Dans le domaine des SPA Thermaux et de l’hôtellerie, Alex Gbogbohoundada fait partie des français issus de la diversité à occuper un poste de responsabilités. Nous l’avons rencontré pour qu’il nous parle de lui et de son métier. Interview découverte.
Diasporas-News : Bonjour pouvez vous nous dire votre parcours et vous présenter à nos lecteurs?
A.G: Alex Gbogbohoundada, Directeur des Opérations du Grand Hôtel et du Spa d’Evaux les Bains : unique station thermale du Limousin.
Je suis né à Cotonou au Bénin il y a 48 ans dans une famille de huit enfants.
Quant à mon parcours scolaire et universitaire il s’est construit, au gré des affectations de mes parents enseignants et diplomates. En effet je me suis retrouvé avec mes frères et sœurs dans plusieurs villes du Bénin (Cotonou, Kandi, Porto Novo) et dans quelques pays africains: Côte-D’ivoire, Sénégal et Guinée où j’ai obtenu le bac en 1984 au Lycée Matam de Conakry.
Je suis revenu à Cotonou à l’université d’Abomey-Calavi pour étudier le Droit.
Cependant, j’ai toujours voulu faire des études en Hôtellerie au grand dam de mon père qui voulait que je devienne Avocat ! Alors n’arrivant pas à le convaincre dans ce choix professionnel, nous avons fait un deal lui et moi.
Le deal était le suivant : si je validais ma licence en droit, alors seulement je pourrai entamer mes études hôtelières ! Mais derrière ce deal se cachait avec malice l’idée paternelle, qu’une fois en licence, je renoncerai à mon projet. Mon père trouvait que l’hôtellerie était un métier difficile et je reconnais aujourd’hui qu’il n’avait pas tort !
Il a donc fini par céder et c’est ainsi qu’après mes études de Droit au Bénin, je suis arrivé en 1987 en France et plus précisément à l’Ecole Hôtelière de Toulouse, pour assouvir ma passion pour ce métier.
Je suis titulaire d’un BTS en Hôtellerie et d’une mention complémentaire d’Ingénierie de Restauration Jeune diplômé, j’ai travaillé un an pour le groupe Accor avant de poursuivre mon parcours professionnel au sein de la Chaîne Thermale du Soleil qui est N°1 mondial du thermalisme.
Pendant douze ans, j’ai gravi au sein du Groupe Chaîne Thermale, tous les échelons en partant du bas de l’échelle, mais avec une volonté farouche d’arriver au sommet. J’ai d’abord été Chef de Cuisine, Barman, Maître d’hôtel, Responsable des animations, Assistant commercial, et Directeur Adjoint des Thermes,
D-N: Comment êtes vous arrivé concrètement à la Direction des opérations du Spa Thermal et de l’hôtel à Evaux Les Bains?
A.G: Avant de venir ici en 2009, j’étais à quelques encablures dans le massif central, Directeur adjoint des Thermes du Mont d’or.
Je suis arrivé à Evaux pour un challenge, puisqu’à l’époque l’hôtel était en liquidation judiciaire.
La SEM (Société d’Economie Mixte) Etablissement Thermal gestionnaire des Thermes m’a recruté sur recommandation de M. Jean François Beraud, Directeur à l’époque d’Auvergne Thermale. J’ai été nommé Directeur de l’hôtel pour un contrat de 9 mois.
C’était alors un véritable challenge pour tous les acteurs en charge du Thermalisme à Evaux.
Tout d’abord pour la S.E.M, qui avait pour ambition de sauver ce patrimoine et ensuite pour les salariés qui avaient envie de relever le formidable défi. Et le jeu en valait la chandelle ! Enfin sur le plan personnel c’était une motivation supplémentaire.
Collectivement nous avons pu transformer l’essai car en fin de saison 2009 nous avions retrouvé un quasi équilibre financier.
Par la suite en janvier 2010, j’ai été confirmé à mon poste de Directeur de l’hôtel avec la responsabilité du nouveau SPA Thermal Evahona inauguré en juillet 2010 et qui a fêté son 3 ème anniversaire cette année !
D-N: Peut-on affirmer que vous devez votre place de Directeur par vos compétences?
A.G: Tout à fait ! C’est d’abord la compétence qui prime.
Il s’agit d’un aboutissement et un défi relevé avec l’ensemble des salariés.
J’ai 48 ans et à cet âge on espère après quelques années d’expérience pouvoir y arriver. Ce n’est pas toujours évident d’aller jusqu’au bout de ses rêves.
Dans le milieu de l’hôtellerie, il faut avoir une grande capacité de résistance physique, comme dans tous les métiers de Bouche. Pour preuve, dans ma promotion à l’Ecole hôtelière de Toulouse, nous étions 24 diplômés. Aujourd’hui nous ne sommes plus que
2 à exercer dans la même filière ! C’est un métier passionnant mais avec beaucoup de contraintes.
