Les populations du village de Ménou, dans la région de Yamoussoukro, ne savent plus à quel saint se vouer, en raison de l’insécurité qui y règne. Ces populations affirment avoir peur. « Nous avons beaucoup peur », s’est inquiété hier, nanan Yao Koffi, chef du village de Ménou. C’est donc à juste titre que le chef traditionnel appelle les autorités ivoiriennes au secours. « Nous avons le sommeil troublé. C’est vrai qu’il y a des patrouilles régulières de gendarmes mais, nous souhaitons que le chef de l’Etat prenne des dispositions adéquates pour soulager nos populations », a-t-il insisté.
Il espère que les gouvernants prêteront une oreille attentive à cette doléance de ses populations pour le bonheur de celles-ci. Ménou a été, le week-end dernier, le théâtre d’échanges de tirs entre des éléments de l’escadron de la gendarmerie de Yamoussoukro et des coupeurs de route. Cette situation a occasionné un mort et deux arrestations chez les bandits, et deux blessés dans le rang des gendarmes.
Honoré Dion à Yamoussoukro
Il espère que les gouvernants prêteront une oreille attentive à cette doléance de ses populations pour le bonheur de celles-ci. Ménou a été, le week-end dernier, le théâtre d’échanges de tirs entre des éléments de l’escadron de la gendarmerie de Yamoussoukro et des coupeurs de route. Cette situation a occasionné un mort et deux arrestations chez les bandits, et deux blessés dans le rang des gendarmes.
Honoré Dion à Yamoussoukro