Abidjan – Le ministre de l’environnement, de la salubrité et du développement durable, Allah kouadio Remi, a plaidé mardi, à l’ouverture du premier forum sur le droit de l’environnement, pour la mise ne place d’un cadre juridique et institutionnel.
"Il est donc de notre responsabilité de donner envie de vivre dans un continent qui équilibre mieux son développement économique, ses ambitions sociales et ses milieux naturels. D’où l’impérieuse nécessité d’instituer un cadre juridique et institutionnel approprié pour une gestion rationnelle et soutenable de nos ressources", a-t-il affirmé.
Selon lui, les Etats africains, suite aux Conférences de Stockholm en 1972 et de Rio en 1992, ayant choisi d’adhérer aux conventions internationales de protection de l’environnement et d’adopter de nouveaux accords régionaux plus adaptés au contexte africain, ne sont pas encore parvenus à instaurer des textes législatifs et réglementaires clairs relatifs à l’environnement.
"Au plan juridique, il a été observé une inadéquation et inadaptation des textes souvent incompris ou méconnus par les principaux acteurs de la scène environnementale à savoir l’administration, le pouvoir juridictionnel et les populations. Au niveau institutionnel, les problèmes de la superposition des attributions des structures ainsi que de la faible coordination des acteurs dans l’élaboration et la mise en œuvre des règles environnementales ont été soulevés", a-t-il révélé.
Aussi, souhaite-t-il que cette rencontre permette de prendre des engagements pour assurer les reformes juridiques et institutionnelles nécessaires pour le renforcement de l’effectivité du droit de l’environnement en Afrique pour un développement durable.
Démarré mardi, les travaux du premier forum sur l'environnement, s'achève jeudi à Abidjan.
(AIP)
kam
"Il est donc de notre responsabilité de donner envie de vivre dans un continent qui équilibre mieux son développement économique, ses ambitions sociales et ses milieux naturels. D’où l’impérieuse nécessité d’instituer un cadre juridique et institutionnel approprié pour une gestion rationnelle et soutenable de nos ressources", a-t-il affirmé.
Selon lui, les Etats africains, suite aux Conférences de Stockholm en 1972 et de Rio en 1992, ayant choisi d’adhérer aux conventions internationales de protection de l’environnement et d’adopter de nouveaux accords régionaux plus adaptés au contexte africain, ne sont pas encore parvenus à instaurer des textes législatifs et réglementaires clairs relatifs à l’environnement.
"Au plan juridique, il a été observé une inadéquation et inadaptation des textes souvent incompris ou méconnus par les principaux acteurs de la scène environnementale à savoir l’administration, le pouvoir juridictionnel et les populations. Au niveau institutionnel, les problèmes de la superposition des attributions des structures ainsi que de la faible coordination des acteurs dans l’élaboration et la mise en œuvre des règles environnementales ont été soulevés", a-t-il révélé.
Aussi, souhaite-t-il que cette rencontre permette de prendre des engagements pour assurer les reformes juridiques et institutionnelles nécessaires pour le renforcement de l’effectivité du droit de l’environnement en Afrique pour un développement durable.
Démarré mardi, les travaux du premier forum sur l'environnement, s'achève jeudi à Abidjan.
(AIP)
kam