Et il faut accepter de faire des concessions pour trouver un équilibre dans sa vie de famille.
Les compétences sont essentielles dans notre métier. Elles s’acquièrent au fil du temps et il faut accepter de se perfectionner sans relâche pour progresser.
Je me souviens encore des conseils d’un professeur à l’école hôtelière qui nous disait lors de la remise de nos diplômes «… Ne vous attendez pas à devenir Directeur en sortant de l’école… ll faudra faire vos preuves » Il avait tout à fait raison !
Ce métier comme beaucoup d’autres, prouve une fois de plus s’il en était besoin, que le travail de terrain est essentiel et c’est lui in fine qui vous donne la compétence et une crédibilité auprès de vos collaborateurs. Il faut se tenir au courant et faire ce que l’on appelle dans le métier « de la veille et de la pige concurrentielle ». Car le jour où on s’installe dans une routine, c’est le début de la fin !
D-N: Pensez-vous que ce type d’établissement puisse être crée au Benin ?
A.G: Oui ce projet est viable aujourd’hui, le rêve est donc possible !
Il y a quelques années, j’avais réalisé une étude de marché sur la station thermale de Possotomé située à 80 kms de Cotonou : la capitale économique du Bénin.
Cette station thermale est très connue et exploitée depuis 1952. Cette source d’eau chaude riche en oligo-éléments est embouteillée et distribuée en eau minérale dans tout le Bénin.
Il y a 15 ans, un projet visant à une exploitation commerciale de la source pour de la remise en forme (soins de balnéothérapie) n’était pas envisageable. Les besoins des populations étaient essentiellement tournés vers la consommation de l’eau minérale.
Il s’agissait alors pour la Société qui exploitait la source de fournir une eau minérale potable aux béninois.
Cependant la situation change dans nos pays et les lignes bougent rendant possible un projet de remise forme thermale ou de la thalassothérapie (eau de mer).
Il y a me semble t-il, de nos jours, les ingrédients pour faire du vrai business dans ce secteur comme c’est le cas depuis des années en Afrique du Nord.
D-N: Quels sont les services que vous proposez à Evaux les Bains?
A.G: Evaux les bains est une station thermale à dimension humaine située dans la Creuse pas très loin de Limoges, et à 20 kms de Montluçon.
C’est une Station thermale spécialisée dans le traitement des rhumatismes et l’insuffisance veineuse avec trois indications thérapeutiques : la Rhumatologie, la Phlébologie et la Gynécologie.
Elle est présidée par le Docteur François RADIGON, PDG de la SEM et Marinette LANORE, Directrice Générale.
C’est un véritable complexe 3 en 1 pour votre confort avec :
D ‘abord son Etablissement Thermal parmi les plus modernes de France, accueillant 3500 curistes par an pour des cures médicales avec une prise en charge par La Sécurité Sociale.
Ensuite, situé dans un somptueux parc arboré et fleuri, le Grand hôtel **à l’élégance intemporelle de la Belle Epoque présente une impressionnante façade et une architecture locale typique. Il est directement relié par ascenseur aux Thermes et au Spa. C’est le plus grand Hôtel du Département de la Creuse en capacité d’accueil.
Son Restaurant le Trianon d’une capacité de 100 couverts, propose une savoureuse cuisine au goût de Creuse composée de nouvelles saveurs élaborées par un Chef de cuisine créatif.
Enfin au cœur des Thermes d’Evaux les Bains, le Spa Evahona vous convie à la relaxation dans un espace cosy et raffiné pour profiter sans compter d’une escale détente : chaleur du hammam et sauna, bienfaits de l’eau du jacuzzi, bain hydromassant, lits de flottaison, modelages, soins du visage et corps.
D-N: Quel type de clientèle recevez vous?
A.G: Les Thermes, accueillent essentiellement des curistes âgés de 50 à 70 ans venant de toute la France. Ils restent en moyenne en général trois semaines.
Le Grand hôtel, accueille 70% de curistes et 30 % de clients en courts séjours de remise en forme. On a une majorité de curistes qui viennent pour des séjours de cure et de plus en plus de clients de la remise en forme.
Le Spa attire une clientèle locale, jeune et en activité.
Cependant on remarque que nos 3 activités sont complémentaires, ce qui représente une forte valeur ajoutée.
D-N: Avez-vous un appel à lancer à la Diaspora afro-caribéenne?
A.G: Oui bien sûr ! Notre cœur de métier à Evaux Les Bains c’est le thermalisme donc la santé et c’est primordial. J’invite la diaspora afro-caribéenne à venir se ressourcer dans notre belle station thermale située au centre de l’hexagone. Nous sommes situés à 3h30 de Paris et du sud !
Vous y trouverez, un accueil chaleureux et authentique lors de votre cure thermale ou tout simplement pour un séjour spa packagé de remise en forme. A découvrir absolument et au plaisir de vous accueillir à Evaux les Bains ! Je vous remercie.
