Abidjan - La bataille pour le contrôle de la chambre de commerce et d’industrie de côte d’ivoire, s’annonce âpre depuis la date fixée pour l’élection du nouveau président de cette organisation, prévu probablement pour le 27 octobre prochain. Cette situation nous emmène à assister depuis quelques jours à un ballet de déclaration de candidature avec son corollaire de formation d’équipe de campagne.
Au cours d’un point de presse qu’il a animé le mercredi 31 juillet 2013, le pharmacien PARFAIT KOUASSI, a annoncé sa candidature à la présidence de la chambre de commerce et d’industrie de la côte d’ivoire. Il a été suivi par le candidat DIOMANDE MOUSSA le mardi 06 Août 2013, qui à l’instar de son prédécesseur, a dans un hôtel de la place, annoncé lui aussi sa candidature.
Tous ces différents staffs, en ordre de bataille pour le contrôle de la chambre de commerce, affutent leurs armes de combat avec pour finalité, la sensibilisation et la mobilisation du maximum possible d’électeurs.
Dans un tel contexte, l’ivoirien lambda se pose la question de savoir qui est électeur et qui est éligible ?
Ainsi, nos recherches nous ont conduit chez un élu de la chambre de commerce qui sous le sceau de l’anonymat nous à remis les statuts et règlement intérieur, modifiés en 2010 au séminaire de Yamoussoukro et adoptés par l’Assemblée Générale le samedi 22 Juin 2013 à cause de la crise postélectorale.
Dans ces règlements intérieurs, il est écrit à l’article 28 du titre IV : « Après renouvellement de l’assemblée générale, dans les quinze jours qui suivent la publication des résultats de l’élection, le ministre en charge des élections à la chambre convoque la nouvelle assemblée aux fins de son installation et de l’élection d’un nouveau président. Nul ne peut être éligible au poste de président de la chambre, s’il n’a préalablement exercé au moins un mandat de membre élu ».
La côte d’ivoire, étant sous l’ère Alassane Ouattara comme un pays de droit, nous pouvons confirmer que la chambre de commerce ivoirienne aura bientôt un président démocratiquement et légalement élu ; n’en déplaise aux oiseaux politiques de mauvais augure qui cherchent impunément à contourner les lois avec l’appui de certaines personnalités de la république dont l’objectif lugubre est de passer par tous les moyens pour installer leur poulain dans le fauteuil présidentiel de cette chambre de commerce et d’industrie de côte d’ivoire. Tordre le coup à la démocratie à la chambre de commerce ivoirienne ne serait pas un frein à la crédibilité de cette organisation tant sur le plan national, qu’international ? Nous y reviendrons !
Edgar Kouassi
Au cours d’un point de presse qu’il a animé le mercredi 31 juillet 2013, le pharmacien PARFAIT KOUASSI, a annoncé sa candidature à la présidence de la chambre de commerce et d’industrie de la côte d’ivoire. Il a été suivi par le candidat DIOMANDE MOUSSA le mardi 06 Août 2013, qui à l’instar de son prédécesseur, a dans un hôtel de la place, annoncé lui aussi sa candidature.
Tous ces différents staffs, en ordre de bataille pour le contrôle de la chambre de commerce, affutent leurs armes de combat avec pour finalité, la sensibilisation et la mobilisation du maximum possible d’électeurs.
Dans un tel contexte, l’ivoirien lambda se pose la question de savoir qui est électeur et qui est éligible ?
Ainsi, nos recherches nous ont conduit chez un élu de la chambre de commerce qui sous le sceau de l’anonymat nous à remis les statuts et règlement intérieur, modifiés en 2010 au séminaire de Yamoussoukro et adoptés par l’Assemblée Générale le samedi 22 Juin 2013 à cause de la crise postélectorale.
Dans ces règlements intérieurs, il est écrit à l’article 28 du titre IV : « Après renouvellement de l’assemblée générale, dans les quinze jours qui suivent la publication des résultats de l’élection, le ministre en charge des élections à la chambre convoque la nouvelle assemblée aux fins de son installation et de l’élection d’un nouveau président. Nul ne peut être éligible au poste de président de la chambre, s’il n’a préalablement exercé au moins un mandat de membre élu ».
La côte d’ivoire, étant sous l’ère Alassane Ouattara comme un pays de droit, nous pouvons confirmer que la chambre de commerce ivoirienne aura bientôt un président démocratiquement et légalement élu ; n’en déplaise aux oiseaux politiques de mauvais augure qui cherchent impunément à contourner les lois avec l’appui de certaines personnalités de la république dont l’objectif lugubre est de passer par tous les moyens pour installer leur poulain dans le fauteuil présidentiel de cette chambre de commerce et d’industrie de côte d’ivoire. Tordre le coup à la démocratie à la chambre de commerce ivoirienne ne serait pas un frein à la crédibilité de cette organisation tant sur le plan national, qu’international ? Nous y reviendrons !
Edgar Kouassi
