La Commission Sociale, Formation et Emploi de la Confédération Générale des Entreprises de Côte d’Ivoire (CGECI) organise le mardi 05 novembre 2013 à l’Hôtel PULLMAN-Plateau, un atelier de validation de l’étude portant sur « les Emplois Pénibles ». Cette étude a pour objectifs de Disposer d’une définition des critères d’appréciation de la pénibilité au travail (facteurs de pénibilité) en vue de l’identification et la classification des secteurs professionnels, sous-secteurs et métiers pénibles en prenant en compte la dimension genre.
En effet, par ordonnance N° 2012-03 du 11 janvier 2012 modifiant les articles 22-50-95-149 à 163 ter et complétant l’article 168 de la loi N° 99-447 du 2 août 1999 portant modification du Code de Prévoyance Sociale, l’âge de départ à la retraite a été porté de 55 à 60 ans.
Pour plusieurs secteurs d’activité économique, cette réforme n’a pas apporté de réponse à la capacité productive ainsi qu’à la santé et sécurité du travailleur.
Avec l’appui du BIT/ACTEMP, la CGECI a réalisé une étude intitulée « ETUDE SUR LES EMPLOIS PENIBLES EN CÔTE D’IVOIRE ». Cette étude a été réalisée sur les implications possibles de la réforme de la branche retraite de la CNPS sur la productivité de l’entreprise mais aussi sur la santé et la sécurité du salarié.
L’étude ambitionnait d’examiner, au regard de l’âge de la retraite fixé à 60 ans, la question de la pénibilité des emplois dans le souci de protéger à la fois la santé du travailleur et garantir la productivité de l’entreprise et de formuler des propositions afin que l’âge de la retraite puisse être modulé pour tenir compte de la dureté des conditions de travail. Par la suite, la CGECI a exprimé sa préoccupation quant aux incidences financières mais également sociales de la réforme de la branche retraite de la Caisse Nationale de Prévoyance Sociale (CNPS).
Face à cette préoccupation qui met en exergue à la fois la productivité de l’entreprise et la santé physique du salarié à occuper un emploi jugé pénible, les partenaires sociaux sont appelés à trouver une solution qui puisse permettre un assouplissement des dispositions de l’ordonnance dans l’intérêt de l’entreprise et du salarié.
En effet, par ordonnance N° 2012-03 du 11 janvier 2012 modifiant les articles 22-50-95-149 à 163 ter et complétant l’article 168 de la loi N° 99-447 du 2 août 1999 portant modification du Code de Prévoyance Sociale, l’âge de départ à la retraite a été porté de 55 à 60 ans.
Pour plusieurs secteurs d’activité économique, cette réforme n’a pas apporté de réponse à la capacité productive ainsi qu’à la santé et sécurité du travailleur.
Avec l’appui du BIT/ACTEMP, la CGECI a réalisé une étude intitulée « ETUDE SUR LES EMPLOIS PENIBLES EN CÔTE D’IVOIRE ». Cette étude a été réalisée sur les implications possibles de la réforme de la branche retraite de la CNPS sur la productivité de l’entreprise mais aussi sur la santé et la sécurité du salarié.
L’étude ambitionnait d’examiner, au regard de l’âge de la retraite fixé à 60 ans, la question de la pénibilité des emplois dans le souci de protéger à la fois la santé du travailleur et garantir la productivité de l’entreprise et de formuler des propositions afin que l’âge de la retraite puisse être modulé pour tenir compte de la dureté des conditions de travail. Par la suite, la CGECI a exprimé sa préoccupation quant aux incidences financières mais également sociales de la réforme de la branche retraite de la Caisse Nationale de Prévoyance Sociale (CNPS).
Face à cette préoccupation qui met en exergue à la fois la productivité de l’entreprise et la santé physique du salarié à occuper un emploi jugé pénible, les partenaires sociaux sont appelés à trouver une solution qui puisse permettre un assouplissement des dispositions de l’ordonnance dans l’intérêt de l’entreprise et du salarié.