Interview réalisé par Boni Félix NIANGORAN. Rencontre : Alex Gbogbohoundada, itinéraire d’un conquérant.
Dans le domaine des SPA Thermaux et de l’hôtellerie, Alex Gbogbohoundada fait partie des français issus de la diversité à occuper un poste de responsabilités. Nous l’avons rencontré pour qu’il nous parle de lui et de son métier. Interview découverte.
Diasporas-News : Bonjour pouvez vous nous dire votre parcours et vous présenter à nos lecteurs?
A.G: Alex Gbogbohoundada, Directeur des Opérations du Grand Hôtel et du Spa d’Evaux les Bains : unique station thermale du Limousin.
Je suis né à Cotonou au Bénin il y a 48 ans dans une famille de huit enfants.
Quant à mon parcours scolaire et universitaire il s’est construit, au gré des affectations de mes parents enseignants et diplomates. En effet je me suis retrouvé avec mes frères et sœurs dans plusieurs villes du Bénin (Cotonou, Kandi, Porto Novo) et dans quelques pays africains: Côte-D’ivoire, Sénégal et Guinée où j’ai obtenu le bac en 1984 au Lycée Matam de Conakry.
Je suis revenu à Cotonou à l’université d’Abomey-Calavi pour étudier le Droit.
Cependant, j’ai toujours voulu faire des études en Hôtellerie au grand dam de mon père qui voulait que je devienne Avocat ! Alors n’arrivant pas à le convaincre dans ce choix professionnel, nous avons fait un deal lui et moi.
Le deal était le suivant : si je validais ma licence en droit, alors seulement je pourrai entamer mes études hôtelières ! Mais derrière ce deal se cachait avec malice l’idée paternelle, qu’une fois en licence, je renoncerai à mon projet. Mon père trouvait que l’hôtellerie était un métier difficile et je reconnais aujourd’hui qu’il n’avait pas tort !
Il a donc fini par céder et c’est ainsi qu’après mes études de Droit au Bénin, je suis arrivé en 1987 en France et plus précisément à l’Ecole Hôtelière de Toulouse, pour assouvir ma passion pour ce métier.
Je suis titulaire d’un BTS en Hôtellerie et d’une mention complémentaire d’Ingénierie de Restauration Jeune diplômé, j’ai travaillé un an pour le groupe Accor avant de poursuivre mon parcours professionnel au sein de la Chaîne Thermale du Soleil qui est N°1 mondial du thermalisme.
Pendant douze ans, j’ai gravi au sein du Groupe Chaîne Thermale, tous les échelons en partant du bas de l’échelle, mais avec une volonté farouche d’arriver au sommet. J’ai d’abord été Chef de Cuisine, Barman, Maître d’hôtel, Responsable des animations, Assistant commercial, et Directeur Adjoint des Thermes,
D-N: Comment êtes vous arrivé concrètement à la Direction des opérations du Spa Thermal et de l’hôtel à Evaux Les Bains?
A.G: Avant de venir ici en 2009, j’étais à quelques encablures dans le massif central, Directeur adjoint des Thermes du Mont d’or.
Je suis arrivé à Evaux pour un challenge, puisqu’à l’époque l’hôtel était en liquidation judiciaire.
La SEM (Société d’Economie Mixte) Etablissement Thermal gestionnaire des Thermes m’a recruté sur recommandation de M. Jean François Beraud, Directeur à l’époque d’Auvergne Thermale. J’ai été nommé Directeur de l’hôtel pour un contrat de 9 mois.
C’était alors un véritable challenge pour tous les acteurs en charge du Thermalisme à Evaux.
Tout d’abord pour la S.E.M, qui avait pour ambition de sauver ce patrimoine et ensuite pour les salariés qui avaient envie de relever le formidable défi. Et le jeu en valait la chandelle ! Enfin sur le plan personnel c’était une motivation supplémentaire.
Collectivement nous avons pu transformer l’essai car en fin de saison 2009 nous avions retrouvé un quasi équilibre financier.
Par la suite en janvier 2010, j’ai été confirmé à mon poste de Directeur de l’hôtel avec la responsabilité du nouveau SPA Thermal Evahona inauguré en juillet 2010 et qui a fêté son 3 ème anniversaire cette année !
D-N: Peut-on affirmer que vous devez votre place de Directeur par vos compétences?
A.G: Tout à fait ! C’est d’abord la compétence qui prime.
Il s’agit d’un aboutissement et un défi relevé avec l’ensemble des salariés.
J’ai 48 ans et à cet âge on espère après quelques années d’expérience pouvoir y arriver. Ce n’est pas toujours évident d’aller jusqu’au bout de ses rêves.
Dans le milieu de l’hôtellerie, il faut avoir une grande capacité de résistance physique, comme dans tous les métiers de Bouche. Pour preuve, dans ma promotion à l’Ecole hôtelière de Toulouse, nous étions 24 diplômés. Aujourd’hui nous ne sommes plus que
2 à exercer dans la même filière ! C’est un métier passionnant mais avec beaucoup de contraintes.
