Bouaké - Le président Alassane Ouattara est attendu vendredi par les populations de Bouaké au stade de la paix où il animera le meeting de clôture de son périple de cinq jours dans la région de Gbèkè.
"On sera au stade pour écouter ce qu'il va dire ainsi que les doléances qui seront émises", a indiqué M. Touré Guy, tapissier au quartier Koko, se réjouissant de cette visite qu'il juge opportune pour la région.
Certaines habitantes de la capitale régionale, notamment Diawara Rokia, vendeuse d'attiéké en face du CHU et Kouassi Aya Annie-Josée, aide-soignante stagiaire, ne veulent pas manquer ce rendez-vous, parce qu'elles sont contentes des travaux réalisés dans la ville en prélude à l'événement.
"On est content de lui. Dans notre quartier Odiennékourani, les lampadaires ne s'allumaient pas depuis 10 ans. Aujourd'hui tout marche bien", se réjouit Mlle Rokia qui dit avoir déjà participé à l'accueil du président Ouattara, lundi.
Au-delà la satisfaction que lui procure les travaux de bitumage réalisés dans son quartier N'Gattakro, Mlle Kouassi Aya compte se rendre au stade de la paix pour voir Alassane Ouattara de plus près, parce qu'elle ne le connaît qu'à travers la télévision et des photos.
"Il n'est pas donné de voir le président tout le temps", a-t-elle affirmé, curieuse de vérifier ce qu'elle a entendu dire de lui, à savoir qu'il est "choco" (élégant, en langage commun ivoirien).
M. N'Dri Léonce, technicien de froid, installé en bordure d'une nouvellement réhabilitée non loin du carrefour "carrefour de l'Amadone'', au quartier N'Gattakro, compte se rendre au meeting, pour ne pas se faire raconter l'événement et le message du chef de l'Etat.
Tous ceux qui se disent prêts à prendre part au meeting pour écouter le message du chef suprême des armées ivoiriennes venu communier avec son peuple pour recueillir ses besoins, semblent l'attendre, de façon unanime, se prononcer sur des sujets tels que la reprise des activités économiques des unités industrielles fermées, la construction du grand marché de Bouaké et la résorption du chômage des jeunes.
La journée de vendredi sera chômée pour les écoles qui vont suspendre les cours, pour permettre aux élèves et à leurs encadreurs de prendre part au meeting.
Les témoignages des chefs d'établissements tels que le proviseur du lycée classique, M. Fofana Mamadou, et celui du lycée Martin Luther King, M. Vagbé Marcel, confirment cette mesure.
Le proviseur du lycée classique a indiqué que les cours ont été arrêtés lundi à cause l'arrivée du président, mais ils se sont poursuivis après, pour ne pas accuser trop de retard dans le déroulement des programmes. Ils le seront encore vendredi, à cause du meeting.
Rénové pour la circonstance, le stade de la paix d'une capacité d'accueil de 25.000 places va accueillir ce meeting de clôture.
Pour faire le plein de celui-ci, des messages de sensibilisation sont lancés à l'endroit des populations par des autorités locales telles que le maire Djibo Youssouf Nicolas et le coordonateur régional de l'organisation de la visite, le ministre délégué à la Défense, M. Paul Koffi Koffi.
Nbf/kp
"On sera au stade pour écouter ce qu'il va dire ainsi que les doléances qui seront émises", a indiqué M. Touré Guy, tapissier au quartier Koko, se réjouissant de cette visite qu'il juge opportune pour la région.
Certaines habitantes de la capitale régionale, notamment Diawara Rokia, vendeuse d'attiéké en face du CHU et Kouassi Aya Annie-Josée, aide-soignante stagiaire, ne veulent pas manquer ce rendez-vous, parce qu'elles sont contentes des travaux réalisés dans la ville en prélude à l'événement.
"On est content de lui. Dans notre quartier Odiennékourani, les lampadaires ne s'allumaient pas depuis 10 ans. Aujourd'hui tout marche bien", se réjouit Mlle Rokia qui dit avoir déjà participé à l'accueil du président Ouattara, lundi.
Au-delà la satisfaction que lui procure les travaux de bitumage réalisés dans son quartier N'Gattakro, Mlle Kouassi Aya compte se rendre au stade de la paix pour voir Alassane Ouattara de plus près, parce qu'elle ne le connaît qu'à travers la télévision et des photos.
"Il n'est pas donné de voir le président tout le temps", a-t-elle affirmé, curieuse de vérifier ce qu'elle a entendu dire de lui, à savoir qu'il est "choco" (élégant, en langage commun ivoirien).
M. N'Dri Léonce, technicien de froid, installé en bordure d'une nouvellement réhabilitée non loin du carrefour "carrefour de l'Amadone'', au quartier N'Gattakro, compte se rendre au meeting, pour ne pas se faire raconter l'événement et le message du chef de l'Etat.
Tous ceux qui se disent prêts à prendre part au meeting pour écouter le message du chef suprême des armées ivoiriennes venu communier avec son peuple pour recueillir ses besoins, semblent l'attendre, de façon unanime, se prononcer sur des sujets tels que la reprise des activités économiques des unités industrielles fermées, la construction du grand marché de Bouaké et la résorption du chômage des jeunes.
La journée de vendredi sera chômée pour les écoles qui vont suspendre les cours, pour permettre aux élèves et à leurs encadreurs de prendre part au meeting.
Les témoignages des chefs d'établissements tels que le proviseur du lycée classique, M. Fofana Mamadou, et celui du lycée Martin Luther King, M. Vagbé Marcel, confirment cette mesure.
Le proviseur du lycée classique a indiqué que les cours ont été arrêtés lundi à cause l'arrivée du président, mais ils se sont poursuivis après, pour ne pas accuser trop de retard dans le déroulement des programmes. Ils le seront encore vendredi, à cause du meeting.
Rénové pour la circonstance, le stade de la paix d'une capacité d'accueil de 25.000 places va accueillir ce meeting de clôture.
Pour faire le plein de celui-ci, des messages de sensibilisation sont lancés à l'endroit des populations par des autorités locales telles que le maire Djibo Youssouf Nicolas et le coordonateur régional de l'organisation de la visite, le ministre délégué à la Défense, M. Paul Koffi Koffi.
Nbf/kp