Le chef de l'Armée syrienne libre (ASL), le général Salim Idriss, a annoncé le mardi dernier que les forces qui lui sont fidèles ne participeront pas à la conférence de paix prévue à partir du 22 janvier à Genève pour trouver une issue à la guerre en Syrie. Des représentants du régime de Bachar al-Assad et de l'opposition doivent se rencontrer lors de ce sommet, reporté à maintes reprises. L'opposition syrienne est profondément divisée sur le bien-fondé de participer à la conférence de Genève. La Coalition nationale syrienne (CNS), principale agrégat politique hostile à Bachar al-Assad, soutient la tenue de la conférence, mais elle se heurte à une forte opposition de la part de combattants et d'activistes présents sur le théâtre des opérations. L'Iran qui veut être au nombre des participants a de son côté réitéré son souhait d’être présent, sans préalables, à la conférence. En annonçant lundi la date de la conférence, le secrétaire général des Nations unies, Ban Ki-moon, n'a toutefois pas précisé si l'Iran ferait partie des participants.
Source : france24.com
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