ABIDJAN -- Trois gendarmes ivoirens ont été blessés lundi lors d’une embuscade menée par un groupe armée contre une patrouille de gendarmes, a-t-on appris de source sécuritaire.
Cette attaque contre les forces de sécurité à Yamoussoukro, capitale politique ivoirienne, est la troisième en une semaine.
Des fusillades précédentes entre patrouilles de policiers et de gendarmes et des individus armés tapis dans l’ombre avaient fait au moins cinq morts dont deux gendarmes, un policier et deux assaillants.
Ce regain de violence a créé la psychose au sein des populations civiles qui préfèrent désormais se terrer chez elles une fois la nuit tomée.
La Côte d’Ivoire sort de manière progressive d’une crise post- électorale aiguë qui a secoué le pays en 2010 et 2011.
La prolifération et la circulation illicite d’armes à la faveur de la crise a favorisé le phénomène des bandes armées qui n’hésitent pas à s’attaquer à des convois officiels, civils et militaires.
Lors d’une rencontre avec des acteurs de l’administration déconcentrée, le président ivoirien Alassane Ouattara avait annoncé une "guerre sans pitié" contre les bandes armées incontrôlées qui sévissent et qui sèment l’inquiétude chez les habitants.
Cette attaque contre les forces de sécurité à Yamoussoukro, capitale politique ivoirienne, est la troisième en une semaine.
Des fusillades précédentes entre patrouilles de policiers et de gendarmes et des individus armés tapis dans l’ombre avaient fait au moins cinq morts dont deux gendarmes, un policier et deux assaillants.
Ce regain de violence a créé la psychose au sein des populations civiles qui préfèrent désormais se terrer chez elles une fois la nuit tomée.
La Côte d’Ivoire sort de manière progressive d’une crise post- électorale aiguë qui a secoué le pays en 2010 et 2011.
La prolifération et la circulation illicite d’armes à la faveur de la crise a favorisé le phénomène des bandes armées qui n’hésitent pas à s’attaquer à des convois officiels, civils et militaires.
Lors d’une rencontre avec des acteurs de l’administration déconcentrée, le président ivoirien Alassane Ouattara avait annoncé une "guerre sans pitié" contre les bandes armées incontrôlées qui sévissent et qui sèment l’inquiétude chez les habitants.