Et il faut accepter de faire des concessions pour trouver un équilibre dans sa vie de famille.
Les compétences sont essentielles dans notre métier. Elles s’acquièrent au fil du temps et il faut accepter de se perfectionner sans relâche pour progresser.
Je me souviens encore des conseils d’un professeur à l’école hôtelière qui nous disait lors de la remise de nos diplômes «… Ne vous attendez pas à devenir Directeur en sortant de l’école… ll faudra faire vos preuves » Il avait tout à fait raison !
Ce métier comme beaucoup d’autres, prouve une fois de plus s’il en était besoin, que le travail de terrain est essentiel et c’est lui in fine qui vous donne la compétence et une crédibilité auprès de vos collaborateurs. Il faut se tenir au courant et faire ce que l’on appelle dans le métier « de la veille et de la pige concurrentielle ». Car le jour où on s’installe dans une routine, c’est le début de la fin !
D-N: Pensez-vous que ce type d’établissement puisse être crée au Benin ?
A.G: Oui ce projet est viable aujourd’hui, le rêve est donc possible !
Il y a quelques années, j’avais réalisé une étude de marché sur la station thermale de Possotomé située à 80 kms de Cotonou : la capitale économique du Bénin.
Cette station thermale est très connue et exploitée depuis 1952. Cette source d’eau chaude riche en oligo-éléments est embouteillée et distribuée en eau minérale dans tout le Bénin.
Il y a 15 ans, un projet visant à une exploitation commerciale de la source pour de la remise en forme (soins de balnéothérapie) n’était pas envisageable. Les besoins des populations étaient essentiellement tournés vers la consommation de l’eau minérale.
Il s’agissait alors pour la Société qui exploitait la source de fournir une eau minérale potable aux béninois.
Cependant la situation change dans nos pays et les lignes bougent rendant possible un projet de remise forme thermale ou de la thalassothérapie (eau de mer).
Il y a me semble t-il, de nos jours, les ingrédients pour faire du vrai business dans ce secteur comme c’est le cas depuis des années en Afrique du Nord.
D-N: Quels sont les services que vous proposez à Evaux les Bains?
A.G: Evaux les bains est une station thermale à dimension humaine située dans la Creuse pas très loin de Limoges, et à 20 kms de Montluçon.
C’est une Station thermale spécialisée dans le traitement des rhumatismes et l’insuffisance veineuse avec trois indications thérapeutiques : la Rhumatologie, la Phlébologie et la Gynécologie.
Elle est présidée par le Docteur François RADIGON, PDG de la SEM et Marinette LANORE, Directrice Générale.
C’est un véritable complexe 3 en 1 pour votre confort avec :
D ‘abord son Etablissement Thermal parmi les plus modernes de France, accueillant 3500 curistes par an pour des cures médicales avec une prise en charge par La Sécurité Sociale.
Ensuite, situé dans un somptueux parc arboré et fleuri, le Grand hôtel **à l’élégance intemporelle de la Belle Epoque présente une impressionnante façade et une architecture locale typique. Il est directement relié par ascenseur aux Thermes et au Spa. C’est le plus grand Hôtel du Département de la Creuse en capacité d’accueil.
Son Restaurant le Trianon d’une capacité de 100 couverts, propose une savoureuse cuisine au goût de Creuse composée de nouvelles saveurs élaborées par un Chef de cuisine créatif.
Enfin au cœur des Thermes d’Evaux les Bains, le Spa Evahona vous convie à la relaxation dans un espace cosy et raffiné pour profiter sans compter d’une escale détente : chaleur du hammam et sauna, bienfaits de l’eau du jacuzzi, bain hydromassant, lits de flottaison, modelages, soins du visage et corps.
D-N: Quel type de clientèle recevez vous?
A.G: Les Thermes, accueillent essentiellement des curistes âgés de 50 à 70 ans venant de toute la France. Ils restent en moyenne en général trois semaines.
Le Grand hôtel, accueille 70% de curistes et 30 % de clients en courts séjours de remise en forme. On a une majorité de curistes qui viennent pour des séjours de cure et de plus en plus de clients de la remise en forme.
Le Spa attire une clientèle locale, jeune et en activité.
Cependant on remarque que nos 3 activités sont complémentaires, ce qui représente une forte valeur ajoutée.
D-N: Avez-vous un appel à lancer à la Diaspora afro-caribéenne?
A.G: Oui bien sûr ! Notre cœur de métier à Evaux Les Bains c’est le thermalisme donc la santé et c’est primordial. J’invite la diaspora afro-caribéenne à venir se ressourcer dans notre belle station thermale située au centre de l’hexagone. Nous sommes situés à 3h30 de Paris et du sud !
Vous y trouverez, un accueil chaleureux et authentique lors de votre cure thermale ou tout simplement pour un séjour spa packagé de remise en forme. A découvrir absolument et au plaisir de vous accueillir à Evaux les Bains ! Je vous remercie.
