Le Panel de Haut niveau de l’Union Africaine sur l’Egalité des Sexes et l’Autonomisation des Femmes, dans le contexte des OMD après 2015, organisé conjointement avec le Ministère ivoirien de la Solidarité de la Famille, de la Femme et de l’Enfant du 02 au 04 Octobre 2013, avec le soutien du PNUD, de l’UNICEF, de l’UNFPA, de la CEA, et de ONU FEMMES, a réaffirmé l’engagement des femmes du continent à contribuer à la cause commune africaine .sur l’agenda de développement post-2015.
Le panel de haut niveau, dont le thème est « l’agenda post 2015 pour les femmes dans le contexte de l’autonomisation économique », a fait un ensemble de recommandations, dont l’application devrait favoriser et consacrer la contribution des femmes africaines à la cause commune du continent sur le développement post-2015.
Réussir cet objectif combien important pour le développement du continent, passerait selon le panel d’experts, par l’intégration des femmes dans le processus de planification et de mise en œuvre des programmes de reconstruction et de développement. Et aussi que les autorités des pays parviennent à promulguer des lois sensibles au genre pour la mise en œuvre des politiques économiques qui favorisent le développement et la reconstruction post-conflit.
A cela faudra prévoir systématiquement l’intégration du genre dans la réforme des secteurs de la sécurité ainsi que la mise en place des mécanismes et procédures spécifiques pour prévenir et punir les violences sexuelles, y compris la mise en place du « vetting » et le renforcement de capacité sur la prévention et la réponse des violences sexuelles liées au conflit. Mais bien plus encore, les programmes post-conflit doivent garantir la reprise économique aux femmes.
En vue de parvenir à l’autonomisation socio-économique des femmes dans le contexte de l’agenda post-2015, les autorités du continent doivent Faciliter l’accès au financement aux filles et aux femmes, promouvoir l’entreprenariat féminin, mobiliser et engager les ressources exogènes et endogènes pour la promotion de la gente féminine. Il sera aussi question de promouvoir l’éducation de qualité pour tous les garçons et filles, ainsi que l’achèvement du cycle d’éducation primaire pour les filles. Poursuivre et renforcer le droit de propriété et d’usage, d’accès aux ressources pour les personnes vulnérables, notamment les femmes.
Ces autorités devront veiller à ce que tous les indicateurs pertinents soient désagrégés sur la base du sexe et de l’âge afin de mesurer les progrès dans l’attente de l’égalité du genre. Eliminer toutes mortalités maternelles évitables ; multiplier les efforts pour l’accès aux droits de la santé sexuelle et de la reproduction, à l’information, aux services de santé maternelle et à la planification familiale.
Aussi elles devront promouvoir l’accès des filles et des garçons à une éducation de qualité tant au niveau du primaire que du secondaire, dans un environnement sécurisé et protégé. Puis enfin assurer la protection des femmes, des filles et des enfants contre la violence basée sur le genre en milieu scolaire, le mariage précoce et les MGFs.
Ce panel de haut niveau a enregistré la participation d’éminents experts Africains en matière de question liée au genre. Les autorités ivoiriennes, qui lui ont accordé une importance capitale étaient représentées à un haut niveau notamment avec le Premier ministre Daniel Kablan Duncan et la ministre de la Femme, de la Famille et de l’Enfant Anne Désirée Oulotto.
Le panel de haut niveau, dont le thème est « l’agenda post 2015 pour les femmes dans le contexte de l’autonomisation économique », a fait un ensemble de recommandations, dont l’application devrait favoriser et consacrer la contribution des femmes africaines à la cause commune du continent sur le développement post-2015.
Réussir cet objectif combien important pour le développement du continent, passerait selon le panel d’experts, par l’intégration des femmes dans le processus de planification et de mise en œuvre des programmes de reconstruction et de développement. Et aussi que les autorités des pays parviennent à promulguer des lois sensibles au genre pour la mise en œuvre des politiques économiques qui favorisent le développement et la reconstruction post-conflit.
A cela faudra prévoir systématiquement l’intégration du genre dans la réforme des secteurs de la sécurité ainsi que la mise en place des mécanismes et procédures spécifiques pour prévenir et punir les violences sexuelles, y compris la mise en place du « vetting » et le renforcement de capacité sur la prévention et la réponse des violences sexuelles liées au conflit. Mais bien plus encore, les programmes post-conflit doivent garantir la reprise économique aux femmes.
En vue de parvenir à l’autonomisation socio-économique des femmes dans le contexte de l’agenda post-2015, les autorités du continent doivent Faciliter l’accès au financement aux filles et aux femmes, promouvoir l’entreprenariat féminin, mobiliser et engager les ressources exogènes et endogènes pour la promotion de la gente féminine. Il sera aussi question de promouvoir l’éducation de qualité pour tous les garçons et filles, ainsi que l’achèvement du cycle d’éducation primaire pour les filles. Poursuivre et renforcer le droit de propriété et d’usage, d’accès aux ressources pour les personnes vulnérables, notamment les femmes.
Ces autorités devront veiller à ce que tous les indicateurs pertinents soient désagrégés sur la base du sexe et de l’âge afin de mesurer les progrès dans l’attente de l’égalité du genre. Eliminer toutes mortalités maternelles évitables ; multiplier les efforts pour l’accès aux droits de la santé sexuelle et de la reproduction, à l’information, aux services de santé maternelle et à la planification familiale.
Aussi elles devront promouvoir l’accès des filles et des garçons à une éducation de qualité tant au niveau du primaire que du secondaire, dans un environnement sécurisé et protégé. Puis enfin assurer la protection des femmes, des filles et des enfants contre la violence basée sur le genre en milieu scolaire, le mariage précoce et les MGFs.
Ce panel de haut niveau a enregistré la participation d’éminents experts Africains en matière de question liée au genre. Les autorités ivoiriennes, qui lui ont accordé une importance capitale étaient représentées à un haut niveau notamment avec le Premier ministre Daniel Kablan Duncan et la ministre de la Femme, de la Famille et de l’Enfant Anne Désirée Oulotto.
