Un atelier régional de deux jours réunit mercredi à Abidjan, en Côte d’Ivoire, des experts en sécurité de la Communauté économique de l’Afrique de l’Ouest ( CEDEAO) en vue de réformer les systèmes de sécurité dans l’espace sous-régional pour faire face aux nouvelles formes de criminalité.
A l’ouverture des travaux, le président du Conseil supérieur de la formation et de la recherche stratégique (CSFRS) de France, Alain Bauer, a souligné que "l’ennemie a changé de stratégie" non sans inviter les participants à "s’adapter aux nouvelles menaces" qui planent sur les Etats, notamment le terrorisme, la criminalité transfrontalière, le trafic de drogue et d’armes, la traite des êtres humains et la piraterie maritime, afin de les prévenir.
Le ministre ivoirien de l’Intérieur, Hamed Bakayoko, a pour sa part relevé que les pays de la sous-région font face à des " menaces communes" avant de préconiser des "réponses communes et régionales".
"Aucun pays de la sous-région ne peut y faire face seul", a-t- il insisté.
"La réforme des systèmes de sécurité ne doit pas être imposée de l’extérieur mais doit faire l’objet de concertation et d’adaptation aux réalités de chacun des différents pays", a ajouté Hamed Bakayoko.
Il a exhorté les experts à prendre en compte l’adéquation " moyens et besoins" afin d’éviter des décisions inapplicables dans les pays.
Durant deux jours, les experts en sécurité intérieure de 15 pays d’Afrique de l’Ouest vont faire des propositions pour améliorer les capacités des institutions de sécurité intérieure et de justice civile et militaire pour un "renforcement du professionnalisme, de la compétence et de l’éthique" de leurs agents.
L’atelier est co-organisé par les ministères français et ivoirien de l’Intérieur en partenariat avec l’Onu.
A l’ouverture des travaux, le président du Conseil supérieur de la formation et de la recherche stratégique (CSFRS) de France, Alain Bauer, a souligné que "l’ennemie a changé de stratégie" non sans inviter les participants à "s’adapter aux nouvelles menaces" qui planent sur les Etats, notamment le terrorisme, la criminalité transfrontalière, le trafic de drogue et d’armes, la traite des êtres humains et la piraterie maritime, afin de les prévenir.
Le ministre ivoirien de l’Intérieur, Hamed Bakayoko, a pour sa part relevé que les pays de la sous-région font face à des " menaces communes" avant de préconiser des "réponses communes et régionales".
"Aucun pays de la sous-région ne peut y faire face seul", a-t- il insisté.
"La réforme des systèmes de sécurité ne doit pas être imposée de l’extérieur mais doit faire l’objet de concertation et d’adaptation aux réalités de chacun des différents pays", a ajouté Hamed Bakayoko.
Il a exhorté les experts à prendre en compte l’adéquation " moyens et besoins" afin d’éviter des décisions inapplicables dans les pays.
Durant deux jours, les experts en sécurité intérieure de 15 pays d’Afrique de l’Ouest vont faire des propositions pour améliorer les capacités des institutions de sécurité intérieure et de justice civile et militaire pour un "renforcement du professionnalisme, de la compétence et de l’éthique" de leurs agents.
L’atelier est co-organisé par les ministères français et ivoirien de l’Intérieur en partenariat avec l’Onu.