Interview réalisé par Boni Félix NIANGORAN.
Diasporas-News : Bonjour pouvez vous nous dire votre parcours et vous présenter à nos lecteurs?
A.G: Alex Gbogbohoundada, Directeur des Opérations du Grand Hôtel et du Spa d’Evaux les Bains : unique station thermale du Limousin.
Je suis né à Cotonou au Bénin il y a 48 ans dans une famille de huit enfants.
Quant à mon parcours scolaire et universitaire il s’est construit, au gré des affectations de mes parents enseignants et diplomates. En effet je me suis retrouvé avec mes frères et sœurs dans plusieurs villes du Bénin (Cotonou, Kandi, Porto Novo) et dans quelques pays africains: Côte-D’ivoire, Sénégal et Guinée où j’ai obtenu le bac en 1984 au Lycée Matam de Conakry.
Je suis revenu à Cotonou à l’université d’Abomey-Calavi pour étudier le Droit.
Cependant, j’ai toujours voulu faire des études en Hôtellerie au grand dam de mon père qui voulait que je devienne Avocat ! Alors n’arrivant pas à le convaincre dans ce choix professionnel, nous avons fait un deal lui et moi.
Le deal était le suivant : si je validais ma licence en droit, alors seulement je pourrai entamer mes études hôtelières ! Mais derrière ce deal se cachait avec malice l’idée paternelle, qu’une fois en licence, je renoncerai à mon projet. Mon père trouvait que l’hôtellerie était un métier difficile et je reconnais aujourd’hui qu’il n’avait pas tort !
Il a donc fini par céder et c’est ainsi qu’après mes études de Droit au Bénin, je suis arrivé en 1987 en France et plus précisément à l’Ecole Hôtelière de Toulouse, pour assouvir ma passion pour ce métier.
Je suis titulaire d’un BTS en Hôtellerie et d’une mention complémentaire d’Ingénierie de Restauration Jeune diplômé, j’ai travaillé un an pour le groupe Accor avant de poursuivre mon parcours professionnel au sein de la Chaîne Thermale du Soleil qui est N°1 mondial du thermalisme.
Pendant douze ans, j’ai gravi au sein du Groupe Chaîne Thermale, tous les échelons en partant du bas de l’échelle, mais avec une volonté farouche d’arriver au sommet. J’ai d’abord été Chef de Cuisine, Barman, Maître d’hôtel, Responsable des animations, Assistant commercial, et Directeur Adjoint des Thermes,
D-N: Comment êtes vous arrivé concrètement à la Direction des opérations du Spa Thermal et de l’hôtel à Evaux Les Bains?
A.G: Avant de venir ici en 2009, j’étais à quelques encablures dans le massif central, Directeur adjoint des Thermes du Mont d’or.
Je suis arrivé à Evaux pour un challenge, puisqu’à l’époque l’hôtel était en liquidation judiciaire.
La SEM (Société d’Economie Mixte) Etablissement Thermal gestionnaire des Thermes m’a recruté sur recommandation de M. Jean François Beraud, Directeur à l’époque d’Auvergne Thermale. J’ai été nommé Directeur de l’hôtel pour un contrat de 9 mois.
C’était alors un véritable challenge pour tous les acteurs en charge du Thermalisme à Evaux.
Tout d’abord pour la S.E.M, qui avait pour ambition de sauver ce patrimoine et ensuite pour les salariés qui avaient envie de relever le formidable défi. Et le jeu en valait la chandelle ! Enfin sur le plan personnel c’était une motivation supplémentaire.
Collectivement nous avons pu transformer l’essai car en fin de saison 2009 nous avions retrouvé un quasi équilibre financier.
Par la suite en janvier 2010, j’ai été confirmé à mon poste de Directeur de l’hôtel avec la responsabilité du nouveau SPA Thermal Evahona inauguré en juillet 2010 et qui a fêté son 3 ème anniversaire cette année !
D-N: Peut-on affirmer que vous devez votre place de Directeur par vos compétences?
A.G: Tout à fait ! C’est d’abord la compétence qui prime.
Il s’agit d’un aboutissement et un défi relevé avec l’ensemble des salariés.
J’ai 48 ans et à cet âge on espère après quelques années d’expérience pouvoir y arriver. Ce n’est pas toujours évident d’aller jusqu’au bout de ses rêves.
Dans le milieu de l’hôtellerie, il faut avoir une grande capacité de résistance physique, comme dans tous les métiers de Bouche. Pour preuve, dans ma promotion à l’Ecole hôtelière de Toulouse, nous étions 24 diplômés. Aujourd’hui nous ne sommes plus que
2 à exercer dans la même filière ! C’est un métier passionnant mais avec beaucoup de contraintes.
Et il faut accepter de faire des concessions pour trouver un équilibre dans sa vie de famille.
