Abidjan, La capitale tanzanienne, Arusha, accueille du 15 au 18 octobre prochain la première conférence climatique africaine à l’initiative de la Conférence ministérielle africaine sur la météorologie(AMCOMET), en vue de renforcer la relation entre les communautés scientifiques et politiques.
Ouverte par le président tanzanien, Jakaya Mrisho Kikwete, cette conférence sera marquée par une intervention du secrétaire général adjoint de l’Organisation météorologique mondiale, Jerry Lengoasa, sur le thème "Définir un programme de recherche climatique commun pour l’Afrique : traiter les déficits de recherche prioritaires pour fournir des services climatiques pertinents aux utilisateurs finaux en Afrique".
Cette rencontre internationale devrait déboucher sur une série de propositions concrètes de recherche visant à combler les lacunes de compréhension du système climatique africain et à renforcer les fondements scientifiques des décisions à prendre pour le continent d’ici la fin du XXIe siècle, indique-t-on.
Les résultats de la Conférence d’Arusha alimenteront la troisième Conférence sur le changement climatique et le développement en Afrique (CCDA–III) à Addis-Abeba, en Ethiopie, du 21 au 23 octobre.
La Conférence ministérielle africaine sur la météorologie (AMCOMET) a été créée en 2010 en réponse aux défis majeurs liés à la prestation de services météorologiques et climatologiques en Afrique. C’est un forum permanent où se retrouvent, tous les deux ans, les ministres africains en charge de la météorologie, pour fournir un leadership politique, une orientation et une argumentation communes sur les questions relatives au développement de la météorologie et de ses applications, ainsi qu’à sa contribution au développement socio-économique en Afrique.
(Aip)
kkp/kp
Ouverte par le président tanzanien, Jakaya Mrisho Kikwete, cette conférence sera marquée par une intervention du secrétaire général adjoint de l’Organisation météorologique mondiale, Jerry Lengoasa, sur le thème "Définir un programme de recherche climatique commun pour l’Afrique : traiter les déficits de recherche prioritaires pour fournir des services climatiques pertinents aux utilisateurs finaux en Afrique".
Cette rencontre internationale devrait déboucher sur une série de propositions concrètes de recherche visant à combler les lacunes de compréhension du système climatique africain et à renforcer les fondements scientifiques des décisions à prendre pour le continent d’ici la fin du XXIe siècle, indique-t-on.
Les résultats de la Conférence d’Arusha alimenteront la troisième Conférence sur le changement climatique et le développement en Afrique (CCDA–III) à Addis-Abeba, en Ethiopie, du 21 au 23 octobre.
La Conférence ministérielle africaine sur la météorologie (AMCOMET) a été créée en 2010 en réponse aux défis majeurs liés à la prestation de services météorologiques et climatologiques en Afrique. C’est un forum permanent où se retrouvent, tous les deux ans, les ministres africains en charge de la météorologie, pour fournir un leadership politique, une orientation et une argumentation communes sur les questions relatives au développement de la météorologie et de ses applications, ainsi qu’à sa contribution au développement socio-économique en Afrique.
(Aip)
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