Abidjan- Le président ivoirien, Alassane Ouattara, a plaidé, à la tribune de la 68ème session de l’Assemblée générale des Nations Unies, en faveur d’une solidarité du monde pour atteindre les objectifs du millénaire du développement.
"Il nous faut donc adopter une approche globale qui permettra à nos pays de bâtir des modèles de développement durables, plus justes et respectueux de nos spécificités", a déclaré le président Ouattara, relevant que "le continent africain qui affiche un retard par rapport à l’échéance de 2015, peut cependant compter sur son poids croissant dans l’économie mondiale".
Pour le chef de l’Etat ivoirien, l’atteinte des OMD passe par le relèvement du "défi de la paix et de la sécurité, mais aussi celui de la démocratie à travers le retour aux valeurs de la Charte des Nations Unies", et donc la fin des foyers guerres et conflits déjà existants, "mais aussi circonscrire les nouvelles menaces, notamment le terrorisme, la criminalité transfrontalière, le trafic de drogue et d’armes, la traite des êtres humains, la piraterie maritime".
Des actions nuisibles qui sapent "les efforts de développement de nombreux pays", a-t-il déploré.
Faisant savoir que l’Afrique occidentale est "consciente de la menace que fait peser sur son développement, la dégradation de l’environnement sécuritaire et la prolifération de nouveaux facteurs d’instabilité", Alassane Ouattara, par ailleurs, président de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’ouest (CEDEAO), a encouragé l’appui de la communauté internationale "pour le rétablissement et la préservation de la paix dans la région", dans la perspective de la "gouvernance internationale", a-t-il ajouté.
Au plan national, le président Ouattara a traduit sa reconnaissance aux Nations Unies et la communauté internationale pour le rôle qu’elles continuent de jouer aux côtés du gouvernement et du peuple ivoiriens.
"Grâce à ce précieux soutien, a-t-il indiqué, "la Côte d’Ivoire est au travail et a repris le chemin du développement économique et social, pour le bien-être de tous les Ivoiriens, même si beaucoup reste encore à faire".
En marge des assises de la 68ème Assemblée générale des Nations Unies sur le thème "Le programme de développement de l’après 2015 : plantons le décor", le président de la République a accordé de nombreuses audiences à des éminentes personnalités du monde, dont ses homologues bissau-guinéen et ghanéen, et visité, mercredi, la Mission permanente de la Côte d’Ivoire près les Nations Unies et le Bureau économique ivoirien près les Etats-Unis, le Canada et le Mexique.
Il quitte New York ce jeudi pour Paris, avant de regagner, dimanche, Abidjan, indique-t-on.
Fmo/kp
"Il nous faut donc adopter une approche globale qui permettra à nos pays de bâtir des modèles de développement durables, plus justes et respectueux de nos spécificités", a déclaré le président Ouattara, relevant que "le continent africain qui affiche un retard par rapport à l’échéance de 2015, peut cependant compter sur son poids croissant dans l’économie mondiale".
Pour le chef de l’Etat ivoirien, l’atteinte des OMD passe par le relèvement du "défi de la paix et de la sécurité, mais aussi celui de la démocratie à travers le retour aux valeurs de la Charte des Nations Unies", et donc la fin des foyers guerres et conflits déjà existants, "mais aussi circonscrire les nouvelles menaces, notamment le terrorisme, la criminalité transfrontalière, le trafic de drogue et d’armes, la traite des êtres humains, la piraterie maritime".
Des actions nuisibles qui sapent "les efforts de développement de nombreux pays", a-t-il déploré.
Faisant savoir que l’Afrique occidentale est "consciente de la menace que fait peser sur son développement, la dégradation de l’environnement sécuritaire et la prolifération de nouveaux facteurs d’instabilité", Alassane Ouattara, par ailleurs, président de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’ouest (CEDEAO), a encouragé l’appui de la communauté internationale "pour le rétablissement et la préservation de la paix dans la région", dans la perspective de la "gouvernance internationale", a-t-il ajouté.
Au plan national, le président Ouattara a traduit sa reconnaissance aux Nations Unies et la communauté internationale pour le rôle qu’elles continuent de jouer aux côtés du gouvernement et du peuple ivoiriens.
"Grâce à ce précieux soutien, a-t-il indiqué, "la Côte d’Ivoire est au travail et a repris le chemin du développement économique et social, pour le bien-être de tous les Ivoiriens, même si beaucoup reste encore à faire".
En marge des assises de la 68ème Assemblée générale des Nations Unies sur le thème "Le programme de développement de l’après 2015 : plantons le décor", le président de la République a accordé de nombreuses audiences à des éminentes personnalités du monde, dont ses homologues bissau-guinéen et ghanéen, et visité, mercredi, la Mission permanente de la Côte d’Ivoire près les Nations Unies et le Bureau économique ivoirien près les Etats-Unis, le Canada et le Mexique.
Il quitte New York ce jeudi pour Paris, avant de regagner, dimanche, Abidjan, indique-t-on.
Fmo/kp