Les compétences sont essentielles dans notre métier. Elles s’acquièrent au fil du temps et il faut accepter de se perfectionner sans relâche pour progresser.
Je me souviens encore des conseils d’un professeur à l’école hôtelière qui nous disait lors de la remise de nos diplômes «… Ne vous attendez pas à devenir Directeur en sortant de l’école… ll faudra faire vos preuves » Il avait tout à fait raison !
Ce métier comme beaucoup d’autres, prouve une fois de plus s’il en était besoin, que le travail de terrain est essentiel et c’est lui in fine qui vous donne la compétence et une crédibilité auprès de vos collaborateurs. Il faut se tenir au courant et faire ce que l’on appelle dans le métier « de la veille et de la pige concurrentielle ». Car le jour où on s’installe dans une routine, c’est le début de la fin !
D-N: Pensez-vous que ce type d’établissement puisse être crée au Benin ?
A.G: Oui ce projet est viable aujourd’hui, le rêve est donc possible !
Il y a quelques années, j’avais réalisé une étude de marché sur la station thermale de Possotomé située à 80 kms de Cotonou : la capitale économique du Bénin.
Cette station thermale est très connue et exploitée depuis 1952. Cette source d’eau chaude riche en oligo-éléments est embouteillée et distribuée en eau minérale dans tout le Bénin.
Il y a 15 ans, un projet visant à une exploitation commerciale de la source pour de la remise en forme (soins de balnéothérapie) n’était pas envisageable. Les besoins des populations étaient essentiellement tournés vers la consommation de l’eau minérale.
Il s’agissait alors pour la Société qui exploitait la source de fournir une eau minérale potable aux béninois.
Cependant la situation change dans nos pays et les lignes bougent rendant possible un projet de remise forme thermale ou de la thalassothérapie (eau de mer).
Il y a me semble t-il, de nos jours, les ingrédients pour faire du vrai business dans ce secteur comme c’est le cas depuis des années en Afrique du Nord.
D-N: Quels sont les services que vous proposez à Evaux les Bains?
A.G: Evaux les bains est une station thermale à dimension humaine située dans la Creuse pas très loin de Limoges, et à 20 kms de Montluçon.
C’est une Station thermale spécialisée dans le traitement des rhumatismes et l’insuffisance veineuse avec trois indications thérapeutiques : la Rhumatologie, la Phlébologie et la Gynécologie.
Elle est présidée par le Docteur François RADIGON, PDG de la SEM et Marinette LANORE, Directrice Générale.
C’est un véritable complexe 3 en 1 pour votre confort avec :
D ‘abord son Etablissement Thermal parmi les plus modernes de France, accueillant 3500 curistes par an pour des cures médicales avec une prise en charge par La Sécurité Sociale.
Ensuite, situé dans un somptueux parc arboré et fleuri, le Grand hôtel **à l’élégance intemporelle de la Belle Epoque présente une impressionnante façade et une architecture locale typique. Il est directement relié par ascenseur aux Thermes et au Spa. C’est le plus grand Hôtel du Département de la Creuse en capacité d’accueil.
Son Restaurant le Trianon d’une capacité de 100 couverts, propose une savoureuse cuisine au goût de Creuse composée de nouvelles saveurs élaborées par un Chef de cuisine créatif.
Enfin au cœur des Thermes d’Evaux les Bains, le Spa Evahona vous convie à la relaxation dans un espace cosy et raffiné pour profiter sans compter d’une escale détente : chaleur du hammam et sauna, bienfaits de l’eau du jacuzzi, bain hydromassant, lits de flottaison, modelages, soins du visage et corps.
D-N: Quel type de clientèle recevez vous?
A.G: Les Thermes, accueillent essentiellement des curistes âgés de 50 à 70 ans venant de toute la France. Ils restent en moyenne en général trois semaines.
Le Grand hôtel, accueille 70% de curistes et 30 % de clients en courts séjours de remise en forme. On a une majorité de curistes qui viennent pour des séjours de cure et de plus en plus de clients de la remise en forme.
Le Spa attire une clientèle locale, jeune et en activité.
Cependant on remarque que nos 3 activités sont complémentaires, ce qui représente une forte valeur ajoutée.
D-N: Avez-vous un appel à lancer à la Diaspora afro-caribéenne?
A.G: Oui bien sûr ! Notre cœur de métier à Evaux Les Bains c’est le thermalisme donc la santé et c’est primordial. J’invite la diaspora afro-caribéenne à venir se ressourcer dans notre belle station thermale située au centre de l’hexagone. Nous sommes situés à 3h30 de Paris et du sud !
Vous y trouverez, un accueil chaleureux et authentique lors de votre cure thermale ou tout simplement pour un séjour spa packagé de remise en forme. A découvrir absolument et au plaisir de vous accueillir à Evaux les Bains ! Je vous remercie.
Interview réalisé par Boni Félix NIANGORAN. Rencontre : Alex Gbogbohoundada, itinéraire d’un conquérant.
