Abidjan - Le gouvernement, s'inspirant des bons résultats obtenus avec le Conseil café-cacao, a décidé de la création d'une structure similaire sera désormais chargée de réguler et suivre le développement des activités des filières coton et anacarde.
"C'est une structure de régulation à l'image de ce qui se fait dans le café et le cacao et qui aujourd'hui a démontré son efficacité", a expliqué le porte-parole du gouvernement au terme du Conseil des ministres, mercredi.
Selon le ministre Bruno Koné, il s'agit de "donner espoir aux producteurs" en résorbant les difficultés qu'ils rencontraient pour commercialiser leurs productions.
Dénommée "Conseil du coton et de l'anacarde", la structure de régulation permettra, entre autres, de garantir un prix d'achat aux paysans des filières, ce qui devrait contribuer à augmenter leurs revenus, a ajouté le ministre des PTIC.
La décision de créer un cadre commun de gestion des filières coton et anacarde avait été prise, lors de la récente visite du chef de l'Etat dans le district des Savanes, notamment lors du Conseil des ministres tenu à Korhogo, rappelle-t-on.
Le Conseil avait été alors arrêté de créer, pour ces deux produits, un cadre de gestion identique à celui qui gère aujourd'hui le café et le cacao, non seulement pour le développement de ces deux filières, "essentielles à la région du nord", mais aussi et surtout pour permettre aux producteurs qui, jusque-là, étaient pratiquement obligés de brader leurs produits à des spéculateurs, de vivre désormais décemment de leur activité.
(AIP)
kg/kp
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"C'est une structure de régulation à l'image de ce qui se fait dans le café et le cacao et qui aujourd'hui a démontré son efficacité", a expliqué le porte-parole du gouvernement au terme du Conseil des ministres, mercredi.
Selon le ministre Bruno Koné, il s'agit de "donner espoir aux producteurs" en résorbant les difficultés qu'ils rencontraient pour commercialiser leurs productions.
Dénommée "Conseil du coton et de l'anacarde", la structure de régulation permettra, entre autres, de garantir un prix d'achat aux paysans des filières, ce qui devrait contribuer à augmenter leurs revenus, a ajouté le ministre des PTIC.
La décision de créer un cadre commun de gestion des filières coton et anacarde avait été prise, lors de la récente visite du chef de l'Etat dans le district des Savanes, notamment lors du Conseil des ministres tenu à Korhogo, rappelle-t-on.
Le Conseil avait été alors arrêté de créer, pour ces deux produits, un cadre de gestion identique à celui qui gère aujourd'hui le café et le cacao, non seulement pour le développement de ces deux filières, "essentielles à la région du nord", mais aussi et surtout pour permettre aux producteurs qui, jusque-là, étaient pratiquement obligés de brader leurs produits à des spéculateurs, de vivre désormais décemment de leur activité.
(AIP)
kg/kp
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