Il s’est ouvert à Abidjan le mardi 3 décembre 2013, la 11ème Assemblée générale annuelle (AGA) de l’Assemblée des régulateurs de télécommunications de l’Afrique de l’ouest (ARTAO), c’est la 2ème fois que la Côte d’Ivoire accueille cette rencontre des régulateurs sous régionaux après 2008. Le ministre de la Poste, des Technologies de l’information et de la communication, Bruno Koné y a apporté la caution gouvernementale.
L’un des temps forts de cette AGA de 3 jours est sans conteste l’élection du comité exécutif présidé par le gambien Abdoulaye Diop. Le comité exécutif est l’organe qui supervise la mise en œuvre des programmes et activités de l’ARTAO, il a une présidence tournante d’une année. La Côte d’Ivoire en a assuré la présidence de 2010 à 2011. La présentation du projet du plan stratégique quinquennal de l’ARTAO, le protocole d’accord entre l’ARTAO et la CEDEAO. De même que le rapport de l’audit des comptes pour l’exercice 2012 constituent les autres temps forts de cette AGA. Le ministre a mis en exergue le développement qu’a connu les TIC ces dernières années et qui en ont fait un acteur incontournable dans le développement économique de la Côte d’Ivoire. Il a indiqué que le programme de développement de la maturité économique en Côte d’Ivoire entre dans le cadre des législations issues des obligations communautaires. «Le développement des TIC est une exigence pour tous les pays en développement du fait de ses nombreux avantages», a étayé Bruno Koné. Pour lui donc, les autorités de régulation doivent veiller au meilleur traitement du secteur ainsi elles pourront concourir à une économie numérique des pays de la CEDEAO. «Je compte sur votre expertise d’ensemble pour faire faire à la régulation, un saut qualitatif», a souhaité le ministre aux participants. Quant à Bilé Diéméléou, le directeur général de l’Autorité de régulation des télécommunications de Côte d’Ivoire (ARTCI), il a ajouté que l’Assemblée annuelle est la plateforme qu’offre l’ARTAO à ses membres afin d’examiner et traiter les questions majeures liées au développement et à l’organisation des télécommunications dans la sous-région. L’AGA est également un cadre qui permet aux régulateurs de se familiariser avec les programmes et les projets de l’ARTAO visant à relever les défis dans l’industrie des télécommunications. Elle permet aussi de faciliter l’identification des domaines possibles de collaboration entre les organisations, a-t-il rappelé.
FO
L’un des temps forts de cette AGA de 3 jours est sans conteste l’élection du comité exécutif présidé par le gambien Abdoulaye Diop. Le comité exécutif est l’organe qui supervise la mise en œuvre des programmes et activités de l’ARTAO, il a une présidence tournante d’une année. La Côte d’Ivoire en a assuré la présidence de 2010 à 2011. La présentation du projet du plan stratégique quinquennal de l’ARTAO, le protocole d’accord entre l’ARTAO et la CEDEAO. De même que le rapport de l’audit des comptes pour l’exercice 2012 constituent les autres temps forts de cette AGA. Le ministre a mis en exergue le développement qu’a connu les TIC ces dernières années et qui en ont fait un acteur incontournable dans le développement économique de la Côte d’Ivoire. Il a indiqué que le programme de développement de la maturité économique en Côte d’Ivoire entre dans le cadre des législations issues des obligations communautaires. «Le développement des TIC est une exigence pour tous les pays en développement du fait de ses nombreux avantages», a étayé Bruno Koné. Pour lui donc, les autorités de régulation doivent veiller au meilleur traitement du secteur ainsi elles pourront concourir à une économie numérique des pays de la CEDEAO. «Je compte sur votre expertise d’ensemble pour faire faire à la régulation, un saut qualitatif», a souhaité le ministre aux participants. Quant à Bilé Diéméléou, le directeur général de l’Autorité de régulation des télécommunications de Côte d’Ivoire (ARTCI), il a ajouté que l’Assemblée annuelle est la plateforme qu’offre l’ARTAO à ses membres afin d’examiner et traiter les questions majeures liées au développement et à l’organisation des télécommunications dans la sous-région. L’AGA est également un cadre qui permet aux régulateurs de se familiariser avec les programmes et les projets de l’ARTAO visant à relever les défis dans l’industrie des télécommunications. Elle permet aussi de faciliter l’identification des domaines possibles de collaboration entre les organisations, a-t-il rappelé.
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