Dans le domaine des SPA Thermaux et de l’hôtellerie, Alex Gbogbohoundada fait partie des français issus de la diversité à occuper un poste de responsabilités. Nous l’avons rencontré pour qu’il nous parle de lui et de son métier. Interview découverte.
Diasporas-News : Bonjour pouvez vous nous dire votre parcours et vous présenter à nos lecteurs?
A.G: Alex Gbogbohoundada, Directeur des Opérations du Grand Hôtel et du Spa d’Evaux les Bains : unique station thermale du Limousin.
Je suis né à Cotonou au Bénin il y a 48 ans dans une famille de huit enfants.
Quant à mon parcours scolaire et universitaire il s’est construit, au gré des affectations de mes parents enseignants et diplomates. En effet je me suis retrouvé avec mes frères et sœurs dans plusieurs villes du Bénin (Cotonou, Kandi, Porto Novo) et dans quelques pays africains: Côte-D’ivoire, Sénégal et Guinée où j’ai obtenu le bac en 1984 au Lycée Matam de Conakry.
Je suis revenu à Cotonou à l’université d’Abomey-Calavi pour étudier le Droit.
Cependant, j’ai toujours voulu faire des études en Hôtellerie au grand dam de mon père qui voulait que je devienne Avocat ! Alors n’arrivant pas à le convaincre dans ce choix professionnel, nous avons fait un deal lui et moi.
Le deal était le suivant : si je validais ma licence en droit, alors seulement je pourrai entamer mes études hôtelières ! Mais derrière ce deal se cachait avec malice l’idée paternelle, qu’une fois en licence, je renoncerai à mon projet. Mon père trouvait que l’hôtellerie était un métier difficile et je reconnais aujourd’hui qu’il n’avait pas tort !
Il a donc fini par céder et c’est ainsi qu’après mes études de Droit au Bénin, je suis arrivé en 1987 en France et plus précisément à l’Ecole Hôtelière de Toulouse, pour assouvir ma passion pour ce métier.
Je suis titulaire d’un BTS en Hôtellerie et d’une mention complémentaire d’Ingénierie de Restauration Jeune diplômé, j’ai travaillé un an pour le groupe Accor avant de poursuivre mon parcours professionnel au sein de la Chaîne Thermale du Soleil qui est N°1 mondial du thermalisme.
Pendant douze ans, j’ai gravi au sein du Groupe Chaîne Thermale, tous les échelons en partant du bas de l’échelle, mais avec une volonté farouche d’arriver au sommet. J’ai d’abord été Chef de Cuisine, Barman, Maître d’hôtel, Responsable des animations, Assistant commercial, et Directeur Adjoint des Thermes,
D-N: Comment êtes vous arrivé concrètement à la Direction des opérations du Spa Thermal et de l’hôtel à Evaux Les Bains?
A.G: Avant de venir ici en 2009, j’étais à quelques encablures dans le massif central, Directeur adjoint des Thermes du Mont d’or.
Je suis arrivé à Evaux pour un challenge, puisqu’à l’époque l’hôtel était en liquidation judiciaire.
La SEM (Société d’Economie Mixte) Etablissement Thermal gestionnaire des Thermes m’a recruté sur recommandation de M. Jean François Beraud, Directeur à l’époque d’Auvergne Thermale. J’ai été nommé Directeur de l’hôtel pour un contrat de 9 mois.
C’était alors un véritable challenge pour tous les acteurs en charge du Thermalisme à Evaux.
Tout d’abord pour la S.E.M, qui avait pour ambition de sauver ce patrimoine et ensuite pour les salariés qui avaient envie de relever le formidable défi. Et le jeu en valait la chandelle ! Enfin sur le plan personnel c’était une motivation supplémentaire.
Collectivement nous avons pu transformer l’essai car en fin de saison 2009 nous avions retrouvé un quasi équilibre financier.
Par la suite en janvier 2010, j’ai été confirmé à mon poste de Directeur de l’hôtel avec la responsabilité du nouveau SPA Thermal Evahona inauguré en juillet 2010 et qui a fêté son 3 ème anniversaire cette année !
D-N: Peut-on affirmer que vous devez votre place de Directeur par vos compétences?
A.G: Tout à fait ! C’est d’abord la compétence qui prime.
Il s’agit d’un aboutissement et un défi relevé avec l’ensemble des salariés.
J’ai 48 ans et à cet âge on espère après quelques années d’expérience pouvoir y arriver. Ce n’est pas toujours évident d’aller jusqu’au bout de ses rêves.
Dans le milieu de l’hôtellerie, il faut avoir une grande capacité de résistance physique, comme dans tous les métiers de Bouche. Pour preuve, dans ma promotion à l’Ecole hôtelière de Toulouse, nous étions 24 diplômés. Aujourd’hui nous ne sommes plus que
2 à exercer dans la même filière ! C’est un métier passionnant mais avec beaucoup de contraintes.
Et il faut accepter de faire des concessions pour trouver un équilibre dans sa vie de famille.
