Le Gouverneur du District d’Abidjan a estimé, lors de la 33e réunion de l’Association internationale des maires francophones (AIMF), qui s’est tenue, du 14 au 16 novembre 2013, à l’hôtel de ville de Paris, que l’émergence des pays africains, particulièrement la Côte d’Ivoire, passe nécessairement par un renforcement encore plus actif de la coopération décentralisée entre villes des pays du nord et celles du sud.
Robert Beugré Mambé, par ailleurs vice président de l’organisation présidée par Bertrand Delanoë, qui conduisait une forte délégation de maires et de présidents de conseils régionaux ivoiriens, en a profité pour présenter les défis qui s’imposent aux pays du sud dans les domaines de la santé, de l’éducation, de l’eau, de l’électricité, de l’environnement et surtout l’épineuse question du chômage des jeunes.
Parlant de son pays, il a dit qu’il était aujourd’hui entièrement en chantier, après la crise post-electorale, dans tous les domaines de développement pour favoriser et faciliter les investissements et la création de richesses qui auront pour conséquence directe une réduction de la pauvreté. Il a lancé un appel aux élus des nations nanties de l’espace francophone, afin qu’elles soutiennent la Côte d’Ivoire, pays phare et locomotive de l’espace UEMOA, dans son vœu de devenir un pays émergent à l’orée 2020.
Pour sa part, le chef de l’Etat français a justifié sa présence à cette 33e assemblée à l’estime qu’il a pour son frère et ami Bertrand Delanoë. Mieux, le président François Hollande a tenu à saluer et à dire ses vifs remerciements à l’ensemble des délégations qui ont fait l’amitié à la France d’effectuer le déplacement de l’hexagone.
Mais avant le chef de l’exécutif français, Bertrand Delanoë, en sa qualité de président sortant de l’AIMF, au terme d’un mandat de 13ans, a fait le bilan des années qu’il a passées à la tête de cette organisation. Il a profité de la tribune qui lui a été offerte pour témoigner sa reconnaissance au président Hollande mais aussi à Abdou Diouf, Secrétaire général de la Francophonie et Sidibé, directeur exécutif de l’Onusida et SGA de l’Onu.
Pour le maire de Paris, ce 33e rendez-vous des maires francophones s’inscrit dans la continuité des précédents. Il permet de comprendre mieux et d’agir ensemble sur les questions que soulèvent les politiques de décentralisation. Il a également fait état de l’investissement d’un milliard d’euros pour aider à l’intégration des citoyens que nos sociétés ne cessent de rejeter et appelé ses pairs à réduire les budgets de fonctionnement de leur organisation au profit de réalisation d’édifices collectifs.
Au dire de Delanoë, la marque de fabrique de l’AIMF, c’est toujours un thème nouveau pour ce qui se prépare demain. Et cette organisation, en terme de réponse à la question du développement durable, entend apporter son soutien à de jeunes entrepreneurs séropositifs togolais. Toute chose qui va dans le sens de lutter contre les préjugés qui, hélas, ont encore la peau dure, et qui présentent les victimes de cette pandémie comme des pestiférés, bien qu’elles aient le droit de mener une vie normale.
Signalons, qu’en mai 2014, le District d’Abidjan va accueillir une réunion de haut niveau de l’Assemblée internationale des régions francophones présidée par Ségolène Royal, présidente de la région de Poitou Charente. Mais déjà, il faut noter au premier trimestre de cette même année, la tenue d’une rencontre dans la capitale économique ivoirienne sur les Partenariats Public Privé (PPP). "La Côte d’Ivoire is really back" avec le président Ouattara. C’est le cas de le dire.
Source : DIRCOM DU DISTRICT AUTONOME D’ABIDJAN
Robert Beugré Mambé, par ailleurs vice président de l’organisation présidée par Bertrand Delanoë, qui conduisait une forte délégation de maires et de présidents de conseils régionaux ivoiriens, en a profité pour présenter les défis qui s’imposent aux pays du sud dans les domaines de la santé, de l’éducation, de l’eau, de l’électricité, de l’environnement et surtout l’épineuse question du chômage des jeunes.
Parlant de son pays, il a dit qu’il était aujourd’hui entièrement en chantier, après la crise post-electorale, dans tous les domaines de développement pour favoriser et faciliter les investissements et la création de richesses qui auront pour conséquence directe une réduction de la pauvreté. Il a lancé un appel aux élus des nations nanties de l’espace francophone, afin qu’elles soutiennent la Côte d’Ivoire, pays phare et locomotive de l’espace UEMOA, dans son vœu de devenir un pays émergent à l’orée 2020.
Pour sa part, le chef de l’Etat français a justifié sa présence à cette 33e assemblée à l’estime qu’il a pour son frère et ami Bertrand Delanoë. Mieux, le président François Hollande a tenu à saluer et à dire ses vifs remerciements à l’ensemble des délégations qui ont fait l’amitié à la France d’effectuer le déplacement de l’hexagone.
Mais avant le chef de l’exécutif français, Bertrand Delanoë, en sa qualité de président sortant de l’AIMF, au terme d’un mandat de 13ans, a fait le bilan des années qu’il a passées à la tête de cette organisation. Il a profité de la tribune qui lui a été offerte pour témoigner sa reconnaissance au président Hollande mais aussi à Abdou Diouf, Secrétaire général de la Francophonie et Sidibé, directeur exécutif de l’Onusida et SGA de l’Onu.
Pour le maire de Paris, ce 33e rendez-vous des maires francophones s’inscrit dans la continuité des précédents. Il permet de comprendre mieux et d’agir ensemble sur les questions que soulèvent les politiques de décentralisation. Il a également fait état de l’investissement d’un milliard d’euros pour aider à l’intégration des citoyens que nos sociétés ne cessent de rejeter et appelé ses pairs à réduire les budgets de fonctionnement de leur organisation au profit de réalisation d’édifices collectifs.
Au dire de Delanoë, la marque de fabrique de l’AIMF, c’est toujours un thème nouveau pour ce qui se prépare demain. Et cette organisation, en terme de réponse à la question du développement durable, entend apporter son soutien à de jeunes entrepreneurs séropositifs togolais. Toute chose qui va dans le sens de lutter contre les préjugés qui, hélas, ont encore la peau dure, et qui présentent les victimes de cette pandémie comme des pestiférés, bien qu’elles aient le droit de mener une vie normale.
Signalons, qu’en mai 2014, le District d’Abidjan va accueillir une réunion de haut niveau de l’Assemblée internationale des régions francophones présidée par Ségolène Royal, présidente de la région de Poitou Charente. Mais déjà, il faut noter au premier trimestre de cette même année, la tenue d’une rencontre dans la capitale économique ivoirienne sur les Partenariats Public Privé (PPP). "La Côte d’Ivoire is really back" avec le président Ouattara. C’est le cas de le dire.
Source : DIRCOM DU DISTRICT AUTONOME D’ABIDJAN