Il faut les saluer pour cette qualification. Il faut reconnaître que ce n’était pas facile de jouer dans les conditions qu’on connaît. Elles ne sont pas habituées à jouer sur un tel terrain, c’est la première fois. Nous pensons qu’il y a encore du travail à faire. Mais surtout, il reste un match important à livrer en demi-finale et après, on peut espérer une médaille.
Djadji Clément (entraîneur)
Nous avons entamé ce match très handicapés par l’absence des filles qui ont fui dans la nuit, mais il fallait jouer. Vous avez vu dans quel état étaient les filles ; la fatigue et le choc moral étaient là. On a tenté quelque chose, ça a marché, nous sommes qualifiés pour la demi-finale, c’est magnifique. Désormais, nous sommes obligés de faire avec ces défections. En tant que coach, j’ai accueilli cela avec beaucoup de tristesse. C’est vraiment dommage, je ne sais ce que le fait de partir à l’aventure dans ces conditions, va leur apporter. Mais, je pense que chacun assume ses ambitions.
Kouyaté Kani (joueuse)
Dès lors que nous avons gagné, je suis contente, la joie va regagner le groupe après la défection des filles. Avant d’arriver ici à Nice, nous formions un groupe, une équipe. On s’est dit que nous venons pour un objectif et que nous formons un seul esprit. Mais voilà qu’elles sont parties. Je n’ai pu m’empêcher de pleurer, j’étais vraiment à plat. C’est le coach qui m’a motivée parce que j’étais très affectée. Mais la vie continue. Et pour preuve, on a gagné sans elles. C’est dire qu’on peut continuer sans elles. Nous sommes venues à douze, Nous restons neuf joueuses, nous allons défendre le drapeau de notre pays à neuf. J’ai parlé aux filles, je leur ai dit de ne pas se focaliser sur les filles qui sont parties et qu’elles doivent avoir confiance en elles.
Propos recueillis par A.CAMARA
Djadji Clément (entraîneur)
Nous avons entamé ce match très handicapés par l’absence des filles qui ont fui dans la nuit, mais il fallait jouer. Vous avez vu dans quel état étaient les filles ; la fatigue et le choc moral étaient là. On a tenté quelque chose, ça a marché, nous sommes qualifiés pour la demi-finale, c’est magnifique. Désormais, nous sommes obligés de faire avec ces défections. En tant que coach, j’ai accueilli cela avec beaucoup de tristesse. C’est vraiment dommage, je ne sais ce que le fait de partir à l’aventure dans ces conditions, va leur apporter. Mais, je pense que chacun assume ses ambitions.
Kouyaté Kani (joueuse)
Dès lors que nous avons gagné, je suis contente, la joie va regagner le groupe après la défection des filles. Avant d’arriver ici à Nice, nous formions un groupe, une équipe. On s’est dit que nous venons pour un objectif et que nous formons un seul esprit. Mais voilà qu’elles sont parties. Je n’ai pu m’empêcher de pleurer, j’étais vraiment à plat. C’est le coach qui m’a motivée parce que j’étais très affectée. Mais la vie continue. Et pour preuve, on a gagné sans elles. C’est dire qu’on peut continuer sans elles. Nous sommes venues à douze, Nous restons neuf joueuses, nous allons défendre le drapeau de notre pays à neuf. J’ai parlé aux filles, je leur ai dit de ne pas se focaliser sur les filles qui sont parties et qu’elles doivent avoir confiance en elles.
Propos recueillis par A.CAMARA