Les compétences sont essentielles dans notre métier. Elles s’acquièrent au fil du temps et il faut accepter de se perfectionner sans relâche pour progresser.
Je me souviens encore des conseils d’un professeur à l’école hôtelière qui nous disait lors de la remise de nos diplômes «… Ne vous attendez pas à devenir Directeur en sortant de l’école… ll faudra faire vos preuves » Il avait tout à fait raison !
Ce métier comme beaucoup d’autres, prouve une fois de plus s’il en était besoin, que le travail de terrain est essentiel et c’est lui in fine qui vous donne la compétence et une crédibilité auprès de vos collaborateurs. Il faut se tenir au courant et faire ce que l’on appelle dans le métier « de la veille et de la pige concurrentielle ». Car le jour où on s’installe dans une routine, c’est le début de la fin !
D-N: Pensez-vous que ce type d’établissement puisse être crée au Benin ?
A.G: Oui ce projet est viable aujourd’hui, le rêve est donc possible !
Il y a quelques années, j’avais réalisé une étude de marché sur la station thermale de Possotomé située à 80 kms de Cotonou : la capitale économique du Bénin.
Cette station thermale est très connue et exploitée depuis 1952. Cette source d’eau chaude riche en oligo-éléments est embouteillée et distribuée en eau minérale dans tout le Bénin.
Il y a 15 ans, un projet visant à une exploitation commerciale de la source pour de la remise en forme (soins de balnéothérapie) n’était pas envisageable. Les besoins des populations étaient essentiellement tournés vers la consommation de l’eau minérale.
Il s’agissait alors pour la Société qui exploitait la source de fournir une eau minérale potable aux béninois.
Cependant la situation change dans nos pays et les lignes bougent rendant possible un projet de remise forme thermale ou de la thalassothérapie (eau de mer).
Il y a me semble t-il, de nos jours, les ingrédients pour faire du vrai business dans ce secteur comme c’est le cas depuis des années en Afrique du Nord.
D-N: Quels sont les services que vous proposez à Evaux les Bains?
A.G: Evaux les bains est une station thermale à dimension humaine située dans la Creuse pas très loin de Limoges, et à 20 kms de Montluçon.
C’est une Station thermale spécialisée dans le traitement des rhumatismes et l’insuffisance veineuse avec trois indications thérapeutiques : la Rhumatologie, la Phlébologie et la Gynécologie.
Elle est présidée par le Docteur François RADIGON, PDG de la SEM et Marinette LANORE, Directrice Générale.
C’est un véritable complexe 3 en 1 pour votre confort avec :
D ‘abord son Etablissement Thermal parmi les plus modernes de France, accueillant 3500 curistes par an pour des cures médicales avec une prise en charge par La Sécurité Sociale.
Ensuite, situé dans un somptueux parc arboré et fleuri, le Grand hôtel **à l’élégance intemporelle de la Belle Epoque présente une impressionnante façade et une architecture locale typique. Il est directement relié par ascenseur aux Thermes et au Spa. C’est le plus grand Hôtel du Département de la Creuse en capacité d’accueil.
Son Restaurant le Trianon d’une capacité de 100 couverts, propose une savoureuse cuisine au goût de Creuse composée de nouvelles saveurs élaborées par un Chef de cuisine créatif.
Enfin au cœur des Thermes d’Evaux les Bains, le Spa Evahona vous convie à la relaxation dans un espace cosy et raffiné pour profiter sans compter d’une escale détente : chaleur du hammam et sauna, bienfaits de l’eau du jacuzzi, bain hydromassant, lits de flottaison, modelages, soins du visage et corps.
D-N: Quel type de clientèle recevez vous?
A.G: Les Thermes, accueillent essentiellement des curistes âgés de 50 à 70 ans venant de toute la France. Ils restent en moyenne en général trois semaines.
Le Grand hôtel, accueille 70% de curistes et 30 % de clients en courts séjours de remise en forme. On a une majorité de curistes qui viennent pour des séjours de cure et de plus en plus de clients de la remise en forme.
Le Spa attire une clientèle locale, jeune et en activité.
Cependant on remarque que nos 3 activités sont complémentaires, ce qui représente une forte valeur ajoutée.
D-N: Avez-vous un appel à lancer à la Diaspora afro-caribéenne?
A.G: Oui bien sûr ! Notre cœur de métier à Evaux Les Bains c’est le thermalisme donc la santé et c’est primordial. J’invite la diaspora afro-caribéenne à venir se ressourcer dans notre belle station thermale située au centre de l’hexagone. Nous sommes situés à 3h30 de Paris et du sud !
Vous y trouverez, un accueil chaleureux et authentique lors de votre cure thermale ou tout simplement pour un séjour spa packagé de remise en forme. A découvrir absolument et au plaisir de vous accueillir à Evaux les Bains ! Je vous remercie.
Interview réalisé par Boni Félix NIANGORAN.