des cérémonies d’ouverture et de clôture, une allocution a été prononcée respectivement par Mme Pédan Marthe COULIBALY (Président du Comité d’organisation), Mme Saoudatou FOUSSENI, Représentante du Chef de la Division des Droits de l’Homme de l’ONUCI, M. Christian OQUET (Conseiller d’Action Culturelle/ Ambassade de France) et M. Siaka FOFANA, Conseiller Technique du Garde des Sceaux, Ministre de la Justice, des Droits de l’Homme et des Libertés Publiques.
Une trentaine d’Organisations Non Gouvernementales ivoiriennes de promotion des Droits de l’Homme, des représentants de la Commission Nationale des Droits de l’Homme (CNDHCI) et les points focaux Droits de l’Homme des Ministères techniques, ont pris part à cette importante activité.
Cet atelier d’évaluation de deux (02) jours est une initiative des organisations de promotion des droits de l’homme que sont : le CEFCI, la LIDHO, le Club UA-CI, le MIDH et la CIDDH avec l’appui technique du Ministère de la Justice, des Droits de l’Homme et des Libertés Publiques.
Cette initiative fait suite à la volonté de ces organisations de promotion des droits de l’Homme et du Ministère de la Justice, des Droits de l’Homme et des Libertés Publiques, d’aider la Côte d’Ivoire à se conformer aux mécanismes internationaux dont l’Examen Périodique Universel (EPU).
En effet, lors du premier cycle de l’EPU, la Côte d’Ivoire a été examinée en décembre 2009 à travers la présentation d’un rapport. Après cet examen, plusieurs recommandations ont été faites à la Côte d’Ivoire, dont 108 ont été acceptées.
La mise en œuvre de ces recommandations, comme l’exige le mécanisme de l’EPU, doit faire l’objet de suivi par l’Etat, les Organisations Non Gouvernementales et la Commission Nationale des Droits de l’Homme de Côte d’Ivoire (CNDHCI).
Aussi, avant l’examen de la Côte d’Ivoire pour le second cycle en 2014, est- il nécessaire qu’une évaluation des recommandations de l’examen de 2009 soit faite avec l’implication des différentes parties prenantes.
C’est en cela, que l’atelier organisé, trouve tout son sens et sa pertinence.
L’objectif principal de cet atelier était d’évaluer le niveau de mise en œuvre des 108 recommandations acceptées par la Côte d’Ivoire et de manière spécifique de :
- Informer la communauté des défenseurs des droits de l’Homme (Les organisations de promotion des droits de l’Homme, la CNDHCI et les points focaux droits de l’Homme des Ministères techniques) sur les recommandations issues de l’EPU de la Côte d’Ivoire ;
- Evaluer le niveau de mise en œuvre des recommandations issues de l’EPU 2009 de la Côte d’Ivoire ;
- Mettre en place une stratégie de suivi de la mise en œuvre des recommandations de l’EPU pour le second cycle prévu en Avril - Mai 2014.
L’atelier qui a bénéficié de l’appui financier du Service de Coopération et d’Action Culturelle/ Ambassade de France et de la Division des Droits de l’Homme de l’ONUCI, a été meublé par une cérémonie d’ouverture, des communications, des travaux en atelier et une cérémonie de clôture.
Lors des cérémonies d’ouverture et de clôture, une allocution a été prononcée respectivement par Mme Pédan Marthe COULIBALY (Président du Comité d’organisation), Mme Saoudatou FOUSSENI, Représentante du Chef de la Division des Droits de l’Homme de l’ONUCI, M. Christian OQUET (Conseiller d’Action Culturelle/ Ambassade de France) et M. Siaka FOFANA, Conseiller Technique du Garde des Sceaux, Ministre de la Justice, des Droits de l’Homme et des Libertés Publiques.
Une trentaine d’Organisations Non Gouvernementales ivoiriennes de promotion des Droits de l’Homme, des représentants de la Commission Nationale des Droits de l’Homme (CNDHCI) et les points focaux Droits de l’Homme des Ministères techniques, ont pris part à cette importante activité.