Washington – Keiko Honda, Vice-présidente exécutive de l’Agence multilatérale de garantie des investissements (MIGA) – l’organe du Groupe de la Banque mondiale qui assure contre les risques politiques – vient d’entamer son premier déplacement officiel depuis sa nomination. Elle est arrivée en Afrique du Sud le 1er septembre et se rendra par la suite au Kenya, puis en Côte d’Ivoire. Mme Honda est accompagnée de Michel Wormser, Vice-président et Chef des opérations de la MIGA. L’équipe doit rencontrer des fonctionnaires gouvernementaux, des investisseurs et des prêteurs avec lesquels elle s’entretiendra des moyens par lesquels la MIGA pourrait stimuler l’investissement privé en Afrique subsaharienne par le biais d’instruments de garantie des investissements.
Lors de son dernier exercice budgétaire, la MIGA a émis des garanties d’un montant d’1,5 milliard de dollars destinés à couvrir des investissements dans les secteurs de l’agroalimentaire, de l’énergie, des services et des ressources en eau, affichant ainsi son meilleur résultat à ce jour en Afrique subsaharienne. « Les engagements de l’Agence dans la région ont plus que doublé ces trois dernières années » précise Mme Honda. « Nous avons clairement indiqué que l’Afrique subsaharienne était une priorité pour la MIGA, et nous entendons continuer à promouvoir les investissements porteurs d’emplois et de croissance. »
En Côte d’Ivoire, où Mme Honda est attendue le 7 septembre, les garanties de la MIGA ont permis de mobiliser ces deux dernières années plus de 2 milliards de dollars sous forme d’investissements, notamment dans le secteur énergétique. Les garanties de la MIGA vont notamment faciliter la conversion de la centrale thermique à cycle simple d’Azito en une centrale à cycle combiné, ce qui permettra de doubler la production d’électricité sans accroître la consommation de gaz. Les financements de la Société financière internationale (IFC) viennent compléter l’assurance contre les risques politiques fournie par la MIGA. L’Agence assure également les investissements et les emprunts liés à l’expansion de la plate-forme de production pétrolière et gazière de la société Foxtrot International. Cette dernière va construire une nouvelle plate-forme sur le gisement gazier de Marlin, qui devrait entrer en exploitation en 2015. Le projet bénéficiera également d’une garantie partielle des risques d’un montant de 60 millions de dollars émise par l’Association internationale de développement de la Banque mondiale (IDA).
La MIGA soutient aussi la construction et l’exploitation du pont à péage Henri Konan Bédié en fournissant des garanties d’un montant de 145 millions de dollars qui serviront à couvrir les risques des investisseurs et des prêteurs associés au projet. Elle intervient aussi à l’appui de la construction à Abidjan d’un hôtel du groupe hôtelier malien Azalai Hotels SA. Les engagements bruts de la MIGA en Côte d’Ivoire s’élèvent à 751 millions de dollars, ce qui place le pays au deuxième rang du portefeuille de garanties de l’Agence.
« Nous sommes heureux d’œuvrer avec nos partenaires du Groupe de la Banque mondiale à la promotion d’investissements qui vont transformer les infrastructures de la Côte d’Ivoire, au moment où le pays sort d’un conflit civil de plus de dix ans qui a eu un profond impact sur l’économie », ajoute Mme Honda. « Je me félicite de pouvoir constater par moi-même les progrès considérables qu’a réalisés le pays et de pouvoir débattre des moyens qui nous permettront d’aider la Côte d’Ivoire à atteindre ses objectifs de développement, en facilitant la mobilisation d’investissements en faveur d’infrastructures porteuses de compétitivité et d’entreprises créatrices d’emplois. »
Lors de son dernier exercice budgétaire, la MIGA a émis des garanties d’un montant d’1,5 milliard de dollars destinés à couvrir des investissements dans les secteurs de l’agroalimentaire, de l’énergie, des services et des ressources en eau, affichant ainsi son meilleur résultat à ce jour en Afrique subsaharienne. « Les engagements de l’Agence dans la région ont plus que doublé ces trois dernières années » précise Mme Honda. « Nous avons clairement indiqué que l’Afrique subsaharienne était une priorité pour la MIGA, et nous entendons continuer à promouvoir les investissements porteurs d’emplois et de croissance. »
En Côte d’Ivoire, où Mme Honda est attendue le 7 septembre, les garanties de la MIGA ont permis de mobiliser ces deux dernières années plus de 2 milliards de dollars sous forme d’investissements, notamment dans le secteur énergétique. Les garanties de la MIGA vont notamment faciliter la conversion de la centrale thermique à cycle simple d’Azito en une centrale à cycle combiné, ce qui permettra de doubler la production d’électricité sans accroître la consommation de gaz. Les financements de la Société financière internationale (IFC) viennent compléter l’assurance contre les risques politiques fournie par la MIGA. L’Agence assure également les investissements et les emprunts liés à l’expansion de la plate-forme de production pétrolière et gazière de la société Foxtrot International. Cette dernière va construire une nouvelle plate-forme sur le gisement gazier de Marlin, qui devrait entrer en exploitation en 2015. Le projet bénéficiera également d’une garantie partielle des risques d’un montant de 60 millions de dollars émise par l’Association internationale de développement de la Banque mondiale (IDA).
La MIGA soutient aussi la construction et l’exploitation du pont à péage Henri Konan Bédié en fournissant des garanties d’un montant de 145 millions de dollars qui serviront à couvrir les risques des investisseurs et des prêteurs associés au projet. Elle intervient aussi à l’appui de la construction à Abidjan d’un hôtel du groupe hôtelier malien Azalai Hotels SA. Les engagements bruts de la MIGA en Côte d’Ivoire s’élèvent à 751 millions de dollars, ce qui place le pays au deuxième rang du portefeuille de garanties de l’Agence.
« Nous sommes heureux d’œuvrer avec nos partenaires du Groupe de la Banque mondiale à la promotion d’investissements qui vont transformer les infrastructures de la Côte d’Ivoire, au moment où le pays sort d’un conflit civil de plus de dix ans qui a eu un profond impact sur l’économie », ajoute Mme Honda. « Je me félicite de pouvoir constater par moi-même les progrès considérables qu’a réalisés le pays et de pouvoir débattre des moyens qui nous permettront d’aider la Côte d’Ivoire à atteindre ses objectifs de développement, en facilitant la mobilisation d’investissements en faveur d’infrastructures porteuses de compétitivité et d’entreprises créatrices d’emplois. »