Ce sont un peu plus de 650 fonctionnaires et agents de l’Etat, victimes des usuriers et qui flirtent avec une extrême misère dans des conditions de précarité indescriptible, que la ministre de la Femme de l’Enfant et de la Famille, Anne Désirée Oulotto a reçu à son cabinet hier vendredi.
La visite de cette association de fonctionnaires victimes des usuriers, chez la ministre n’avait aucun autre but, que d’inviter le Gouvernement à se pencher sur leurs situations socio-économiques, devenues pour la grande majorité insupportables. Selon ces victimes de précomptes abusifs de la part des usuriers, la détresse serait arrivée à son paroxysme.
Nombreux sont ceux qui ont trouvé refuge dans l’alcool et d’autres vices, qui n’ont eu pour conséquences que de détruire leurs vies et celles de leurs différentes familles. Résolus à contribuer à l’émergence de la Côte d’Ivoire telle que voulue et prônée par les autorités ivoiriennes, au premier rang desquelles le chef de l’Etat Alassane Ouattara, ces victimes d’usuriers ont tendu la main au Gouvernement pour qu’il prenne des mesures pour les sortir des griffes de cercle de « mafieux ». Ce, en leur apportant un appui financier, toute chose qui permettra le retour en familles de certains membres. Et empêcher que plusieurs continuent de vivre dans des gares, ou dormir sur des tables dans des marchés.
Réagissant à ce tableau sombre, la ministre de la Femme de l’Enfant et de la Famille Anne Désirée Oulotto a rappelé que l’usure, cette pratique qui vise à abuser d’autrui, était strictement interdite en Côte d’Ivoire. Et que ceux qui s’y adonnent sont donc dans l’illégalité. L’Etat va revisiter et actualiser les textes en la matière, a assuré la ministre. Tout en exprimant sa compassion à ses hôtes du jour, Anna Oulotto a reconnu ne pas pouvoir seule faire face à cette situation et s’est engagée à porter cela à la connaissance du Gouvernement pour que des solutions durables soient trouvées à cette situation.
Elle a annoncé diligenter tout prochainement « une enquête sociale » pour mieux cerner l’ampleur de ce qu’il convient de qualifier de fléau. Se voulant franche dans cette rencontre d’échanges, la ministre de la Femme de l’Enfant et de la Famille a exhorté ses hôtes et l’ensemble des Ivoiriens à adopter de bonnes pratiques d’entre lesquelles le budget familial. Ce qui permettra de faire des dépenses raisonnables et utiles. « Sans budget rien n'est possible. Même le gouvernement s'est institué un Budget, qu’il s’efforce de tenir », a dit Anne Oulotto. Pour finir, la ministre a annoncé la mise sur pied dans les plus brefs délais d’une cellule d’écoute. Qui sera l’interlocuteur de ces nombreuses victimes de ce cercle vicieux et infernal qu’est l’usure
La visite de cette association de fonctionnaires victimes des usuriers, chez la ministre n’avait aucun autre but, que d’inviter le Gouvernement à se pencher sur leurs situations socio-économiques, devenues pour la grande majorité insupportables. Selon ces victimes de précomptes abusifs de la part des usuriers, la détresse serait arrivée à son paroxysme.
Nombreux sont ceux qui ont trouvé refuge dans l’alcool et d’autres vices, qui n’ont eu pour conséquences que de détruire leurs vies et celles de leurs différentes familles. Résolus à contribuer à l’émergence de la Côte d’Ivoire telle que voulue et prônée par les autorités ivoiriennes, au premier rang desquelles le chef de l’Etat Alassane Ouattara, ces victimes d’usuriers ont tendu la main au Gouvernement pour qu’il prenne des mesures pour les sortir des griffes de cercle de « mafieux ». Ce, en leur apportant un appui financier, toute chose qui permettra le retour en familles de certains membres. Et empêcher que plusieurs continuent de vivre dans des gares, ou dormir sur des tables dans des marchés.
Réagissant à ce tableau sombre, la ministre de la Femme de l’Enfant et de la Famille Anne Désirée Oulotto a rappelé que l’usure, cette pratique qui vise à abuser d’autrui, était strictement interdite en Côte d’Ivoire. Et que ceux qui s’y adonnent sont donc dans l’illégalité. L’Etat va revisiter et actualiser les textes en la matière, a assuré la ministre. Tout en exprimant sa compassion à ses hôtes du jour, Anna Oulotto a reconnu ne pas pouvoir seule faire face à cette situation et s’est engagée à porter cela à la connaissance du Gouvernement pour que des solutions durables soient trouvées à cette situation.
Elle a annoncé diligenter tout prochainement « une enquête sociale » pour mieux cerner l’ampleur de ce qu’il convient de qualifier de fléau. Se voulant franche dans cette rencontre d’échanges, la ministre de la Femme de l’Enfant et de la Famille a exhorté ses hôtes et l’ensemble des Ivoiriens à adopter de bonnes pratiques d’entre lesquelles le budget familial. Ce qui permettra de faire des dépenses raisonnables et utiles. « Sans budget rien n'est possible. Même le gouvernement s'est institué un Budget, qu’il s’efforce de tenir », a dit Anne Oulotto. Pour finir, la ministre a annoncé la mise sur pied dans les plus brefs délais d’une cellule d’écoute. Qui sera l’interlocuteur de ces nombreuses victimes de ce cercle vicieux et infernal qu’est l’usure