Abidjan - Le secrétaire général et porte-parole du Front populaire ivoirien (FPI, opposition), Laurent Akoun, en partance pour la France, a été interpellé par la police samedi matin à l’aéroport international Félix Houphouët-Boigny d’Abidjan d’où il a été conduit à la Direction de la surveillance du territoire (DST), à Cocody, puis relaché après quatre heures d’audition.
M. Akoun a été interpellé après avoir rempli les formalités d'embarquement à l'aéroport, il était en compagnie de son épouse et de sa fille, autorisées à poursuivre le voyage, mais celles-ci ont préféré y surseoir pour suivre le père de famille à la DST où son passeport a été gardé, a-t-on appris.
Au poste de la DST de l'aéroport, M. Akoun a été informé qu'il n'est pas autorisé à sortir du territoire ivoirien. Il avait purgé une peine de prison ferme de six mois pour troubles à l'ordre public.
Alors secrétaire général par intérim du FPI, Laurent Akoun, arrêté le 26 août par la gendarmerie d'Adzopé après une réunion de son parti, avait été condamné le 31 août 2012 à six mois de prison ferme pour trouble à l’ordre public. Il a été libéré le 28 février et en plus des six mois de privation de liberté, il avait été également condamné à un an d’interdiction de séjour sur tout le territoire national en dehors de son village natal, Memni, dans le département d’Alépé, précise-t-on.
cmas
M. Akoun a été interpellé après avoir rempli les formalités d'embarquement à l'aéroport, il était en compagnie de son épouse et de sa fille, autorisées à poursuivre le voyage, mais celles-ci ont préféré y surseoir pour suivre le père de famille à la DST où son passeport a été gardé, a-t-on appris.
Au poste de la DST de l'aéroport, M. Akoun a été informé qu'il n'est pas autorisé à sortir du territoire ivoirien. Il avait purgé une peine de prison ferme de six mois pour troubles à l'ordre public.
Alors secrétaire général par intérim du FPI, Laurent Akoun, arrêté le 26 août par la gendarmerie d'Adzopé après une réunion de son parti, avait été condamné le 31 août 2012 à six mois de prison ferme pour trouble à l’ordre public. Il a été libéré le 28 février et en plus des six mois de privation de liberté, il avait été également condamné à un an d’interdiction de séjour sur tout le territoire national en dehors de son village natal, Memni, dans le département d’Alépé, précise-t-on.
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