Trois attaques en un mois à Agboville, c’est trop, a estimé, hier, le ministre auprès du président de la République chargé de la Défense. Paul Koffi Koffi conduisait une forte délégation militaire en pays Abbey.
«Une et deux attaques peuvent être acceptables. Mais au-delà de ces nombres, il y a problème. Il faut que les attaques cessent. Si elles ne cessent pas ici, l’Etat sera obligé d’adopter une posture militaire». C’est là la mise en garde faite par le ministre en charge de la Défense aux populations de la région de l’Agneby-Tiassa. L’échange qu’il a eu, hier, à la salle des fêtes de la mairie d’Agboville avec elles avait pour objectif de les sensibiliser contre les actions subversives. «La belligérance a pris fin. Lorsqu’il y a ce genre d’attaques, la population s’inquiète, les investisseurs hésitent et les militaires subissent une pression forte. On ne peut plus accepter de tels actes», a-t-il assuré.
Le ministre était accompagné d’une trentaine d’éléments des forces spéciales et d’une vingtaine d’autres de la brigade de sécurité de la gendarmerie. «C’est un signe fort pour dire aux ennemis que nous allons désormais leur répondre», a confié un officier sous le sceau de l’anonymat. En présence des cadres, des élus et des chefs religieux et traditionnels, Paul Koffi Koffi a invité la population à coopérer avec les forces républicaines. «Pourquoi c’est ici seulement que les attaques se font. Il faut que vous vous aidiez en nous aidant. Il faut anticiper en se parlant entre nous. Serrons-nous les coudes», a souhaité le ministre. Les élus de la région à l’image des chefs traditionnels de l’Agneby-Tiassa présents ont reconnu que ces actes n’honorent pas leur région. C’est pourquoi prenant à témoin l’assistance, le chef N’Dohi, au nom des chefs de villages du département d’Agboville, a promis de sensibiliser les populations sur les effets néfastes de tels actes. «Nous aspirons au développement pour notre région à l’instar de toutes les régions de la Côte d’Ivoire. L’Agneby-Tiassa va participer au processus d’émergence de la Côte d’Ivoire», a-t-il promis, la main sur le coeur.
ED (stagiaire)
«Une et deux attaques peuvent être acceptables. Mais au-delà de ces nombres, il y a problème. Il faut que les attaques cessent. Si elles ne cessent pas ici, l’Etat sera obligé d’adopter une posture militaire». C’est là la mise en garde faite par le ministre en charge de la Défense aux populations de la région de l’Agneby-Tiassa. L’échange qu’il a eu, hier, à la salle des fêtes de la mairie d’Agboville avec elles avait pour objectif de les sensibiliser contre les actions subversives. «La belligérance a pris fin. Lorsqu’il y a ce genre d’attaques, la population s’inquiète, les investisseurs hésitent et les militaires subissent une pression forte. On ne peut plus accepter de tels actes», a-t-il assuré.
Le ministre était accompagné d’une trentaine d’éléments des forces spéciales et d’une vingtaine d’autres de la brigade de sécurité de la gendarmerie. «C’est un signe fort pour dire aux ennemis que nous allons désormais leur répondre», a confié un officier sous le sceau de l’anonymat. En présence des cadres, des élus et des chefs religieux et traditionnels, Paul Koffi Koffi a invité la population à coopérer avec les forces républicaines. «Pourquoi c’est ici seulement que les attaques se font. Il faut que vous vous aidiez en nous aidant. Il faut anticiper en se parlant entre nous. Serrons-nous les coudes», a souhaité le ministre. Les élus de la région à l’image des chefs traditionnels de l’Agneby-Tiassa présents ont reconnu que ces actes n’honorent pas leur région. C’est pourquoi prenant à témoin l’assistance, le chef N’Dohi, au nom des chefs de villages du département d’Agboville, a promis de sensibiliser les populations sur les effets néfastes de tels actes. «Nous aspirons au développement pour notre région à l’instar de toutes les régions de la Côte d’Ivoire. L’Agneby-Tiassa va participer au processus d’émergence de la Côte d’Ivoire», a-t-il promis, la main sur le coeur.
ED (stagiaire)