Le Fonds international de développement agricole (FIDA) organise un atelier régional d’apprentissage et de partage en suivi-évaluation à l’endroit de ses coordonnateurs du 2 au 6 décembre à Grand-Bassam. Présent à la cérémonie d’ouverture le lundi 2 décembre 2013, le ministre de l’Agriculture, Mamadou Sangafowa Coulibaly a tenu à marquer la reconnaissance du gouvernement à l’organisme international qui, œuvre pour la réduction de la pauvreté rurale.
«Je transmets au FIDA toute la gratitude du gouvernement de Côte d’Ivoire pour son soutien permanent. Vous êtes restés à nos côtés même pendant les moments difficiles. Le FIDA a sauvé des vies en appuyant la production agricole dans des zones difficiles d’accès», a dit le ministre de l’Agriculture. Le Fonds qui permet aux populations rurales pauvres de cultiver et vendre davantage de produits vivriers et d’accroitre leurs revenus, a mis en place deux projets structurants après la sortie de crise. Le Projet de réhabilitation agricole et de réduction de la pauvreté (PRAREP) et, le Projet d’appui à la production agricole et à la commercialisation (PROPACOM); a expliqué Sangafowa Coulibaly. Revenant au thème de l’atelier, le ministre a précisé que c’est le Fonds qui a appuyé le gouvernement pour la mise en place d‘un système de suivi-évaluation pour la mise en œuvre du Programme national d’investissement agricole (PNIA). «C’est l’occasion de remercier le FIDA pour son appui et lui dire que le processus de mise en place du système de suivi-évaluation du PNIA n’est qu’à son début». Pour le ministre un système de suivi-évaluation efficace capable de renseigner les indicateurs essentiels de développement, permet d’assurer la transparence et la bonne gouvernance auxquels sont soumis les gestionnaires de projets. A Ides de Willebois, le directeur de la division Afrique de l’ouest et du centre du Fonds, a dit que les deux dernières revues annuelles de la performance des projets et programmes dans la sous-région ont identifié d’importantes faiblesses en matière de gestion, axée sur les résultats, notamment la planification stratégique et le suivi-évaluation. «Le but de cet atelier est d’améliorer la performance de nos projets et programmes, en vue d’accroitre leurs chances d’atteindre les objectifs fixés en matière de développement agricole et, l’impact attendu sur la sécurité alimentaire et la réduction de la pauvreté rurale» a concédé M. de Willebois. Le FIDA a exécuté ou est en cours d’exécution de 9 projets en Côte d’Ivoire depuis 1984. Sur un coût total de 257.6 millions de dollars ; soit près de 128 milliards FCFA, le Fonds des Nations unies a financé 99.2 millions de dollars soit près de 49 milliards FCFA pour 523.000 ménages directs bénéficiaires.
FO
«Je transmets au FIDA toute la gratitude du gouvernement de Côte d’Ivoire pour son soutien permanent. Vous êtes restés à nos côtés même pendant les moments difficiles. Le FIDA a sauvé des vies en appuyant la production agricole dans des zones difficiles d’accès», a dit le ministre de l’Agriculture. Le Fonds qui permet aux populations rurales pauvres de cultiver et vendre davantage de produits vivriers et d’accroitre leurs revenus, a mis en place deux projets structurants après la sortie de crise. Le Projet de réhabilitation agricole et de réduction de la pauvreté (PRAREP) et, le Projet d’appui à la production agricole et à la commercialisation (PROPACOM); a expliqué Sangafowa Coulibaly. Revenant au thème de l’atelier, le ministre a précisé que c’est le Fonds qui a appuyé le gouvernement pour la mise en place d‘un système de suivi-évaluation pour la mise en œuvre du Programme national d’investissement agricole (PNIA). «C’est l’occasion de remercier le FIDA pour son appui et lui dire que le processus de mise en place du système de suivi-évaluation du PNIA n’est qu’à son début». Pour le ministre un système de suivi-évaluation efficace capable de renseigner les indicateurs essentiels de développement, permet d’assurer la transparence et la bonne gouvernance auxquels sont soumis les gestionnaires de projets. A Ides de Willebois, le directeur de la division Afrique de l’ouest et du centre du Fonds, a dit que les deux dernières revues annuelles de la performance des projets et programmes dans la sous-région ont identifié d’importantes faiblesses en matière de gestion, axée sur les résultats, notamment la planification stratégique et le suivi-évaluation. «Le but de cet atelier est d’améliorer la performance de nos projets et programmes, en vue d’accroitre leurs chances d’atteindre les objectifs fixés en matière de développement agricole et, l’impact attendu sur la sécurité alimentaire et la réduction de la pauvreté rurale» a concédé M. de Willebois. Le FIDA a exécuté ou est en cours d’exécution de 9 projets en Côte d’Ivoire depuis 1984. Sur un coût total de 257.6 millions de dollars ; soit près de 128 milliards FCFA, le Fonds des Nations unies a financé 99.2 millions de dollars soit près de 49 milliards FCFA pour 523.000 ménages directs bénéficiaires.
FO
