La rentrée scolaire 2013-2014 qui a débuté lundi sur toute l’étendue du territoire national s’amorce timidement à Ouangolodougou et Biankouma, a constaté l’AIP.
Selon M. Zadi Luc, professeur de philosophie au Lycée moderne de Ouangolodougou (nord, région des Savanes), les enseignants présents dans les salles de classes dès 7 H, pour la prise de contact avec les élèves, les ont trouvées quasiment vides car ces derniers ont préféré remplir les formalités liées aux inscriptions.
Le constat est le même à l’Ecole primaire publique (EPP) Château où le chef d’établissement a affirmé que les enseignants sont tous présents mais que les élèves manquent à l’appel. Du côté de l’EPP Diédougou, le directeur a souligné le manque d’engouement pour ce premier jour de classes et s’est inquièté, à l’avenir, du « manque de place dans les classes ».
Tout comme à Ouangolodougou, à Biankouma (Ouest, région du Tonkpi), il n'y a pas eu un début effectif des cours dans les différents établissements scolaires, ce lundi, jour de la rentrée des classes, a noté l’AIP. Les élèves qui se sont rendus dans leurs établissements respectifs en compagnie de leurs parents se sont préoccupés d’achever leurs inscriptions.
Moins de 50% des élèves ont effectué leur inscription ou réinscription, a déclaré M. Karamoko Mamadou, Proviseur du Lycée moderne de Biankouma. Pour le premier responsable de l'établissement, les parents trainent les pieds du fait de la non-maîtrise du mode opératoire de l'inscription en ligne et du manque de moyens financiers. Dans le primaire, on attend les kits scolaires du ministère, a-t-on expliqué à l’AIP.
Par ailleurs, le proviseur du lycée moderne de Biankouma a évoqué le déficit d’enseignants dans son établissement qui ne dispose que de deux professeurs d'Histoire et Géographie pour dix classes de 3e et dix de 6e, là où il y a un besoin de huit enseignants dans cette discipline.
(AIP)
Selon M. Zadi Luc, professeur de philosophie au Lycée moderne de Ouangolodougou (nord, région des Savanes), les enseignants présents dans les salles de classes dès 7 H, pour la prise de contact avec les élèves, les ont trouvées quasiment vides car ces derniers ont préféré remplir les formalités liées aux inscriptions.
Le constat est le même à l’Ecole primaire publique (EPP) Château où le chef d’établissement a affirmé que les enseignants sont tous présents mais que les élèves manquent à l’appel. Du côté de l’EPP Diédougou, le directeur a souligné le manque d’engouement pour ce premier jour de classes et s’est inquièté, à l’avenir, du « manque de place dans les classes ».
Tout comme à Ouangolodougou, à Biankouma (Ouest, région du Tonkpi), il n'y a pas eu un début effectif des cours dans les différents établissements scolaires, ce lundi, jour de la rentrée des classes, a noté l’AIP. Les élèves qui se sont rendus dans leurs établissements respectifs en compagnie de leurs parents se sont préoccupés d’achever leurs inscriptions.
Moins de 50% des élèves ont effectué leur inscription ou réinscription, a déclaré M. Karamoko Mamadou, Proviseur du Lycée moderne de Biankouma. Pour le premier responsable de l'établissement, les parents trainent les pieds du fait de la non-maîtrise du mode opératoire de l'inscription en ligne et du manque de moyens financiers. Dans le primaire, on attend les kits scolaires du ministère, a-t-on expliqué à l’AIP.
Par ailleurs, le proviseur du lycée moderne de Biankouma a évoqué le déficit d’enseignants dans son établissement qui ne dispose que de deux professeurs d'Histoire et Géographie pour dix classes de 3e et dix de 6e, là où il y a un besoin de huit enseignants dans cette discipline.
(AIP)