Abidjan - Madame le ministre de la Communication, Me Affoussiata BAMBA-LAMINE a conduit ce vendredi à 17 heures, une importante délégation composée de son directeur de cabinet et de conseillers au domicile du frère aîné du journaliste Désiré Oué sis à Angré star 6. Mme le ministre de la Communication a expliqué à la famille qu’il s’agit pour elle de s’acquitter d’un devoir de solidarité qui est devenu une tradition chaque fois que la grande famille de la presse est éprouvée.
La famille éplorée, par le biais de Amos Béonaho, ancien président de l’Union nationale des journalistes de Côte d’Ivoire (Unjci), qui a joué le rôle d’interface, a révélé à Mme le ministre qu’elle a été bouleversée par la polémique née après le décès de son fils. La famille Oué a confié qu’elle s’interroge de savoir si oui ou non Désire Oué a été tué parce que soupçonné d’être un milicien.
Me BAMBA-LAMINE a rassuré la famille. Elle a rappelé que le gouvernement par le biais du Ministère de la Communication a fait une déclaration pour exprimer sa compassion à la famille et condamner le crime. Ce communiqué, a ajouté le porte-parole adjoint du gouvernement, visait justement à inviter les journalistes à mettre fin à ces interprétations alors même que les plaies de la famille du défunt sont encore toute fraîches. Poursuivant, le Ministre de la Communication a indiqué que la condamnation de l’assassinat et son déplacement en personne dans la famille de la victime sont la preuve que pour le gouvernement, Désire Oué est bel et bien un journaliste. Mme le ministre a invité la famille à ne pas se focaliser sur ces fausses accusations contre le pouvoir mais à prendre en considération les actions du gouvernement. « Nous sommes dans un contexte tel que certains de nos compatriotes n’hésitent pas à récupérer dans leur intérêt personnel des événements même quand ils touchent à la mort d’un individu », a-t-elle regretté.
Pour elle, les coupables doivent être retrouvés et punis parce qu’il s’agit de meurtre, d’une part et parce que la Côte d’Ivoire est un Etat de droit.
Elle a promis à la famille que le gouvernement mettra tout en œuvre pour que la lumière soit faite sur ce crime afin que les coupables soient identifiés et punis.
La famille s’est dite rassurée par les mots du ministre. Elle a affirmé qu’’elle n’a jamais eu de suspicion à l’encontre du gouvernement et que ses inquiétudes sont nées lorsque certains journaux ont commencé à affirmer que leur fils a été tué parce que soupçonné d’être un ancien milicien.
Mme le Ministre de la Communication s’est retirée tout en promettant de se faire représenter à la veillée prévue la même nuit et à la levée de corps le lendemain.
Cellule Communication Ministère de la Communication
La famille éplorée, par le biais de Amos Béonaho, ancien président de l’Union nationale des journalistes de Côte d’Ivoire (Unjci), qui a joué le rôle d’interface, a révélé à Mme le ministre qu’elle a été bouleversée par la polémique née après le décès de son fils. La famille Oué a confié qu’elle s’interroge de savoir si oui ou non Désire Oué a été tué parce que soupçonné d’être un milicien.
Me BAMBA-LAMINE a rassuré la famille. Elle a rappelé que le gouvernement par le biais du Ministère de la Communication a fait une déclaration pour exprimer sa compassion à la famille et condamner le crime. Ce communiqué, a ajouté le porte-parole adjoint du gouvernement, visait justement à inviter les journalistes à mettre fin à ces interprétations alors même que les plaies de la famille du défunt sont encore toute fraîches. Poursuivant, le Ministre de la Communication a indiqué que la condamnation de l’assassinat et son déplacement en personne dans la famille de la victime sont la preuve que pour le gouvernement, Désire Oué est bel et bien un journaliste. Mme le ministre a invité la famille à ne pas se focaliser sur ces fausses accusations contre le pouvoir mais à prendre en considération les actions du gouvernement. « Nous sommes dans un contexte tel que certains de nos compatriotes n’hésitent pas à récupérer dans leur intérêt personnel des événements même quand ils touchent à la mort d’un individu », a-t-elle regretté.
Pour elle, les coupables doivent être retrouvés et punis parce qu’il s’agit de meurtre, d’une part et parce que la Côte d’Ivoire est un Etat de droit.
Elle a promis à la famille que le gouvernement mettra tout en œuvre pour que la lumière soit faite sur ce crime afin que les coupables soient identifiés et punis.
La famille s’est dite rassurée par les mots du ministre. Elle a affirmé qu’’elle n’a jamais eu de suspicion à l’encontre du gouvernement et que ses inquiétudes sont nées lorsque certains journaux ont commencé à affirmer que leur fils a été tué parce que soupçonné d’être un ancien milicien.
Mme le Ministre de la Communication s’est retirée tout en promettant de se faire représenter à la veillée prévue la même nuit et à la levée de corps le lendemain.
Cellule Communication Ministère de la Communication