Abidjan - Laurent Akoun, Secrétaire général et porte-parole du Front populaire ivoirien (Fpi, ex-parti au pouvoir), interpellé par la police ivoirienne, samedi matin, à l’aéroport Félix Houphouët-Boigny d’Abidjan, a été relaxé, en début d’après-midi, après une audition de 4 heures à la Direction de la surveillance du territoire (Dst), a appris APA sur place.
‘' Le Secrétaire général Laurent Akoun a été libéré. Il a regagné son domicile cet après-midi'' a déclaré à APA, une source proche du Fpi ajoutant que ‘'son passeport a été confisqué'' à la Dst.
Selon cette source, M. Akoun se rendait en France pour des soins en compagnie de son épouse et leur fille, quand il a été interpellé par la police de l'aéroport.
‘' Les policiers ont demandé à Mme Akoun et leur rejeton de poursuivre le voyage sans le père de famille. Ce que Mme Akoun a refusé préférant suivre son époux pour voir ce qui lui sera fait'', a-t-elle indiqué.
Le Front populaire ivoirien (FPI), le parti de Laurent Gbagbo a dénoncé un ‘'harcèlement politique'' du pouvoir Alassane Ouattara contre l'opposition. Transféré à la direction générale de la Dst, Laurent Akoun qui a récemment purgé une peine de prison de 6 mois pour ‘' troubles à l'ordre public'', a été entendu avant d'être relaxé.
HS/ls/APA
‘' Le Secrétaire général Laurent Akoun a été libéré. Il a regagné son domicile cet après-midi'' a déclaré à APA, une source proche du Fpi ajoutant que ‘'son passeport a été confisqué'' à la Dst.
Selon cette source, M. Akoun se rendait en France pour des soins en compagnie de son épouse et leur fille, quand il a été interpellé par la police de l'aéroport.
‘' Les policiers ont demandé à Mme Akoun et leur rejeton de poursuivre le voyage sans le père de famille. Ce que Mme Akoun a refusé préférant suivre son époux pour voir ce qui lui sera fait'', a-t-elle indiqué.
Le Front populaire ivoirien (FPI), le parti de Laurent Gbagbo a dénoncé un ‘'harcèlement politique'' du pouvoir Alassane Ouattara contre l'opposition. Transféré à la direction générale de la Dst, Laurent Akoun qui a récemment purgé une peine de prison de 6 mois pour ‘' troubles à l'ordre public'', a été entendu avant d'être relaxé.
HS/ls/APA