Abidjan (Côte d’Ivoire) - Le modèle du royaume du Maroc constitue la grande attraction à la sixième édition du Salon internationale du livre d’Abidjan (Sila 2013), dont l’ouverture a eu lieu mardi en présence du ministre ivoirien de la Culture et de la Francophonie, Maurice Kouakou Bandama et de son homologue du Maroc, Mohammed Amine Sbihi, a constaté APA sur place.
Le ministre ivoirien de la Culture et de la Francophonie, Maurice Kouakou Bandama qui ouvert le Sila 2013, a affirmé s’être inspiré du modèle du royaume du Maroc et expliqué qu’il n’y a aucune honte à copier et « suivre un bon exemple, un exemple qui a réussi ».
Le royaume chérifien est l’invité d’honneur de ce Salon qui fait la promotion du livre et du monde des lettres. Le ministre marocain de la Culture, Mohammed Amine Sbihi, a fait noter que son pays fera découvrir au cours du Sila 2013, « certains aspects de la culture marocaine ».
Les Marocains, à leur tour, « s’imprègneront des valeurs ivoiriennes », a souligné M. Sbihi qui n’a pas manqué de signaler les relations très fraternelles existant entre le Maroc et la Côte d’Ivoire depuis les années 60.
Ces échanges de culture sont aussi la concrétisation des relations sud-sud qui existe entre les deux nations. Un stand du Maroc est dressé sur le site du Parc des sports de Treichville (sud d’Abidjan) qui abrite l’événement.
Le ministre ivoirien de l’Education nationale et de l’Enseignement technique, Kandia Camara a émis le vœu de voir « le livre, ami de toujours pour les enfants de Côte d’Ivoire », car « sans le livre, il n’y a pas d’école, ni de culture ».
Mme Camara a également exhorté les parents d’élèves à intégrer les livres dans les lots de cadeaux qu’ils offrent à leur progéniture à l’occasion des événements festifs.
A ce Salon, les auteurs, les éditeurs, les imprimeurs, les libraires sont tous représentés et occupent chacun un stand pour la promotion de leurs produits.
De mardi à samedi, ce sont 6 tables rondes, quatre conférences, six ateliers d’écriture d’écrivains en herbe, et 45 séances de dédicaces qui vont meubler cet événement culturel.
Un dîner de clôture pour la remise du prix Ivoire pour la littérature africaine d’expression francophone se tiendra le samedi dans un grand hôtel d’Abidjan pour clore la 6è édition du Sila.
Après huit années de rupture, le Salon international du livre d’Abidjan a repris ses droits en 2012 pour sa cinquième édition afin de renouer avec l’esprit de la promotion de la chaîne du livre et de la littérature en Côte d’Ivoire.
La présente édition organisée sous le thème « livre, dialogue des cultures et émergences » est le signe de la renaissance de ce cadre de valorisation de la culture des peuples et de l’intellect.
La Côte d’Ivoire et le Royaume du Maroc ont procédé en mars dernier à la signature de six accords de coopération portant dans divers domaines de coopération entre les deux pays.
Ces accords ont été paraphés par les ministres des deux pays en charge des secteurs de coopération, concernés, en présence du Chef de l’Etat ivoirien, Alassane Ouattara et du Roi Mohamed VI du Maroc qui séjournait en Côte d’Ivoire en visite officielle.
Le ministre ivoirien de la Culture et de la Francophonie, Maurice Kouakou Bandama qui ouvert le Sila 2013, a affirmé s’être inspiré du modèle du royaume du Maroc et expliqué qu’il n’y a aucune honte à copier et « suivre un bon exemple, un exemple qui a réussi ».
Le royaume chérifien est l’invité d’honneur de ce Salon qui fait la promotion du livre et du monde des lettres. Le ministre marocain de la Culture, Mohammed Amine Sbihi, a fait noter que son pays fera découvrir au cours du Sila 2013, « certains aspects de la culture marocaine ».
Les Marocains, à leur tour, « s’imprègneront des valeurs ivoiriennes », a souligné M. Sbihi qui n’a pas manqué de signaler les relations très fraternelles existant entre le Maroc et la Côte d’Ivoire depuis les années 60.
Ces échanges de culture sont aussi la concrétisation des relations sud-sud qui existe entre les deux nations. Un stand du Maroc est dressé sur le site du Parc des sports de Treichville (sud d’Abidjan) qui abrite l’événement.
Le ministre ivoirien de l’Education nationale et de l’Enseignement technique, Kandia Camara a émis le vœu de voir « le livre, ami de toujours pour les enfants de Côte d’Ivoire », car « sans le livre, il n’y a pas d’école, ni de culture ».
Mme Camara a également exhorté les parents d’élèves à intégrer les livres dans les lots de cadeaux qu’ils offrent à leur progéniture à l’occasion des événements festifs.
A ce Salon, les auteurs, les éditeurs, les imprimeurs, les libraires sont tous représentés et occupent chacun un stand pour la promotion de leurs produits.
De mardi à samedi, ce sont 6 tables rondes, quatre conférences, six ateliers d’écriture d’écrivains en herbe, et 45 séances de dédicaces qui vont meubler cet événement culturel.
Un dîner de clôture pour la remise du prix Ivoire pour la littérature africaine d’expression francophone se tiendra le samedi dans un grand hôtel d’Abidjan pour clore la 6è édition du Sila.
Après huit années de rupture, le Salon international du livre d’Abidjan a repris ses droits en 2012 pour sa cinquième édition afin de renouer avec l’esprit de la promotion de la chaîne du livre et de la littérature en Côte d’Ivoire.
La présente édition organisée sous le thème « livre, dialogue des cultures et émergences » est le signe de la renaissance de ce cadre de valorisation de la culture des peuples et de l’intellect.
La Côte d’Ivoire et le Royaume du Maroc ont procédé en mars dernier à la signature de six accords de coopération portant dans divers domaines de coopération entre les deux pays.
Ces accords ont été paraphés par les ministres des deux pays en charge des secteurs de coopération, concernés, en présence du Chef de l’Etat ivoirien, Alassane Ouattara et du Roi Mohamed VI du Maroc qui séjournait en Côte d’Ivoire en visite officielle.