L’Ambassadeur de France en Côte d’Ivoire, George Serre a jugé positif, mardi, le bilan du partenariat engagé entre la Côte d’Ivoire et le Comité d’orientation et de suivi du Contrat de désendettement et de développement (COS-C2D).
"Nous faisons un bilan positif de notre partenariat avec la Côte d’Ivoire. Nous allons démarrer les différents chantiers de développement, 85% du montant total des 413,25 milliards de FCFA prévus dans ce cadre, seront engagés à la fin de l’année 2013", a affirmé l’ambassadeur au terme de la première réunion du COS-C2D avec le Premier ministre, Daniel Kablan Duncan.
Cette première réunion du COS-C2D avec le gouvernement ivoirien, a eu pour objectif principal de faire un premier bilan de la mise en œuvre du C2D et d’examiner les questions relatives aux besoins éventuels de réorientation des projets et programmes du C2D. Elle visait aussi à échanger sur l’aide budgétaire ciblée qui doit commencer et se poursuivre.
Pour sa part, le Premier ministre a remercié en présence de quelques membres du Gouvernement, les représentants du C2D pour cette collaboration réussie entre la France et la Côte d’Ivoire, qui contribue à la relance économique ivoirienne.
M. Duncan a souligné en outre que l’objectif ivoirien dans ce partenariat avec le C2D est de construire des bases fortes pour faire de la Côte d’Ivoire en 2020, un pays émergent et de réduire la pauvreté de 50% d’ici 2015.
Après l’atteinte du Point d’achèvement de l’initiative des Pays pauvres très endettés (PPTE), la Côte d’Ivoire a amorcé avec la France, le processus de préparation du C2D.
Ce processus a abouti à la définition du cadre institutionnel, à l’identification des secteurs prioritaires en référence au Plan national de développement et à l’élaboration du cadrage financier du premier C2D pour un montant de 413,25 milliards de F FCA, sur la période 2012-2015 dans six secteurs de concentration.
Il s’agit de l’Education/Formation (61 milliards FCFA), Santé (45,7 milliards FCFA), Agriculture et Biodiversité (73,2 milliards FCFA), Développement urbain (82,8 milliards FCFA), Infrastructures de transport (90,9 milliards FCFA), Justice-Etat de droit (15,1 milliards FCFA).
S’y s’ajoutent trois secteurs transversaux que sont l’Aide budgétaire (16,4 milliards FCFA), Réserves (15,7 milliards FCFA), Etudes et Pilotages (12,5 milliards FCFA).
amak/cmas
"Nous faisons un bilan positif de notre partenariat avec la Côte d’Ivoire. Nous allons démarrer les différents chantiers de développement, 85% du montant total des 413,25 milliards de FCFA prévus dans ce cadre, seront engagés à la fin de l’année 2013", a affirmé l’ambassadeur au terme de la première réunion du COS-C2D avec le Premier ministre, Daniel Kablan Duncan.
Cette première réunion du COS-C2D avec le gouvernement ivoirien, a eu pour objectif principal de faire un premier bilan de la mise en œuvre du C2D et d’examiner les questions relatives aux besoins éventuels de réorientation des projets et programmes du C2D. Elle visait aussi à échanger sur l’aide budgétaire ciblée qui doit commencer et se poursuivre.
Pour sa part, le Premier ministre a remercié en présence de quelques membres du Gouvernement, les représentants du C2D pour cette collaboration réussie entre la France et la Côte d’Ivoire, qui contribue à la relance économique ivoirienne.
M. Duncan a souligné en outre que l’objectif ivoirien dans ce partenariat avec le C2D est de construire des bases fortes pour faire de la Côte d’Ivoire en 2020, un pays émergent et de réduire la pauvreté de 50% d’ici 2015.
Après l’atteinte du Point d’achèvement de l’initiative des Pays pauvres très endettés (PPTE), la Côte d’Ivoire a amorcé avec la France, le processus de préparation du C2D.
Ce processus a abouti à la définition du cadre institutionnel, à l’identification des secteurs prioritaires en référence au Plan national de développement et à l’élaboration du cadrage financier du premier C2D pour un montant de 413,25 milliards de F FCA, sur la période 2012-2015 dans six secteurs de concentration.
Il s’agit de l’Education/Formation (61 milliards FCFA), Santé (45,7 milliards FCFA), Agriculture et Biodiversité (73,2 milliards FCFA), Développement urbain (82,8 milliards FCFA), Infrastructures de transport (90,9 milliards FCFA), Justice-Etat de droit (15,1 milliards FCFA).
S’y s’ajoutent trois secteurs transversaux que sont l’Aide budgétaire (16,4 milliards FCFA), Réserves (15,7 milliards FCFA), Etudes et Pilotages (12,5 milliards FCFA).
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